Katze

L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...

On s'en fiche de la "date" mais bon... 13/08/23

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La définition la plus commune de fan, c'est admirer une vedette. La célébrité, un statut, une façade, accentué par les écrans. Puis parce que tu es populaire, on te "stalke", te photographie à chacun de tes déplacements. On t'appelle mon mari pour le fun, parce que tu es agréable à regarder physiologiquement, on ne connaît que ton image et pas l'homme derrière. Ras-le-bol de cette imposture. J'ai l'impression que tu gardes énormément de choses pour toi de peur de blesser autrui, des représailles, mais c'est toi que tu blesses. Je n'ai rien contre quelques photos tant que ça n'est pas du "stalking" pour des choses du quotidien, pour un souvenir, mais tu as aussi besoin qu'on te fiche la paix, et pour une glace... Que l'on soit surpris, ok, mais tout ça c'est une occasion de se montrer, de s'afficher à tes côtés, et pour gratter des likes, c'est ridicule. Ce ne sont que des clics et pas des preuves d'Amour. Tout ces "compliments" que l'on t'envoie s'arrêtent à la surface, et ton bonheur dans tout ça, est-ce qu'ils s'en préoccupent ? Excepté se ramener aux séances de dédicaces et compagnie, qu'est-ce qu'on a fait pour cela, pour toi ? Peut-être que certains vous apprécient sans se considérer comme ceci, et en dehors vos musiques ! L'artiste n'est pas exactement la même personne que dans sa vie privée.

Entre ce que tu dis / fais et pense / est vraiment, il y a une GROSSE marge. Sous prétexte que tu as choisi cette vie, tu dois tout accepter et les personnes doivent se sentir tout permis à ton égard ? Non. Je me doute que c'est difficile de refuser quand plein de gens te demandent les mêmes choses. C'est pour cela que je te te blâme pas. Quand on est dans le train-train on ne remarque pas certaines choses qui sont pourtant flagrantes. Comme aller jusqu'à quémander une photo de toi, parce que bien évidemment tu n'existes plus si tu ne publies pas un amas de pixels de ta pomme. Les prétendus fans ne sont point une race à part et intouchables. Aimer n'implique pas de le forcer à être là en le "harcelant" pour qu'il poste sa trogne. Il va vous la poster, ensuite ? Vous serez rassurées, peu importe son état de santé moral.

À choisir, je préfère perdre ceux pour qui je suis importante uniquement quand il s'agit de contenter leurs désirs autocentrées, sans la moindre finesse et avec un ton doucereux te menant à leur faire entendre l'affirmative. Inutile de poser la question si on ne tolère pas la désapprobation.


Détester: Ne plus, ne pas tester, contre rôler cela.

Un: Tes récents.
Mecs plus ultra ? Non, hommes, s'il vous plaît.
Écrire des aides, la suite.
À prononcer hors Allemand.
Au pif, mon nez s'allonge.
Au piaf, ma plume s'affine.
Aplomb flingué. Fibrillation ventriculaire. Punique.
S(')aborder, m'a sacrée.
Enrober les termes en du sucré.
Pas nos plis, mais des vêtus.
Profondément éculés.
Tango tanguant.
Co-lisions, un smack, et crack crack.


Syco"fan"cy & flangornerie.
You say me shut up, it's because i shoot you down for you.


Patienter des heures pour une signature de son patronyme devant son hôtel, aller jusqu'à lui réclamer sur son réseau social. Sous prétexte que tu es célèbre, on te met bien l'idée que tu dois faire cela et des clichés avec celles et ceux qui en veulent avec toi / vous, vous amener à vous déplacer dans tel endroit parce que ces gens ne pensent qu'à eux (ou ne peuvent pas se déplacer, mais j'en doute, à moins d'être en fauteuil roulant, béquille, etc). Si ça n'est pas vous aborder pour les célébrités que vous êtes, je me demande ce que c'est alors. On ne change pas les ingrédients de la recette. Et comment penser qu'un seul se démarque dans tout cela ?

Et on peut dire d'un flûtiste qu'il est l'un des meilleurs flûtistes, je peux vous le refaire à toutes les sauces et pour tout les domaines existant, ce n'est pas ça qui va le faire accrocher.

Est-ce pertinent de parler de millions de façons de les aimer mais ne vous considérer que comme fans ? Priver quelqu'un de penser autrement que vous, (ré)agir de la même manière et vous vexez à la moindre réflexion déplaisante. On ne peut pas donner son opinion sur grand-chose, vous ne présentez que des prétextes foireux pour qu'on se taise quand ça vous enquiquine. Les commentaires plats ne vous enquiquinent guère et ne tiltez pas plus que ça dessus ! Dès qu'il y a matière à réfléchir, on fait tout pour que tu la boucles. Plus ça (vous) dérange, plus on (vous) critiquera ! Si pour vous, juger c'est rabaisser automatiquement, vous vous sentirez constamment dénigrés à la moindre remise en question et contradiction. Avec ça vous donnez davantage matière à cela et des raisons de le mettre en pratique !

Juger, c'est une appréciation (subjective à 99%). Quand on emploie des termes à connotation méliorative car on vous les a indiqués comme tels, on vous complimente et vous êtes contents. Quand vous dites que quelqu'un est beau, ça reste un jugement, une estimation également ! Pour moult, vous n'osez nullement dire ce que vous pensez vraiment par peur de l'être, de le faire envers quiconque, car on vous a bourré dans le crâne qu'il s'agissait d'une mauvaise attitude ! Mais c'est ce que vous attirez à vous. Ceux qui s'indignent du jugement sont peut-être les premiers qui s'évertuent à le pratiquer sans arrêt, et révèle quelque peu qui ils sont si on ne leur passe pas la brosse à reluire. Ce n'est pas de l'ouverture d'esprit, moult façons de penser, comme certains le prônent à tout va mais ne supportent aucune remarque qui les "contredit".

Je précise que cela vise les concernés et pas toute la communauté.
 
 
 


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Le sale sens configuré, littoral.
L'aisément, sat here. Blutage noise.

Qui mire « oir » ? Le fromage aux paillettes; masse qu'harponne, qu'à ras.
Retirer l'équarrit des dans.
Dessiccation, dissection du psyché dès leak.
Le cadavre exquis décompose le pas assez, un « tes rieurs ».
Est-ce pris ? Aux croisillons.
Repas qu'au pieu, sans colorant et conservateur.
Cooler 2769 248 6, fort maté. Het cis.
Re boot Reboot, pour ne plus être mené en bateau, carnaval.
Qui grée joie, chape line, qu'on plie quai, m'remisant.



On me dira sûrement que c'est dans ma tête, que c'est ce que j'imagine, je l'entends d'ici. Qui se trouve à ma place ? La musique, les sept arts, pour moi sont devenus "l'idée" qu'on se fait du style en chacun, une reproduction de celui-ci. La sensation d'être là pour apporter quelque chose d'original, j'ai arrêté de jouer de la batterie (pour l'instant) à cause de cela, car faire des choses qui ne m'inspirent pas grand-chose, juste taper pour taper, et obéir à la partition, peut-être trop simple, démotivant... Je retrouverais sûrement la mémoire, engourdie, à force de réfléchir, retrouverais mon énergie ainsi que la leur, en me trouvant leurs côtés, et tous. Qui pour écouter mes déboires ? S'il suffit de savoir un prénom, une année, un lieu pour savoir qui est quelqu'un. Toute chose a un sens plus profond. Ça suit le fil de ce qui a été dit sur eux... J'ai l'impression de les connaître "bien plus" à leur sujet que certains sans pouvoir expliquer pourquoi, de m'attarder sur des détails sur lesquels il s'avère indispensable de se concentrer, de ne pas en remarquer d'autres qui sont superficiels, facilement visibles si tu as l'habitude de t'arrêter à la surface, et tout "à mon goût" se révèle d'une superficialité. Marre d'être sans vous. Ennui de rester entre quatre murs alors que j'ai plein de rêves à réaliser pour des milliers de gens en souffrance, ça n'arrivera guère en me tournant les pouces, mais faire ça toute seule, non, non merci. Trop compliqué quand cela concerne une catastrophe avec tant d'ampleur, de pleurs de douleurs. À moitié endormie, à moitié réveillée.
 
 
 


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ƢӼӽՀẞ
Du vitriol à l'athanor, hortus ou raguant, le concis d'érable, monogenre, il a plu.
Son priapisme, prendre le dépourvu à l'improviste.
En sort scellement du dare-dare gens.
ᴟ de ᴐᴔᴜᴚ, hæ(r)t retourné, ligature  emberlificotée.
Les chiffres se couchent devant toi ⋈, de tout les côtés.
Laps(us) du xième k(n)ǫttr, largonji ergatif.
Alfa betta en kaléidoscope.
Mani pue la trice, sa lope.
Converge, êtes cette Héra.





Faîtes.
Fascinatrice qu'ils saccarifient, placeuse capsulée.
Coécrivant un solécisme, écolèrent.
Aprioris que je rosirai, déploirai une paréidolie, va halluciner l'archinulle.
Grisolons au rossignol, inhumions les nihoniums.











 
 
 


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Because you maybe expect play tricks (tracks ?) to my spirit that doesn't run smoothly: Alone on the surface, but plethora intrinsically. He takes the forms he want. With residues. And life makes geometry, is she measurable ?

J'ai tendance à penser qu'il faut laisser faire les choses, car c'est ainsi qu'elles s'avèrent bien faites, mais certains événements surviennent "plus tôt" que prévus, car sinon nous n'avançons guère. Nous écrivons notre propre histoire (qui se répète à chaque fois), mais pourquoi serait-il prohibé de la modifier en cours de route ? Ou pourquoi suivre le script au pied de la lettre, aucune surprise ? Parfois, un des meilleurs truc à faire, est de ne pas agir. Sauf qu'attendre que ça survienne quand on sait que ça aura lieu, travailler seule quand moult idées, fantasmes, fourmillent là-dedans, et mourant d'envie de les partager pour les concrétiser: L'ennui prend place. La patience n'est pas toujours une vertu. Et j'imagine que provoquer le destin fait peut-être partie de ce dernier, pour tomber sur le moment M.

Le t
emps n'est-il qu'une question de chiffres ? De passé, présent, et futur ?


Pourquoi l'Univers ne serait rempli que de planètes, comètes, étoiles, etc ? Pourquoi l'art serait si payant, restreint, ne pas utiliser les inventions d'autrui pour les peaufiner ? A-t-on peur que l'autre ait des idées plus innovantes que les notre pour le traiter de plagiaire ? Les mots, les "notes", etc, ne sont-ils / elles pas à tout le monde ? Pourquoi conclure serait-il un rapport charnel, et un rapport charnel, une finalité ? Le sexe n'est pas une compétition, ce n'est pas à celui qui ira le plus vite, le fera le plus souvent, avant monsieur tout le monde. Non, je ne me sentirais pas mieux dans ma peau en mincissant, et construire mon "bien-être" sur des kilos qui ne définissent pas l'épaisseur de mon corps. Grossir n'est pas forcément signe d'une santé en berne, comme on ne sera pas forcément plus sensuel, en faisant du sport pour sculpter, affiner son corps, si j'attire la personne à la folie. Si je fais quelque chose, il faut le prendre dans le sens métaphorique et plus profond que ça. Comme la confiance en soi ne s'arrête pas à cela non plus, on parle de cela par rapport aux regards extérieurs, important pour se voir autrement et s'améliorer, non là que pour l'image. Donc pas EN SOI. Si on la résume qu'à des choses apparentes, notre confiance en nous est en-dessous de zéro je crois. Mais remettre la faute sur les diktats n'est pas un peu facile pour éviter de s'assumer (parce que ça va pour tout les corps et pas seulement les gros) ? Pourquoi quelqu'un qui a un physique et / ou une voix ressemblante, ou cherchant cela, à tel artiste, reprend-il ses chansons ? Le quidam n'a-t-il aucune personnalité ? Suffit-il de cela pour incarner l'Homme et soit incarné en nous ? "Diabolise"-t-on ce qui nous dérange ? Les arrière-pensées, ce que nous sous-entendons, se révèle-t-il plus juste que les pensées en elles-mêmes ? Il n'y a pas de limites à s'exprimer. Les non-dits peuvent blesser également. Aucune nécessité d'être Parfait, professionnel, de faire ce que fait le voisin et / ou mieux que lui, pour donner son avis. Être ouvert à la critique constructive, c'est tolérer une pensée divergente de la notre, mais pas approuver tout ce que dit l'interlocuteur. Elle est un point de vue et non un ordre. Des interrogations que je ne me poserais pas, des réflexions qui ne pointeraient guère le bout de leur nez sans vous.

Artiste en herbe qui rumine.
 
 
 


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Je suis aimantée par toi aussi par ce que et parce que tu m'inspires.




Imagines-tu un instant rencontrer quelqu'un juste pour une "faute d'inattention", ou une lettre rajoutée pour ne pas qu'il y ait amalgame ? Car ce que l'on croit être une erreur, un accident, nous mène vers un chemin propice à notre évolution, idem concernant les choix.

Je trouve même ça bizarre d'avoir arrêté d'écrire ma fiction principale par "manque d'inspiration", sur un voyage en avion (comme si je l'avais fait exprès). Quand on connaît l'histoire derrière le nom Rammstein, ça fait sens.
 
 
 


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