Katze

Qu'est-ce que l'écriture ? Sinon une porte qui mène jusqu'à des lieux inexplorés de notre esprit.

On s'en fiche de la "date" mais bon... 13/08/23

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Méli-mélo(drame) d'émotions.


Le bourre jonc humide.
La plume se met à poil, ce drôle d'oiseau émeut.
À ce stade, on laisse le mou choir.
Se remplir d'(an)hédonie.
Tout est illusoire, poncif.
Se faire la belle, labile, volubile.
Arrêter l'activité.

Mais peu importe la taille, mettez une cartouche.
Ouvrez un dicktionnaire.
L'épine vous pique les doigts.
Coccyx en torsade, dit coucou niet.
Bites-tu cela ? Pigeons ensemble !
Sexe primé, un acte qu'est quête.
Wait... That sucks !

Zones primaires... Comment passer d'école à décolle: Le premier degré (si elle suce) s'avère froid, le calme plat, strict, en manque... d'imagination ! Il n'y a qu'à approfondir le sujet, explorer les autres suggestions et membres de l'anatomie. Le coït n'est pas qu'une affaire de plate-bande et de mec à nique. Qui sait s'y prendre ? Il ne suffit pas de mélanger les torchons et les serviettes pour faire grimper aux rideaux, prendre son pied et le reste. Eh oui, on fait dans la dentelle, mais autrement.

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Il y a plein de façons d'être sain et sauf. Il y a être sauf en tant qu'exception en étant en mille morceaux. Mais pour une tripotée de gens, il n'existe qu'une seule et unique manière d'être, autrement tu es factice, tu dysfonctionnes. Drôle d'approfondir si peu.

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En plus d'avoir son propre sens propre, quand le sens figuré porte le visage et la direction qu'on décide de lui donner, c'est, encore une fois, les apparences qui entourloupent (où résident-elles réellement ?). Nous ne jouons guère avec les mots, ils se jouent de nous, et ont leurs caractères !
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Se casser le cœur à exprimer ses (é)mois
Mais au nom de l'aloi, il m'arête, et polisse les aspects ras
Arrière-pensées en avant-garde n'ayant ni queueni têtes
Ni qu'eux n'y tètent ?
Épatant et patent


Den Unruhen zu gehorchen
Es [...] gicht
Tropfen entstellen die Realität
Interpretation, nicht unbedingt wie man das Idee meinte
« Ich » steg
Häute sich kaum heute
Nie mehr
Men, ja
Not anyone & everyone
Not i, u, and others letters
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
On s'en fiche de la "date" mais bon... 13/08/23

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L'écriture, mon exutoire, mon échappatoire. Ayant plus d'un tour dans mon sac (et dans ma plume) pour le vider. 
N'utilisant guère un langage fleuri, mais on m'envoie sur les roses
Certaines mal biaisées pour prendre le moindre frôlement synaptique de travers, raffinement où te trouves-tu ? 
Les gros-mots peuvent être des PETITS, L'ÉPAIS qu'on leur donne. 
Sacrée arme puis moyen de s'exprimer qui fait parfois plus de dégâts que des surnoms à connotation vulgaire. 
Tranche & tronche, ce n'est qu'un faciès.





Tirer un trait sur le mal barré
Double-face ou pile-poil, ça pose problème
Lunaire, mais pas l'unaire
Faire fondre la plastique dans le décor, non merci
K.O par mon chaos psychique
Félin cynique

In(co)hérent...
Style de figures ? Lys de feu gris
Fleur pas en cendre
Pissent-ils d'encre ?
Sirs cassent tiques, ixode rural
À l'ourdir, le texte ne suit nullement la trame

Qu'on ait plusieurs vies en une et inversement, à la suitet en même temps, qu'elle soit publique, privée, professionnelle.... Antérieure, intérieure, parallèle, perpendiculaire (un peu d'ironie), et autreformes... On est loin, très loin du compte. Tout comme l'âme, sait-on si elle existe ?
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Excentrique: Au centre de sois qui ne sont pas les mêmes.
La différence n'est pas que par rapport aux autres.
L'autre est l'autre quand ça nous arrange.
Mais aussi une partie de nous, donc pas tellement l'autre.

La co-naissance + être soi-même impliquerait tout nos "self" en harmonie.
Est-ce réellement un but à atteindre ?


En ignorant si ça sert encore à quelque chose d'écrire un amour peut-être perdu d'avance.
Après tout, il s'avère possible d'apprécier "un quelconque" ayant des idées divergentes des notre.
Sachant que la majorité d'entre nous sommes conditionnés, formatés, mis sous pression, conventions, injonctions.
On sort de la moule pour rentrer dans le moule, tu parles d'une naissance.
On habite entre quatre murs et on se retrouve enterré entre quatre planches, tu parles d'une existence.
C'est bien pour ça que quand « je » dit aimer, ça dépasse l'entendement. « Je » croit qu'on ne peut pas le définir, parce que ça n'aurait aucun sens de le définir... Les sujets, verbes, compléments, changeraient de natures, se retireraient de leurs carcans. Les règles de grammaire, orthographe, conjugaison, se supprimeraient.

Mais on peut toujours rêver...
 
 
 


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Mettre des mois pour déclarer sa flamme, et...
Abandonner, la bougie à peine allumée
Si l'un ne pouvait pas venir, l'autre pouvait venir à l'un
La distance ne fait pas couper les ponts
Mais sortir du train-train
Aller à l'(h)être
S'aventurer dans la forêt et plus

Faire la différence entre le rêve et la réalité ? L'un n'est pas tout rose, l'autre pas tout gris. Les deux nous en font voir de toutes les couleurs. Bien qu'ayant les pieds sur cette planète nous sommes chacun dans notre monde, les deux se confondent. Parce que nous pouvons rêver que nous rêvons et / ou dormons, nous ne savons pas si nous sommes dans la réalité quand nous nous réveillons. Le rêve est peut-être celui qui nous empêche de dormir. La réalité ne s'avère guère simple à définir. On peut "contrôler" la plupart de nos rêves là par rapport à ce qu'on traverse, quelqu'un en particulier. Si c'était aussi irréel on aurait aucune mainmise dessus, il y a un juste milieu quand même. Tout ce qui touche à l'esprit n'est pas forcément un leurre. Plutôt "mal" venu de dire à un quidam qu'il vit dans une utopie quand on a fantasmé sur lui + ça ne veut pas dire qu'on vit dans le non phantasme. Pourquoi plusieurs songes pour une seule et unique tangibilité ? Le monde du travail, à ce moment-là l'évocation de monde aurait systématiquement trait à l'utopie concernant chaque sphère d'activité. On hallucine tous alors.

Quand elle est dans la lune, toi dans un trou noir, vous l'avez dans le cul donc ça ne va pas. La structure du cerveau et de l'Univers correspondent, guère étonnant dans ces cas-là, mais attention aux apparences. Il y a assez d'espèces non découvertes chez nous pour aller chercher ailleurs. Il y a plusieurs formes de vies de notre côté déjà. On peut avoir une forte imagination et un esprit critique, c'est même manquer d'imagination que de croire bêtement à des idées toutes faites. L'esprit est un putain de caméléon.

Une vocation, c'est transformer son métier en art... Ce premier te choisit, te permet de TE travailler. Il s'agit d'un truc en plus que tu as dans le sang. Ainsi qu'être son propre chef, suivre sa propre voie. On la trouve aussi en changeant de parcours, ce qui permet d'exploiter nos capacités. On ne dit pas tout comme dans d'autres métiers et le quotidien. Puis qui n'a rien à cacher ? Le secret n'a plus trop de secret quand tu gardes plein de choses pour toi, donc inutile de dire qu'on a des trucs à dissimuler car évident.
 
 
 


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