Because you maybe expect play tricks (tracks ?) to my spirit that doesn't run smoothly: Alone on the surface, but plethora intrinsically. He takes the forms he want. With residues. And life makes geometry, is she measurable ?
J'ai tendance à penser qu'il faut laisser faire les choses, car c'est ainsi qu'elles s'avèrent bien faites, mais certains événements surviennent "plus tôt" que prévus, car sinon nous n'avançons guère. Nous écrivons notre propre histoire (qui se répète à chaque fois), mais pourquoi serait-il prohibé de la modifier en cours de route ? Ou pourquoi suivre le script au pied de la lettre, aucune surprise ? Parfois, un des meilleurs truc à faire, est de ne pas agir. Sauf qu'attendre que ça survienne quand on sait que ça aura lieu, travailler seule quand moult idées, fantasmes, fourmillent là-dedans, et mourant d'envie de les partager pour les concrétiser: L'ennui prend place. La patience n'est pas toujours une vertu. Et j'imagine que provoquer le destin fait peut-être partie de ce dernier, pour tomber sur le moment M.
Le temps n'est-il qu'une question de chiffres ? De passé, présent, et futur ?
Pourquoi l'Univers ne serait rempli que de planètes, comètes, étoiles, etc ? Pourquoi l'art serait si payant, restreint, ne pas utiliser les inventions d'autrui pour les peaufiner ? A-t-on peur que l'autre ait des idées plus innovantes que les notre pour le traiter de plagiaire ? Les mots, les "notes", etc, ne sont-ils / elles pas à tout le monde ? Pourquoi conclure serait-il un rapport charnel, et un rapport charnel, une finalité ? Le sexe n'est pas une compétition, ce n'est pas à celui qui ira le plus vite, le fera le plus souvent, avant monsieur tout le monde. Non, je ne me sentirais pas mieux dans ma peau en mincissant, et construire mon "bien-être" sur des kilos qui ne définissent pas l'épaisseur de mon corps. Grossir n'est pas forcément signe d'une santé en berne, comme on ne sera pas forcément plus sensuel, en faisant du sport pour sculpter, affiner son corps, si j'attire la personne à la folie. Si je fais quelque chose, il faut le prendre dans le sens métaphorique et plus profond que ça. Comme la confiance en soi ne s'arrête pas à cela non plus, on parle de cela par rapport aux regards extérieurs, important pour se voir autrement et s'améliorer, non là que pour l'image. Donc pas EN SOI. Si on la résume qu'à des choses apparentes, notre confiance en nous est en-dessous de zéro je crois. Mais remettre la faute sur les diktats n'est pas un peu facile pour éviter de s'assumer (parce que ça va pour tout les corps et pas seulement les gros) ? Pourquoi quelqu'un qui a un physique et / ou une voix ressemblante, ou cherchant cela, à tel artiste, reprend-il ses chansons ? Le quidam n'a-t-il aucune personnalité ? Suffit-il de cela pour incarner l'Homme et soit incarné en nous ? "Diabolise"-t-on ce qui nous dérange ? Les arrière-pensées, ce que nous sous-entendons, se révèle-t-il plus juste que les pensées en elles-mêmes ? Il n'y a pas de limites à s'exprimer. Les non-dits peuvent blesser également. Aucune nécessité d'être Parfait, professionnel, de faire ce que fait le voisin et / ou mieux que lui, pour donner son avis. Être ouvert à la critique constructive, c'est tolérer une pensée divergente de la notre, mais pas approuver tout ce que dit l'interlocuteur. Elle est un point de vue et non un ordre. Des interrogations que je ne me poserais pas, des réflexions qui ne pointeraient guère le bout de leur nez sans vous.
Artiste en herbe qui rumine.