Katze

L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...

On s'en fiche de la "date" mais bon... 01/08/23

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Que l'on vous demande de faire une photo avec vous, et / ou un autographe, n'est guère une déclaration d'amour, pour moi, envers vous. Je ne déteste pas non plus, mais je n'ai pas envie de venir que pour cela, me barrer, et la brandir sur je ne sais quel site. Je ne souhaite aucunement ceci, pour me la raconter.

J'ai envie de vous faire lire mes textes, complexes. Je ne me suis jamais autant appliqué qu'en écriture, qu'en écrivant pour vous. D'ailleurs, j'ai composé une musique qui vous est dédiée, comme je me suis composé avec vous.

Mais jamais, oh jamais, je me serais confié de cette façon, à quelqu'un !

J'ai déjà traduit mes articles à plusieurs reprises, malgré les bugs. Je me suis demandé quel titre je pouvais donner à des mélodies pareilles. C'est du boulot, avec quelques notions, un traducteur, un dictionnaire, et ma mémoire. J'en ai chié pour en arriver à ce point, je n'ai jamais abandonné le fait qu'un jour je vous tendrai mes sentiments.

Je ne fais jamais quoi que ce soit sans que cela ait des significations particulières. Chaque mot souligné, barré, entre parenthèses, guillemets, coloré, etc, ce n'est guère pour faire joli. Puis chaque note est placée ici pour une raison. Le nom de celles-ci, n'est pas choisi "au pif". Les instruments, idem. À quoi bon faire quelque chose sans y mettre d'attention, d'intention ? Sans que l'on y trouve ce truc qui rend le tout sublimé ? Sans aimer.

Je ne choisis pas de date, d'heure, pour calligraphier mes émotions. Vous êtes ma source d'inspiration. Ma source, tout court. Ou peut-être pas tout court. Elle n'attend guère pour surgir à telle minute, tel endroit, un dix Juillet, par exemple. J'ai des infinités d'affinités à vôtre égard. M'arrêter, ce serait comme ne plus respirer. Laisser tomber mes projets, mes rêves, ce serait vous laisser tomber. Il en est hors de question !

Je resterais tenace, quoi qu'il arrive, quoi que l'on me dise pour essayer de m'en détacher, pour me convaincre d'abdiquer, que cela n'en vaut pas la peine. Alors que je sais très bien que c'est le cas, car ce que j'ai traversé m'a mené ici, sûrement pas pour des clopinettes.

Je n'ai pas envie de gâcher mes sentiments, de gâcher notre histoire, à cause de propos dits pour me duper.

Je n'ai guère envie de vous rendre un soi-disant hommage, en reprenant une de vos chansons, sans la comprendre. En faisant un groupe juste pour reprendre celles-ci.

Cette musique est ma pièce maîtresse, construite avec ma cervelle. Pour moi, elle est très spéciale et significative.

Je veux vous faire cogiter avec mes enjambées lyriques. Je n'ai pas envie d'être une simple personne qui vous aime, parmi des milliers. Je souhaite vous toucher autant que vous m'avez touché. Mais pas n'importe comment, n'importe où, n'importe quand, et pour n'importe quelles raisons, car vous êtes la mienne. Alors celles-ci sont le reflet de votre esprit.

Je ne me lasse jamais de me confier à vous. C'est dingue. Dingue, bordel. Je ne m'arrête jamais de penser. Ce flot continuel, constant, qui a besoin de se déverser. Chaque neurone contenant des bribes qui ne se stoppent jamais, aussi.

Les lettres sont inscrites dans mon ADN. Je vous le jure. L'écriture sans lettres / l'être, zéro, inenvisageable. Et je pense que ce n'est guère pour rien que ces deux-là ont la même sonorité. J'en bouffe tout les jours. Et je n'aurais eu ce style sans vous, car vous le magnifiez !

Comme cette passion.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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L' « heben », l' « hover ».
Ne se trouve pas sur liste « héron », l'hystéron-protéron, pour faire l'autruche.
L' « heben », l' « hover »: Kaum hauch von dunst.

Es braucht dort kaum sich zu fragen how germany wir sind.


Ihr seid breit / bright. Guère qu' « hold », sur mon « floe ». Nullement sur ma banque, « his ».
Here, own « heek ». -Euille de merle en « free », qui reste sur ma kriek. À lambik.
Ma poésie, à l'ïambique.
Tuch, mon parnasse, marlin l'enchanteur. Du machst mich der Hof.
Hohne, dich. Hesse (Berlin got ?) ? Le « deep », l'Œdipe. Anty « gone ». Das ist Schwer in bremer.
En t'étant, je coïte avec ma cervelle.
Loustic, lustig, take my jocareEn corinthien, qu'il me dit !
Oncques, hé, « rohr », votre recueil. Rîmes ! Mais rîtes ! Que je les risse, aussi !
Dans les « coal », déprimâmes, des primates, des primaires.
Sind wirrsieb en(glische). Würde, zäh, uns.
Savon pour nous mousser.
L'ânesse Maïa, l'a « bey », ist Thot & Étolie.
Je fais l'atèlela tellepour mes pottos.
Numhérosconducteursen lotos mobiles. Hyper, y gagne.
Les parangons, guère daignaient.
Stop, décréter le piton, qui dévore lamie.
(Hé) Kehr, ozen, für uns. Wir sind kaum die Esel.
Effeuillage linguistique: L'écriture, l'art qu'est aux logues. Léda. Être « otter ».
De l'huile de feature / con « feeture », en celle-ci. Paul, parmes-en.
Write with my (my(nd)) Pennsylvanie, with my (br)other(s).
Je les paraissur le phtisique.
Guère d'isoglosse sur mes « leap ».
Je gobe la pinne / « peen », pessedu cactus.
J'exhibe mon (po)potinreluque mon nombrilsuite à mon bide.

Au qu'troisMes émotions.
Sein dünkel dry, à la morgue.
∃. ∈ à l' ∫, ∀. Nullement ∝. M'a tilde.

[ . . . ]

Mon in(ve)stigation que je galvanise avec ma biotite, mais nullement in mein « harsch ».

Ich bin kaum doll, & anschuldigung.

Gebohren bei euch.

[ . . . ]

Musisien. Serait par, avec la mi-molette. Chleuasme. Sessile. Jocaste. Étéocle. Polynice.
Tu choisis n'importe quels phonèmes pour faire de la soupe aux navets. "Au pif". Dans le bol du petit icosicosidodécaèdre rétroadouci.
Nos façades sont comme b, d, p, & q. Comme u & n.

[ . . . ]

Мес
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Ich habe den Eindruck daß der achtundzwanzig August eintausend neun hundert achtundachtzig, und die DDR, sind verbunden.
288, comme le 28 Août 1988. DDR: 4 x 4 x 18 = 288.
Im Atlas fehlt ein Staat.
Von einer ganz besondren Art.
Ja, zwischen BRD und Polen.
Da wurde ein Land gestohlen.


♫ ♫ ♫
 
 

 


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Vingt-huit Août mille neuf cent quatre vingt huit, j'ai l'impression d'y être impliqué, d'y avoir participé. Qui sait ce qu'il s'est passé, réellement, malgré ce qui est dit sur certains sites, à ce sujet ? Qui sait vraiment pourquoi Rammstein s'appelle ainsi ?

Je ne t'oublie pas, drame, je te porte en moi. Maintes personnes ont eut le cœur percé, suite à toi... Et ce n'est pas qu'un jeu de mots. Mais j'ai la sensation que le mien également, et que c'est pour cela qu'il me faut en parler. J'en ai besoin.

Y a-t-il besoin de demander si ces personnes ayant vécu celui-ci, vous portent de l'admiration, aujourd'hui ? À travers le temps.

J'ai également l'impression que moult personnes omettent que, oui, NOUS y sommes impliqués (pas en mal), pour porter ce nom que prononcent beaucoup sans savoir sa / ses signification(s). Que ce « m » rajouté, n'est guère qu'une inadvertance.

Est-ce que l'on peut vraiment différencier la troupe, de l'accident, puisque c'est pour cela que nous nous appelons de la sorte ? Est-ce que c'est pour cela que ce drame est survenu ce jour ? Déjà, est-ce que la question se pose ?

Comme si Il a été choisi d'avance.

Je ne peux guère passer au-dessus de ceci, ça fera trente ans en deux mille dix-huit, mais pour d'autres, c'est comme si cela c'était passé la veille, ou dans la journée, voire à peine une seconde plus tôt. Car ils s'en souviennent dans les détails, repassant la bande plusieurs fois dans leur imagination, faisant resurgir ces scènes enfouies très intimement en eux. Rien n'est modifié, toujours les mêmes émotions et ces gens qui courent partout, ces ambulances, ces policiers, ces cris de douleurs, ou bien pire. Et puis ces avions, surtout.

Oh non, je ne peux pas omettre cela.

Mais qu'est-ce que je peux faire, quand un sacrifice, de la reconnaissance, des merci, ne sont pas ou plus suffisant pour dire à quel point je les aime, bordel ?! Qu'est-ce qu'il faudrait de plus puissant, alors que ça a déjà atteint son summum ? Est-ce que cela existe ? À part mes textes, Bazharmonie, qu'est-ce qu'il y aurait de plus intense que ce que je fais, j'ai fais, pour eux, jusque maintenant ? À votre avis ?

Est-ce que « Je t'aime plus que tout au monde » est unique pour chacun, ou pareil pour tous ? Parce que, pour moi, ce serait: Mais lequel ? Il y en a à l'infini, et si je disais que mon Amour pour eux est même plus immense que tout ces autres univers qui existent à travers l'Univers, est-ce que ce serait prétentieux, ou justifié, parce que je suis relié à eux de tout les côtés, puis dans tout les sens ?

Parce que j'ai beau faire, je n'existerais pas sans ces teutons, chaque chose que j'ai faite leur est dédiée. Alors bordel, oui, qu'est-ce que je peux faire de plus... Que de les aimer en long, en large, en travers, en profondeur, puis le reste ? Quand pas un seul morceau de mon être ne les déteste, comme magnétisé. Et si c'était une personne hors de Rammstein, est-ce que j'aurais fait tout cela, est-ce que je le ferais ?

C'est à vous que je pose la question.

Non, je ne t'oublie guère.

Non, je ne t'oublie guère, drame.
Je ne t'oublie guère, Ramstein.
Ta renaissance a sûrement eu lieu en ce début d'année mille-neuf cent quatre-vingt-quatorze.
Je ne t'oublie guère, parce que c'est ce qui m'a forgé, durement, mais sûrement.
Et je ne le ferais jamais. C'est gravé en mes gènes, gravé, comme on enfonce une pierre pour le faire.
Je mets: Du... Rammst ein.
 
 
 


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Et si nous avions étés le Teddy Frédèque, puis la Loucia Brandelys, de cette histoire que j'écrivais, il y a plus de dix ans ?




Mon attraction, mon grand huit émotionnel.
La vie t'a fait exister de sorte à ce que tu sois agrippé partout en mon être.
Les cordes de ta guitare vibrent à ma fréquence.


“ Par don, votre majesté...
Mes propos succincts sont sans succès.
J'ai Louis émorfilé.
Ce Soleil n'éblouit votre divinité.
Ce vous, guère les gars le rient.
Restez dans le couloir, pour épater la galerie.
J'y ai érigé un monument en votre honneur.
Comme vous m'émouvez, je suis ampleur.
Créer chaîne d'eau, pour une cascade de liquide lacrymal.
Buvez-en, c'est un régal.
 


« On se met confortablement pour visionnele film. Ses papouillem'apaisentSon front contrma tempe, me regardant avec csourire compliceauthentique. Pendant uinstant indéterminé. Infinisuspendu, figé dans l'espace-tempsLe dvest tout de suite inintéressanttransparentles acteurs sont maintenanspectateursMa tête cole suson épaule, bere par ses chatouillesJe suis bien. Plananà dekilomètredu ciel terrestrecôtoyant leétoiles, leplanètes. Jsuis tellement bienquje m'assoupis. »
 
 
 


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