Katze

Qu'est-ce que l'écriture ? Sinon une porte qui mène jusqu'à des lieux inexplorés de notre esprit.

On s'en fiche de la "date" mais bon... 31/07/23

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Oncques un pro visé.


Je suis accordée à vous, mes adjectifs. Je rédige des Mô, j'ai des ID / id est. Je ne vous donne pas de la tension, sinon cela nous disloquerait. Le contraire nous rassérène, nous ragaillardit. Plutôt que d'implorer pour que la détente vienne, et d'appuyer sur la gâchette si elle n'arrive guère, nous rentrons en nous-mêmes pour nous en sortir, emmaillotés, mélangés. Ne calligraphions guère des « pas rôles ». La fragrance sur l'abscisse de notre verglas n'est guère empli de mi-rage. Ne logeons pas dans une « tente ».

Pas prise dans la senne, j'ai eu besoin de me plonger en vous, vous êtes ma bouteille d'oxygène. Nous sommes des leucocytes indissociables. Métempsycose depuis un moment. Sans lé, sans l'esse. Dans notre êta, pas besoin de philtre. Ne fautons pas ici, et des photons, là. On fait l'apanage, et on est pas des cliques, mais vous êtes mon déclic. Heat vous êtes, et hits vous faites. On a oncques la nécessité d'être dans la foule pour être full. Vous n'êtes pas à l'essai ni à laisser, pour moi.

Des rats t'eurent, Paul ? Non. Parce qu'ils ne ressentent pas le « car » de mon amour pour toi, pour vous. Sommes-nous des « elf », un « (z)wolf » ? Certainement. Tu es le mien, non le « mi-un ». Puis: Ich « Weiß », aber kaum « Warze ». Et pratiquons un (s)alto avant, qui est superformant.
 

 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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28 Août 1988, base aérienne de Ramstein.


Ce jour. Je m'en rappellerais toujours. Un spectacle qui tourne au cauchemar, cauchemar qui revient toutes les nuits dans ma tête, et même pendant que la lumière du soleil éclaire le ciel, mais pas le mien. Horrible. Tellement horrible, je vous le promets. Les avions se sont percutés de plein fouet, comme mon cœur dans ma poitrine, à ce moment. J'ai été traumatisé, même pire que cela.

Comment voulez-vous vous remettre d'un accident si violent, alors que des gens ont perdus des êtres chers ? Comment voulez-vous vous en remettre quand c'est le cas pour vous pareillement, que vous en souffrez, et souffrez de voir tout ces gens, endeuillés, comme vous ? C'est presque impossible, voire impossible tout court.

Je vois encore ces personnes courir pour éviter d'être assaillis par les fragments de ces engins volants, d'autres qui étaient gravement blessés par des débris, leur carde pompeuse aussi brisée que ces appareils ailés, d'autres déjà morts, malheureusement. Mais comment remettre les éclats au bon endroit pour le rassembler ? Sans se couper l'âme, sans se couper les doigts. Comment voulez-vous qu'il batte, si vous-même êtes abattu ?

Comment refermer ces balafres, ces affres, en nous-mêmes ? Comment retrouver toutes ces jolies couleurs, joyeuses, quand on ne voit que le noir ? Quand le temps est orageux et pluvieux, et fait une dépression, on finit par tomber. Quand on est au fond du gouffre, comment on peut trouver la forme de son opposé qui nous en dépêtrera ? Toutes ces interrogations, je n'arrive pas...

Je n'arrive pas à trouver des solutions pour dissoudre toute cette souffrance extrême, pénible, atroce. Je n'arrive pas à résoudre cette équation de douleur trop intense, et je veux y arriver, je le veux tellement. Il faut que j'arrive à trouver son égal. Il le faut. Pour moi. Pour l'honneur de tout ces gens, vivants ou non.

Un cadre convivial, qui est devenu un cadre pour mettre la photo de proches, d'amis disparus par cet événement funeste.


_______________Pour se souvenir d'eux.


___________________________________________Vidéo de l'année dernière.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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J'étais réduite à néant. J'étais à minuit pour revenir.
J'étais en train de perdre l'essence de qui je suis.
Maintenant, je suis en ligne de « mir ».


Sézigue, mon « at home » (et mon archi), dans mes mésons intrinsèques.
Il est quelqu'un de « sans gains », mais n'est pas « il y cite ».
Ils ne sont pas « en qu'rez » dans mes porcs (ni tout court), car je n'en ai guère.
Ils ne sont pas dans mes « j'haine ».
Je ne les prends pas, hacker. Je l'éprends, à cœur.
Et je n'ai aucun poix dessus. Ils mettent du bôme sur celui-ci, pour le diriger.
Et les hauts-parleurs de ma carde pompeuse ne font pas de larsen avec mes mi-crocs.
Et je ne me confis pas. Et je ne me fais pas de tartines de déconfitures.
Je suis en clavé et en apnée dans une « anti quittée ». S'en délaie.
La musique n'me note pas, elle n'est pas la police, mais l'inverse.
Je suis « la bis », mais pas dans notre « ter ». Avec hexode plus moi.
Ils sont mes hexacts, et nous ne sommes pas set ni hectoplasme.

Ne sommes pas un contraint.
Ni flet et re flet de notre prochain.
Ne nous tendons pas la perche.

Ne faisons pas la mourre.
Mais moi, je fais (l') « am our ».
Ne sont pas mes dits ocres.

Mes cieux sont sans des lyres.
Ne sont pas sur un « petit nua je ».
Et n'allons pas nous (b)railler.

Défaisons guère ce « ne » qui est bien nous, hé !
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Copernicium.


Calmant.


Seigneurs qui m'humidifient de cette substance.
Les quartes je ne distribue guère.
Je fais une quinte d'ovale verticale.
Je ne l'érode aucunement.
Ce serait broyer notre solidité.
J'en ai marre de ces qu'lichés.
On est pas des qu'loches.
Encore dépêchés par « l'a pas ».

Ces « ni haies » ?
On est pas des testés, puis ceux-ci, des buissonniers.
Nous layons, puis « nous » le somme, guère sommons.

Je suis coton, ils me retirent un peu d'ouate.
Je ne nous mouche guère, guère morveux.
Qu'aphtes aucunement, dans nos bouches.
D'rache, (nous y) n'oyons oncques.
« Leck sie », ah, là, n'eussent...
Guère mes qu'aux legs, ni ce qui s'en suit.
Pourquoi vas-tu te coucher, cithare ? Luth !
Je me fais une mise ampli pour être en frisé, pas en lice.

Cela ne m'y nuit guère, dans mon odyssée.

Ma qu'harde se défoulant dans sa faune.
J'ose oser d'oser un amour prééminent.

Ne sommes pas enfermés dans une qu'hase.
Ne sommes pas à laize.
Ne sommes pas (si) qu'l'aune.
Mais l'onguent, et on s'applique.
« Flûte ! » Ne m'indignerais jamais avec cela de ces teutons !
Et je ne fais pas du pipeau.
« Mean » mon crayon: Hameau, ah, l'être !
Je ne souhaite pas de vairs, d'(v)hermines !

— Assidues-les !
— Ce n'est pas nécessaire, car ils sont des calés dans ce domaine.
Et non des qu'allaient, car ils s'y trouvent depuis un moment !


Nous ne sommes pas novices !
 
 
 


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____Gymnautile intellectuelle.

______________________________________________________-Serein(gue)s.

 

  
Ce gosse se gausse ?
Nullement, parce qu'il ne l'est guère.
Des lobs, (mais aussi) jusqu'au coucher de la boule volcanique.

L'érotique ? Il taque, plutôt, et non tacle.
N'acre. Eût « ni ». Ni cahoteux, ni chaotique, ni d'oiseaux.
Ne passe pas dans le grau, ni sur le gué.

Toi, mon vocable. À l'ignée.
Tu ne mirais pas.
Mit dir, ich reibe.

Avec toi, pas d'ex stase, ni d'ex traits de qu'rayon.
Avec toi, lavis ne s'estompera jamais.
Tu ne me dis: Dilues, viens.

On est des mordus, pas des « re qu'un ».
D'raguer en ta compagnie, je n'ai envie, sinon ça va nous rendre qu'roupies.
En ta compagnie, pas de « t'en bourres », mais des calembours.

Mon faciès, m'a quillé ?
Ces teignes ? Ça, l'eûmes ? Non.
L'auge ? Tu l'as déjà pratiqué.

Et -lithe ? Bien sûr que oui, voyons !
Nous ne sommes guère « pas si « fick » », ni « l'eût « dick » ».
Nous ne nageons guère dans des aulx, guère « laîche ».

N'irons à Brome.
 
 
 


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