Et si nous avions étés le Teddy Frédèque, puis la Loucia Brandelys, de cette histoire que j'écrivais, il y a plus de dix ans ?
Mon attraction, mon grand huit émotionnel.
La vie t'a fait exister de sorte à ce que tu sois agrippé partout en mon être.
Les cordes de ta guitare vibrent à ma fréquence.
“ Par don, votre majesté...
Mes propos succincts sont sans succès.
J'ai Louis émorfilé.
Ce Soleil n'éblouit votre divinité.
Ce vous, guère les gars le rient.
Restez dans le couloir, pour épater la galerie.
J'y ai érigé un monument en votre honneur.
Comme vous m'émouvez, je suis ampleur.
Créer chaîne d'eau, pour une cascade de liquide lacrymal.
Buvez-en, c'est un régal. ”
« On se met confortablement pour visionner le film. Ses papouilles m'apaisent. Son front contre ma tempe, me regardant avec ce sourire complice, authentique. Pendant un instant indéterminé. Infini, suspendu, figé dans l'espace-temps. Le dvd est tout de suite inintéressant, transparent, les acteurs sont maintenant spectateurs. Ma tête collée sur son épaule, bercée par ses chatouilles. Je suis bien. Planant à des kilomètres du ciel terrestre, côtoyant les étoiles, les planètes. Je suis tellement bien, que je m'assoupis. »