Katze

Qu'est-ce que l'écriture ? Sinon une porte qui mène jusqu'à des lieux inexplorés de notre esprit.

On s'en fiche de la "date" mais bon... 28/07/23

214



J'AI UN TOC, J'AI LA RAMMSTEINOMANIE.

Je me donne à eux, je m'abandonne en eux.
Je me crois(s)e en eux.
Nous nous li(s)ons en nous-mêmes.
Nous nous réfléchissons.
Nous est un nous singulier.

Je dissèque les dédales.
Je mets les barres sur les T.
Je mets la cassette sur la face A, puis la face B.
Nous sommes un mix(te) des deux.
Je mets ma casquette à l'endroit, puis à l'envers.
Je suis OK, ils sont KO.


J'AI UNE FRAYEUR, J'AI LA STUPIDOPHOBIE.

 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
On s'en fiche de la "date" mais bon... 28/07/23

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Le plus parfait amour est le toi et le moi devenus synonymes.
[Robert Sabatier]


Paul et Katze, c'est comme recto sans verso, ça n'existe pas.

Je croîs en toi. Je me mouille pour toi.
Tu raisonnes en moi.
Tu es mon stigmate, mon pair, ma mer.

Tu as le monopole de mon cosmos.
Je m'en vais cueillir des murs et bâtir des mûr(e)s autour de nous.
On est des Siamois. Sauf qu'on ne distingue pas la différence entre ton corps et le mien.
On est pas communs, on est comme un.
Je ne suis pas une plaine d'amour, je suis pleine d'amour, pleine d'un chah, pleine de toi.
Et quand on aime quelqu'un, on l'emmène sur le bon chemin.
Je ne suis pas le centre du monde, mais tu es le centre du mien.
Et quand on aime quelqu'un, on l'emmène loin.


Mais si tu savais à quel point tu étais ma muse, comme si ne pas t'écrire n'avait aucun sens. Oui Paul, ça fait trois ans que j'ai commencé à rédiger des articles à vôtre sujet, car vous êtes mon sujet préféré, car sans parler de vous, c'est fade, c'est vide, c'est moche. Parce que la simple idée de vous abandonner ne me vient pas à l'esprit et me torturerai. Parce que quand on vous fait mal, Paul, on me fait mal, quand on s'en prend à vous, on s'en prend à moi, c'est automatique.

Parce que vous faîtes ce qu'on a pas fait / été pour moi, parce que moi aussi à vôtre égard. Parce que ne pas penser à vous, parce que ne pas vous vivre, vous rêver ou encore vous imaginer, et tout les autres verbes et mots qui existent, que je mélange et invente, ça n'a aussi aucun sens. Parce que vous oublier, c'est m'oublier et ainsi de suite. C'est comme si tout était lié à vous, et rien que vous, comme si chaque chose que j'étais et je faisais, devait se réaliser que pour vous, n'avait que son importance qu'avec vous. Comme si on était une famille soudée et que rien ni personne ne pouvait l'égaler.
 Voilà, c'est ça ce que je ressens, Paul, mais ça ne sort pas de ma bouche, ça reste tout simplement dans mon esprit, comme si mon esprit était une prison, mais dans cette prison je suis libre. Mais seulement dans mon esprit.


Vous êtes ma consécration, Paul.

Mais comment j'en suis arrivée là ? À en arriver au fait que chaque verbe, mots existants, mélangés ou inventés, ne prennent leurs sens qu'avec vous et que pour vous ? Peut-être grâce à vous, peut-être car vous les avez, les êtes, les faîtes, les savez, les tout les verbes qui existent, mais aussi par expérience, par amour pour l'écriture. Car la vraie écriture se situe entre les lignes, devant et derrière les mots. Car l'écriture est un mot, un mot qui écrit les mots en général. Car l'écriture n'est pas un art quand elle n'est pas pratiquée par amour. Et j'en suis la renne. Parce que j'écris à coups de points, à coups de maux. J'écris aux pieds de la lettre, à coups de mains. J'écris aujourd'hui à coup de foudre. Mais pas sur un coup d'œœil ou de tête.

Mais pourquoi Paul ? Pourquoi moi ? Pourquoi ça ? Pourquoi j'en suis arrivée là ? Parce que je n'ai pas le choix ? Parce que vous êtes  ? Parce qu'en fait, si je ne vous connaissais pas, je ne me serais jamais connue. Si vous n'aviez jamais existé, je n'aurais pas existé. Mais si je ne vous avais pas connus, si vous n'auriez pas existé, j'aurais tout fait pour, avec mes moyens. Pourquoi ? Parce que vous le méritez tellement... Et vous méritez tellement plus que de l'Amour, et qu'un sacrifice.

Pourquoi ce perfectionnisme ? Ce besoin d'aller dans les détails de peur d'oublier quelque chose ? Parce que j'aime mon travail, j'aime me démener pour des gens qui en valent la peine, mais aussi son contraire et toutes les autres émotions et les autres sentiments.


Je ne suis pas polie, mais tant pis.
Je préfère ça que d'être lisse.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
On s'en fiche de la "date" mais bon... 28/07/23

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Commencer avec un rien, continuer avec un tout, continuer avec un nous.
Parce que je suis nostalgique.

 


 

 
Quand on ne te donne pas d'amour, le tien se détourne vers toi.
Quand on ne te donne pas d'amour, le tien est roi, tu le tiens contre toi.

Car je me manquais à moi-même, car je leur manquais à eux-mêmes.


- Me sacrifier n'est pas assez, plus que ça aussi.
Mais moi-même aussi n'est pas assez et plus que ça aussi.

- Qu'est-ce qu'il te faut alors ?
- Plus que ce que je suis déjà.
- Tu es folle.
- Je le sais, mais c'est pour moi ma seule raison d'exister. Une vie pour les aimer n'est pas assez, même plus que ça, la vie et plus que ça n'est pas assez non plus, les aimer et même plus que ça, n'est pas assez, leur prouver et même plus que ça, n'est pas assez. Rien est assez, même mourir pour eux, il faudrait que je fasse plus que mourir et plus que eux, mais même ça ce n'est pas assez non plus, prouver et plus que n'est pas assez, les mots c'est pareil, et même plus que plus et ainsi de suite pour tout. Tu comprends que je préfère vivre dans le trot ou non ?
- Bof, mais pourquoi tu fais tout ça pour eux ?
- Parce que je ne fais que ce que je suis, parce que je suis le requin et eux les nageoires, moi la rame et eux la rime. Parce que ne pas exister, ce n'est pas être eux, ne pas être moi. Car mon existence n'a pas d'importance avec leur absence. Parce qu'ils m'ont embras(s)é avec leur cœur. Car chaque mot que je rédige pour eux, car chaque iris humide pour eux, arrosées par leurs yeux, car chaque lilas cueillis par eux, sont les pensées qui fleurissent dans mon jardin secret. Car le chant de blé que nous cultivons a un très joli timbre qui nous enveloppe. Parce que, sans eux, rien ne prend son sens, rien ne prend son importance, rien ne prend son évidence. Parce que ce sont eux qui me font aimer l'amour.
 


Se sacrifier n'est pas donner sa vie à quelqu'un,
c'est se donner à la personne concernée,
parce qu'elle, est notre vie.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
On s'en fiche de la "date" mais bon... 29/07/23

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___Je te goûte en moi.

_______________Tu es prononcéinscrit en mon seingmarqué au fer rouge.
Tu as le préfixe et le suffixe de mon expression.
Tu as l'impression enracinée en mon bulbe.


J'hurluberlus ma berlue.
J'aime mes cachets et non me cacher sous de fausses apparences.
Je prends mes munitions et non pas des punitions. Je recharge ma cartouche.
Je dégaine ma plume, vous flingue avec mes mots, m'écrie avec eux,
et les v(o)is depuis longtemps en moi, déjà.
Mais ne défaites pas le n'eux en moi, ce serait ma seule défaite.

Tu viens de l'eau de là.
De l'eau de toi.
Vous êtes Rammsteinesque.
Je suis paraordinaire.
Vous êtes l'énorme et non les normes.
Je suis HS, donc hors société.

Et rien ne passera avant et après nous.

Rien ne passera devant et derrière nous.
Rien ne passera en-dessous et au-dessus de nous.
Ni même nous reculera ou nous poussera.


__________Pour moi nous avons et sommes l'équilibre parfait.

Et on ne fait pas des fi, mais comme certains,
malheureusement, des sales s'y fient.
On s'aime de nôtre amour, et on le récolte.
Puis à côté ou non de ces colosses,
certains ne sont pas des boss(es).
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
On s'en fiche de la "date" mais bon... 29/07/23

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Je l'eus / lus en moi:
L'âme tranchante et d'âme de cœur.


Je suis leur.



Inhalez-moi. Libellez-moi. Tâchez-moi.
Trépanez-moi. Grignotez-moi. Bribez-moi.
Comprimez-moi. Schootez-moi. (Ab)usez-moi. (É)raflez-moi.
Faîtes-le en catimini. Illico presto.


J(nme) dépend(pas) dnous.
P
arcque jme p(r)ends à nous.
P
arce qu'on nse compromepas.
Parce qu'on s'est promis.
Promis d'être condamnés dans des éternités.
Dans unpublique.
Dans unmosaïque de ressentis.
Parce qu'on se compatit eon n'en pâtipas.
Parce qu'on es(pas) qu'une f(r)action et f(r)iction.

Nous sommes aussi anatomiques.
Nous sommes aussi juxtaposés.
N
ous nous fondons ensemble.
E
noun'avons pala nécessité
de hurler pour nous entendre.

Car il 
n'y a rien de mal à s'avoir et à savoir.
Car je
 suis outrée et je pousse comme du lierre sur vous.
Je s
uis trouée au niveau de ma figue, comme un gruyère,
mai
pourtant je suis entière et non en tiers.

M
ais pourtant je perds les os / eaux à accoucher de mes mots.
Et je n
e voudrais en aucun cas les avorter.
Je serre
 l'étau, mais ne sers pas les taux.
Je
 le fais pour les lester de plus en plus en vous.
Car
 je tiens les rênes et les mordce dernier,
p
oumaintenir son amorce.

Je ne vous reperds guère, mais vous rere dans mon repaire.
V
ous n'êtes paunversion bêtndes bêta.
Je vous déde, vous (pré)cède evouprode, mais ne vous concèdpas.
Je suis dans votre session. Je ne vous ()capitulerais ni ne vous décapiterais pas.
C
ar vous décapiter, c'est m'amputer.

Et entre moi et vous on ne fait gre la distinction ni l'extinction.
P
arce que c'est impossible. Car on (ne) jur(pas) l'un sul'autre.
J
e vous ai aimé par inadvertance.
J
e me came à vous car vous êtes ma came.
Mo
n domaine. Mpanac(h)ée.
V
ous m'lustrez et vous m'illustrez.
V
ous êtemon acte emon rapport pas sexuel, mais à vous.
Ceci dit, vous êtes mes préliminaires.

Car entrvous et moi on fait le manuscrit.
Et
 ce qui m'inspire c'est vous, mon souffle.
Mais ne pas être inspie m'expire,
me
 "rime", me déprime en d-prime.
Me
s mots sont soutenus autant que vous par moi.

Et e
parlant de mots,
j'aime
 la diction de l'écriture.
J'a
ime l'addiction à l'écriture.
Mon seul caractère est cette dernière.
Et
 elle est écrite dans mes gènes.
J
e donne des finitions à mes épîtres mais pas à des pitres.
Ca
r ces premiers sont soutenus, mais pas ces derniers.

Ca
r ces derniers sont l'athée pour ne pas croire en vous,
mais de mon côté je suis lattée intérieurement de voir cela.



Car il m'arrive parfois d'être une « fausse » sceptique,
mais ils sont mon antiseptique.
Car Rammstein, je les cris et je l'écris.
Je l'ai / les dis et je le suis.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
 

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