Katze

L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...

On s'en fiche de la "date" mais bon... 29/07/23

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EXPRIME-TOI !

 
 
 
On s'en fiche de la "date" mais bon... 29/07/23

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Once m'a rit, car je vous émeus à la folie.
Je suis vos cations, car nous sommes qu'on.


Qu'on fiance.
Qu'on fit d'anse.
Qu'on plie si t'hais.
Sensé, mais sans C.
Tout cela va empyrée...
Eh oui, c'est ça, des mets.


D'aimer avec constance.
Constance qu'on stance.
Et non qu'on s'tance.
 



L'amour, tu boxes le tambour qui se trouve en mon buste, tu me dégueules des herses à la gueule pour m'éreinter, tu es le cathéter qui me relie à la clepsydre de mes aléas qui se trouve en ton orange. Tu es ma Monarchie. Tu fais grumeler mes idiomes avec les tiens, on les accouple et on les accouche. L'amour, je te postillonne au faciès ce jargon qui te massacre. L'amour, viens ici que je te beigne, pour que tu me ceignes. Tu es les prises auxquelles je me harponne, tu es l'éprise à laquelle je me happe. Tu es l'antenne qui capte tout ce que je suis. Tu arpentes les sondes qui se situent céans ma silhouette. Tu es la nitescence de mon obscurité. L'amour, tu m'as saboté, puis restauré et réaménagé avec la besace de ta piété. En mon bulbe de couleur alizarine, tu m'as esclaffé des scories de tes ricanements, sangloté des scories de ta morosité. L'amour, nous sommes de l'altuglas, on ne carillonnera jamais le glas de notre amok, dans ce dernier où toutes ces apoplexies tu as tressées. Notre carlingue cutanée, contient quelques contusions qui nous font gamberger. L'amour, on s'est embrayés pour ne jamais se cesser. On est violets, peut-être violés. Il m'houille, le brasier, et nous ne sommes, ni des damnés, ni des dames nées. L'amour, s'aspergeant de lourdeur, on est les geais. On est des circonstances qui ne nous ont jamais atténués. Il ne faut guère que tu la mourres, la personne que tu es. Il ne faut pas t'inquiéter, je ne vais pas l'acquitter. Tu es mon pas pillé. L'amour, on te bêle, mais toi, tu te rebelles. Ce troupeau de chèvre, il t'hue, mais ne t'eus pas et ne t'auras guère. Il te conspue, il pue, mais ne put pas et ne pourra guère. L'amour, le qu'heurt tu m'oins, dans tout ses coins. Tu m'ajoutes et es ma joute.

Tout ça, je viens de te l'arguer,
car je ne te larguerai jamais.
Et tu m'hérites tant...


Tu m'as pris au dépourvu, au détour d'une rue.
Tu me sangles, me rues.
Pourtant tu n'es pas vil, ni débile.
 
 
 


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Voi(en)t.

Et ainsi s'oit-il / soient-ils ?




D'émaux, et voici un long discours. Ayez de l'audace, un peu d'bravoure.
Prenez-en de la gangrène. Je les ai dans le mille. Je respire leur allène.


Je ne mesure pas mon are, car il peut faire des trillions d'hectares, il ne sera jamais en quart, ni qu'art. D'ailleurs, il y a énormément de l'art dans mon assiette, dans ma carotide, où l'un trépide, et l'autre élucide. Où l'un prime, et l'autre une anime. J'ai le blues. Onze, douze. Je ne suis pas ma rente. Mais à bon escient, et cyan. Me sortent leurs riffs, je m'abreuve de leur vingt. Être d'eux, et ne faire qu'un. Puis ce gon de gré. Étroit, et quatre, puis scinque.

On sait qu'on s'typait, et qu'on s'tâtait. Je vais le dire à m'amant, à m'ami. Je vais dire aussi que j'ai qu'ri sur mes pas pillés, que je les vénère, et il y en a que ça énerve. C'est d'une pro vocation, d'une pro thèse. Treize, quatorze, quinze, seize. Quelque chose de spécial. D'orignal. Par contre, je ne sais pas s'il faut être débile, ou des biles. Mais en tout cas, je me fais de l'habile loin d'être labile. Hile ne circule guère dans mes vaines, s'hisse, cette qu'huit que je suis, a mal à l'abdomen. Ils sont mes gênes.

J'ai dû m'(ré)éduquer toute seule avec cette orgie. Je la gâte avec de l'agate. Je la dresse dans mes alcôves, et j'en suis chevronnée. On dit de nous qu'on est fêlés, je dirais plutôt qu'on est faits lait. Nous sommes un tact. Un acte. Et je douille de cet agapè non fétide. Il caille et grince. Je m'en empiffre par tonnes, m'en désaltère par litres. Figé, il se pelotonne contre moi. Frémissant. Frottant et nettoyant mes supplices.

Il me console, son lémure su(e) en le mien. Cet agapè me corrobore, il est bort. Fors il se trouve. Il ne me (b)ruine pas. Je viens de vous l'inculquer, retenez-le. Mon excursion acatalectique décanille de ma rectrice sans s'immobiliser, elle bafouille sur ce papelard, des incantations burlesques, loin d'être flasques. Ne cherchez pas à les ingurgiter, elles sont trop contorsionnées, trop chiadées.

- Faites-moi avaler la pilule, énonçais-je.

J'insère la fine barre argentée dans mon tubercule qui dégobille ce breuvage cerise. Un rutilant grognement provient de mon larynx, qui va jusqu'à mes méninges. Un maelström s'encastre sans m'en castrer, de ces divers martyrs. Je vais les tonner. On est qu'azimutés, non quasi' mutés. Vous assimilez ? Non. Vous n'assimilez pas non plus qu'il serait dommage de ne pas leur rendre d'hommage.

Ils me répondent, me pondent:

- Tu t'rampes dans le formol, et tu fais la mole. Ça te rend pyrrole.

Zut alors, mais pour ma part, je dis que:

Je me cravache, je me biture.
Je m'embourbe de cyanure.
D'élucubrations que je mâchure.
Je me bariole de sulfure que je triture.


Parce que nous ne sommes pas des mi-gnons, ni des mi-nez, ni l'aversion, mais des pas sillonnés.
 
 
 


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Ma (p)référence.
Je suis ni sa raine, ni la sciène.


Mais des si déments, ils smoke de moi...
Pourtant ne sont pas des poires pendues aux péchés.


J'ai tendance à le cogiter, le seoir, l'ajourner.
Pourtant, de boue je ne suis pas, et ne serai jamais.

 
Des CD pour ressusciter, non pour raie / rets suscité(e).

Je suis aux soles. Haha, je rigole.

Décence, un peu, dans mon moteur. Gentes que vous êtes, sur les roues de mon automobile. Il plut dans l'essieu, et plaît encore. Des sens on ne va pas faire le plaint. Des flocons divers, agonisent dans la cheminée de mon qu'ores. Des pouls là où vous connaissez. Des stalactites et des stalagmites, dans ma grotte crânienne, ont poussés. Je suis carrément givrée. L'œsophage de votre cœur est bouché, dans un fléau vasculaire, que vous cillez. En vous je suis un carné. J'ai des chakras dans ma gorge, ça me fait saliver. Je m'emmitoufle dans mes mentaux, car il y fait baud. Nous ne sommes pas en tétée. Vous êtes quelques couds en mon sein, et il fallait que je susse votre beat. Le vagin de mon cerveau vous avez pénétré, mais pas sans l'épier. J'ai plein de cafards dans le placard de ma mémoire. Mais heureusement qu'on ne finira pas en sandres. Nous ne sommes pas laies, on ne fait pas la paie. J'ai des dents de sagesse qui poussent dans la bouche de ma lucidité. Je suis cône, aussi, car j'ai failli me casser la figure géométrique. Je suis telle que vous, ces personnes, telle qu'elles. Belle, puis loin d'être conne. Et la migraine de ces âmes, poussent en ma glaise, à l'aise... Lèsent ? Je suis dans les loges, les votre, mais pas dans l'éloge. Ceux qui le font à votre égard, ou vous dénigrent, ne sont que des anaux que je porte à mon médius, hagards.
 
 
 


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Mites vous n'êtes guère, je suis taire à taire.


M'hale / malle ou femelle ?
Je ne suis pas cahot, en tout cas.
M'affame, mon homme. Mais feint je n'ai pas.
Je fais des méta forts et des jeux de mots de caca,
parce que je suis en train de sous frire,
parce que c'est mon béat bas.


Nous sommes un parrain, mais pas marraine. Nous ne sommes pas différends. De toute manière, 
il ne faut jamais que je me dise « pute » avec vous. 
De toute manière, Paul, ouais, tu n'es guère un p'tit gigolo, 
mais il fallait que tu m'entes (sa datte !) sincèrement. Tes usultan. 
Est-ce que, dans tes bras, tu m'acérais / macérais ? Cac'esmoût / moud. 
Es-tu d'Ure Es-tu hâté ? 
J'espère que les sentences que j'emploie, mais n'en ploie jamais, vont m'ler. 
Je ne vais aucunement les cher, ni m'hacher, c'est à chier. 
Ouais, je nmastique aucunement, mais vous m'astiquez. Vous me stimulezet nome simulez. 
Je ne m'en vais aucunement vous mat(t)er, mais mettrdce mondeCar de vous j'ai piété. 
Nous sommes dèl'urée. Nounsommes pas dix percés, ndispers. 
Vous m'avez donné un boudpeint, je dois vous remercier
Vous avez cessé dfairle jeûne, de faire les pluvieux, çvous démangeait
Mais pale sot, car vous nl'avez jamais é. 
Jme fi(e)s à vous, c'esdingue à quelle intensité je peux vouestimer. 
Pro tectricje suis envers vous, vous lsaviez ?
 
 
 


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