Ma (p)référence.
Je suis ni sa raine, ni la sciène.
Mais des si déments, ils smoke de moi...
Pourtant ne sont pas des poires pendues aux péchés.
J'ai tendance à le cogiter, le seoir, l'ajourner.
Pourtant, de boue je ne suis pas, et ne serai jamais.
Des CD pour ressusciter, non pour raie / rets suscité(e).
Je suis aux soles. Haha, je rigole.
Décence, un peu, dans mon moteur. Gentes que vous êtes, sur les roues de mon automobile. Il plut dans l'essieu, et plaît encore. Des sens on ne va pas faire le plaint. Des flocons divers, agonisent dans la cheminée de mon qu'ores. Des pouls là où vous connaissez. Des stalactites et des stalagmites, dans ma grotte crânienne, ont poussés. Je suis carrément givrée. L'œsophage de votre cœur est bouché, dans un fléau vasculaire, que vous cillez. En vous je suis un carné. J'ai des chakras dans ma gorge, ça me fait saliver. Je m'emmitoufle dans mes mentaux, car il y fait baud. Nous ne sommes pas en tétée. Vous êtes quelques couds en mon sein, et il fallait que je susse votre beat. Le vagin de mon cerveau vous avez pénétré, mais pas sans l'épier. J'ai plein de cafards dans le placard de ma mémoire. Mais heureusement qu'on ne finira pas en sandres. Nous ne sommes pas laies, on ne fait pas la paie. J'ai des dents de sagesse qui poussent dans la bouche de ma lucidité. Je suis cône, aussi, car j'ai failli me casser la figure géométrique. Je suis telle que vous, ces personnes, telle qu'elles. Belle, puis loin d'être conne. Et la migraine de ces âmes, poussent en ma glaise, à l'aise... Lèsent ? Je suis dans les loges, les votre, mais pas dans l'éloge. Ceux qui le font à votre égard, ou vous dénigrent, ne sont que des anaux que je porte à mon médius, hagards.