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Titre du blog : Katze
Auteur : Gib-mir-deine-hand
Date de création : 29-06-2023
 
posté le 29-07-2023 à 18:34:24

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Voi(en)t.

Et ainsi s'oit-il / soient-ils ?




D'émaux, et voici un long discours. Ayez de l'audace, un peu d'bravoure.
Prenez-en de la gangrène. Je les ai dans le mille. Je respire leur allène.


Je ne mesure pas mon are, car il peut faire des trillions d'hectares, il ne sera jamais en quart, ni qu'art. D'ailleurs, il y a énormément de l'art dans mon assiette, dans ma carotide, où l'un trépide, et l'autre élucide. Où l'un prime, et l'autre une anime. J'ai le blues. Onze, douze. Je ne suis pas ma rente. Mais à bon escient, et cyan. Me sortent leurs riffs, je m'abreuve de leur vingt. Être d'eux, et ne faire qu'un. Puis ce gon de gré. Étroit, et quatre, puis scinque.

On sait qu'on s'typait, et qu'on s'tâtait. Je vais le dire à m'amant, à m'ami. Je vais dire aussi que j'ai qu'ri sur mes pas pillés, que je les vénère, et il y en a que ça énerve. C'est d'une pro vocation, d'une pro thèse. Treize, quatorze, quinze, seize. Quelque chose de spécial. D'orignal. Par contre, je ne sais pas s'il faut être débile, ou des biles. Mais en tout cas, je me fais de l'habile loin d'être labile. Hile ne circule guère dans mes vaines, s'hisse, cette qu'huit que je suis, a mal à l'abdomen. Ils sont mes gênes.

J'ai dû m'(ré)éduquer toute seule avec cette orgie. Je la gâte avec de l'agate. Je la dresse dans mes alcôves, et j'en suis chevronnée. On dit de nous qu'on est fêlés, je dirais plutôt qu'on est faits lait. Nous sommes un tact. Un acte. Et je douille de cet agapè non fétide. Il caille et grince. Je m'en empiffre par tonnes, m'en désaltère par litres. Figé, il se pelotonne contre moi. Frémissant. Frottant et nettoyant mes supplices.

Il me console, son lémure su(e) en le mien. Cet agapè me corrobore, il est bort. Fors il se trouve. Il ne me (b)ruine pas. Je viens de vous l'inculquer, retenez-le. Mon excursion acatalectique décanille de ma rectrice sans s'immobiliser, elle bafouille sur ce papelard, des incantations burlesques, loin d'être flasques. Ne cherchez pas à les ingurgiter, elles sont trop contorsionnées, trop chiadées.

- Faites-moi avaler la pilule, énonçais-je.

J'insère la fine barre argentée dans mon tubercule qui dégobille ce breuvage cerise. Un rutilant grognement provient de mon larynx, qui va jusqu'à mes méninges. Un maelström s'encastre sans m'en castrer, de ces divers martyrs. Je vais les tonner. On est qu'azimutés, non quasi' mutés. Vous assimilez ? Non. Vous n'assimilez pas non plus qu'il serait dommage de ne pas leur rendre d'hommage.

Ils me répondent, me pondent:

- Tu t'rampes dans le formol, et tu fais la mole. Ça te rend pyrrole.

Zut alors, mais pour ma part, je dis que:

Je me cravache, je me biture.
Je m'embourbe de cyanure.
D'élucubrations que je mâchure.
Je me bariole de sulfure que je triture.


Parce que nous ne sommes pas des mi-gnons, ni des mi-nez, ni l'aversion, mais des pas sillonnés.