Once m'a rit, car je vous émeus à la folie.
Je suis vos cations, car nous sommes qu'on.
Qu'on fiance.
Qu'on fit d'anse.
Qu'on plie si t'hais.
Sensé, mais sans C.
Tout cela va empyrée...
Eh oui, c'est ça, des mets.
D'aimer avec constance.
Constance qu'on stance.
Et non qu'on s'tance.
L'amour, tu boxes le tambour qui se trouve en mon buste, tu me dégueules des herses à la gueule pour m'éreinter, tu es le cathéter qui me relie à la clepsydre de mes aléas qui se trouve en ton orange. Tu es ma Monarchie. Tu fais grumeler mes idiomes avec les tiens, on les accouple et on les accouche. L'amour, je te postillonne au faciès ce jargon qui te massacre. L'amour, viens ici que je te beigne, pour que tu me ceignes. Tu es les prises auxquelles je me harponne, tu es l'éprise à laquelle je me happe. Tu es l'antenne qui capte tout ce que je suis. Tu arpentes les sondes qui se situent céans ma silhouette. Tu es la nitescence de mon obscurité. L'amour, tu m'as saboté, puis restauré et réaménagé avec la besace de ta piété. En mon bulbe de couleur alizarine, tu m'as esclaffé des scories de tes ricanements, sangloté des scories de ta morosité. L'amour, nous sommes de l'altuglas, on ne carillonnera jamais le glas de notre amok, dans ce dernier où toutes ces apoplexies tu as tressées. Notre carlingue cutanée, contient quelques contusions qui nous font gamberger. L'amour, on s'est embrayés pour ne jamais se cesser. On est violets, peut-être violés. Il m'houille, le brasier, et nous ne sommes, ni des damnés, ni des dames nées. L'amour, s'aspergeant de lourdeur, on est les geais. On est des circonstances qui ne nous ont jamais atténués. Il ne faut guère que tu la mourres, la personne que tu es. Il ne faut pas t'inquiéter, je ne vais pas l'acquitter. Tu es mon pas pillé. L'amour, on te bêle, mais toi, tu te rebelles. Ce troupeau de chèvre, il t'hue, mais ne t'eus pas et ne t'auras guère. Il te conspue, il pue, mais ne put pas et ne pourra guère. L'amour, le qu'heurt tu m'oins, dans tout ses coins. Tu m'ajoutes et es ma joute.
Tout ça, je viens de te l'arguer,
car je ne te larguerai jamais.
Et tu m'hérites tant...
Tu m'as pris au dépourvu, au détour d'une rue.
Tu me sangles, me rues.
Pourtant tu n'es pas vil, ni débile.