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L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...

On s'en fiche de la "date" mais bon... 11/08/23

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Et si à la place de tout ces gens dans le public, c'était les victimes de la catastrophe ? Un même secret n'est pas toujours partagé par la parole, il est aussi partagé entre plusieurs êtres par leur esprit.

28 + 8 + 1988 = 2024.

Si je les rejoins en cette année, ce nombre, qu'est-ce que je peux en conclure ? Que l'avant est à la fois l'après ? Est une prédiction de ce qui est à venir ? Que les temps sont entremêlés, s'ils existent ? Tout comme les dimensions / Univers existants ? Ce qui expliquerait pourquoi en réalité ce que l'on pense qui aura lieu a déjà eu lieu, et c'est pour cela que nous pouvons lire notre histoire. Que les chiffres sont un indicateur précieux quant à notre avenir, ou un autre présent qui existe déjà ? Ce qui, cette fois, expliquerait pourquoi on pourrait prédire un événement avec une date, ou bien le fait d'avoir été cet homme précisément auparavant, avant notre naissance, si elle est telle, pour commencer. Que ce n'est pas forcément toujours une question de métempsycose, mais de transformation morphologique ? Un voyage quantique tout en ayant pas la même apparence ? Une superposition des gènes de l'âme sur une même ligne. Car cela, j'y crois également. On nous met des faux souvenirs pour nous empêcher d'y voir clair.

En tout cas, tout me pousse à partir d'ici. Chaque quidam pour ma part s'en va d'une manière ou d'une autre de cet endroit où je me situe en ce moment. Que ce soit sur un autre plan, ou en changeant de lieu sur ce globe. Chacun de son côté. Comme pour exprimer le ras-le-bol d'y séjourner, on avait accompli quelque chose pour, au final, se diviser.
 
 
 


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D'un côté, nous n'avons pas le(s) même rôle(s). D'un autre, vous êtes leurs compagnes officiellement, donc vous êtes supposé avoir une alliance directe avec eux. Je remets tout en question dont moi-même, car il y a jusqu'à quelques années, je ne faisais pas plus attention que cela à vous. Je peux être très tatillonne là-dessus, en parler très souvent, et depuis je m'interroge à votre sujet. Est-ce qu'être mariée à eux implique nécessairement de chercher plus loin que ce qu'ils montrent ou ce que certaines veulent bien voir ? Je dirais que oui, être leur femme en général, n'est pas à prendre à la légère. Suis-je obligée de vous apprécier spécialement et ne rien dire de ce que je pense parce que vous formez un couple avec ces Messieurs, pour autant ? Non.

Est-ce que cela fait de vous des mauvaises épouses ? Pas mauvaises, mais épouse veut dire (à mon sens), embrasser toutes les parties de l'être concerné, aller tout au fond, si tant est qu'il y en ait un, car on peut toujours creuser pour en savoir davantage sur l'individu. Alors savez-vous réellement qui ils sont ? Vous êtes-vous demandé si Rammstein était plus que six hommes, et si ce qui est raconté à propos du nom et de ce qu'il s'est passé en la ville du drame, est véridique ? Avez-vous déjà rencontré un être l'ayant vécu, et en avez-vous eu l'intention ? Recueilli son témoignage pour le partager ? Êtes-vous allées en ce lieu ?

Quelque part je trouve ça naïf de croire que parce que ça fait plus de vingt ans qu'on est avec la même personne, que cela est définitif. La durée d'une relation, ou de ce qui s'en rapproche, n'est pas gage d'être assurée, de sincérité, ni de savoir qui elle est. Car nous pouvons être surpris. Car... Plus on a d'enfants, plus on est heureux ? On en fait pas pour l'être, ni pour soi, mais pour vouloir leur bonheur, et c'est souvent le tort de beaucoup j'ai l'impression. En avoir n'est pas une obligation. Nombre de progénitures qui n'est guère proportionnel à la force de l'Amour pour l'autre. Pareil pour le mariage. Le mariage c'est avant tout être uni à, et l'union se fait bien avant ou n'a pas besoin de passer devant le prêtre pour être authentique ou intense.

Je ne conçois pas le fait que l'on puisse faire des mômes pour le plaisir d'être heureuse d'être enceinte ! On est une femme même sans mari et sans progénitures, on peut être épanouie sans.

Comme ne pas avoir un bourrelet qui dépasse et mettre un filtre sur nos photos ne fait pas de nous une déesse, et une belle personne. Je trouve ça simplet de dire aimez-vous vous-même, sachant qu'on pousse les gens à se préoccuper de leur corps en majorité pour cela. Ah les apparences... Encore se montrer sans maquillage une fois de temps en temps, et dire: Je suis au naturel. Même les gens qui se montrent les plus psychologues ont des failles dans leur comportement. Et un être peut faire toute la différence, ça oui, même quand on croit être avec quelqu'un de différent.
 
 
 


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Noûs, un vacuum qui nous permet d'utiliser l'ubiquité, l'omni.

D'ichor m'enivrer, et me métamorphiser.
Me métamorphoser en fabriciana niobe.
L'être en expansion.
Faire les espaces, pas vides.
Vous, mon Univers, l'infini(tif), l'inconditionnel.
Tant d'm qui ne vont pas en tandem.
Mais ici oui, quand même.
Interminable attente d'hommes nient épris, au pied du mur.
Promis au succès par les dieux, consacrés par les augures.
Pierre angulaire, philosophale, précieuse.
Tout ce Rammdam est nécessaire et dégouline.
Tirez-moi les vers du nez, tant pis si ça ne rime à rien.
J'augmente mon χ, ce qui ablue mon epynothe.
10,58300524425836 ist ein neu πlot.
___________________-Qui se décime mal.

Si autour de ceux qui se marient on entend qu'il lui mentira, ne les croyez guère.
Ontale est leur noosphère.
Il est son Autre, mais aussi son Outre.


& si j'oublie la comète, c'est pour ne pas qu'ils commettent ceux qu'omettent.





J'allaite mon papier buveur. Quand cesserais-je ces réflexions, ou quand s'arrêteront-elles ? Je ne le fais pas exprès, et les freiner ne m'aiderait pas. Me retrouver face à une multitude d'êtres, pour des révélations, pour des déclarations enflammées, n'est pas mon fort, moi qui adore pratiquer la solitude et n'est pas à l'aise à l'oral. Alors je déverse mon flux de pensées à l'écrit, concernant des personnes que je jauge sans arrêt. Parce que jauger c'est mal vu, et c'est synonyme de non connaissance de l'individu pour la majorité. Individu qui n'a aucune idée de qui il est, de manière hypothétique. Cette conviction d'être l'unique à vous chérir, vous aimer pour ce que vous valez précisément, ça ne me rassure pas, ce n'est pas quelque chose dont je me sers pour me glorifier, et dont je me sers sans plus. Ça ne me rassure pas, parce que j'aurais souhaité que ces dames y soient impliquées, s'investissent intégralement, bien que intégralement ne soit pas suffisant, dans cette relation. Je ne pense pas qu'il faille se prénommer chercheuse de vérité pour l'être, et ce n'est pas parce qu'on la cherche qu'il faut se mettre dans cette case automatiquement. C'est une étiquette, un moyen de dire que nous sommes quelqu'un parmi ces milliards d'êtres vivants. Ne pas en déborder, et jouer avec cette illusion. Je n'agirais guère comme si je les appréciais. La spiritualité, ce n'est pas incarner une bienveillance falsifiée, des compliments qui n'en sont nullement, puisque ici pour prêcher le faux pour savoir ce qu'il en est au-delà. Être avec des scrupules fait partie de mes principes, mes propos paraissent acerbes. Fayoter et faire passer cela pour de la gentillesse pour ne pas entendre que je lance des piques, c'est parfois pire que la méchanceté qui se montre même en plein jour, qui lance des cœurs fourbes. Je ne m'arrêterais pas de dire ce que je pense, parce que je me suis trop tue et tuée à cette tâche.
 

 


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Dire et réclamer je t'aime. Ni le penser, ni le faire. Me l'en empêcher pour ces hommes. Devrais-je m'en priver pour cette femme sous prétexte que ce serait le cas à son égard à Paul ? Puis pourquoi concrètement ? Gâcher ce qui nous rend vivant et nous lie de base, en le disant à n'importe qui et n'importe comment. Idem concernant les rapports génitaux. Gâcher une partie de notre existence.

Ces trois mots sont prononcés pour ne pas froisser, à tour de bras, pour garder la personne, dans beaucoup de cas. À moins d'être l'exception qui confirme l'exact inverse. Ou dire qu'ils sont très bien ensemble et tout le toutim quand tu veux faire transparaître tes souhaits de bonheur. Être en couple n'est pas nécessairement synonyme d'heureux pour chacun, et ici il y a des gros doutes si ce qui doit arriver se passe comme prévu. Avoir un joli sourire ne signifie pas forcément respirer la joie, quand bien même il est un rayon de Soleil pour beaucoup. Faire le comique pour masquer (ou marquer) sa détresse et se remonter le moral, en quelque sorte, se convaincre que ça va. Mais oui, ils sont mignons ensemble, et j'en passe des vertes et des pas mûres.

Souhaiter le bonheur n'est pas nécessairement dans le vouloir d'une non-séparation d'un duo qui se montre amoureux. Et même si on voudrait que ça soit toujours ainsi, ça ne se passe pas ainsi constamment dans cette situation. Mon intention n'est pas de décider à sa place, à leur place, de me mêler de ce qui ne me regarde pas (alors que ça me regarde tout à fait), c'est un constat.

Ces termes, je les prononce et je sais pourquoi, pour qui, il y a les manières de les transmettre. Nos enfants ne sont pas que les notre et que ceci, ils ont des particularités. En faire par Amour ça peut être l'excuse quand on ne connaît ni d'Ève ni d'Adam, à part quelques points par rapport à tout ce que l'on a appris sur lui / elle, celui ou celle avec lequel / laquelle on partage le même toit. Les adultères ne me choquent guère, j'appellerais cela l'illusion de ces paires. Je les trouve plus sincères que n'importe quel "mariage" qui va foirer, parce qu'on se force à avoir quelqu'un impérativement, on le cherche en plusieurs personnes, en une, au lieu de le donner en le multipliant. Du coup, est-ce que « adultère » est le bon terme si on reste fidèle à qui l'on est ?

Des gens sont morts ou encore vivants, brûlés, démembrés, défigurés, des choses horribles. Des années de bobards, de mascarade, et je devrais acquiescer ? C'est d'une telle tartufferie de dire défendre la vérité quand on se ment à soi-même en premier et à propos de notre époux / se ! C'est mieux de regarder par là-bas pour la trouver soi-disant, pour éviter de regarder en soi ! C'est valable pour nous tous. Une catastrophe n'est pas une raison pour se priver d'exister, certes, mais je constate que parfois les êtres les plus éloignés de toi en kilomètres sont les plus proches de toi en terme d'âme.

La fin de Rammstein, mon cul ! Je ne parle pas de leur continuité dans le sens de ce qu'ils ont déjà fait qui sera toujours écouté par des personnes, mais de continuer à faire perdurer Rammstein dans son essence, et pas qu'en musique, car Rammstein n'est pas que cela et six bonhommes qui s'amusent sur scène avec le feu. N'y voir que cela n'aide pas.

L'indulgence a-t-elle sa place ici ?

Lmariage ne doit pas coincer quelqu'un. L'adultère est tentant et pour moi ça aide à y voir clair dans celui-ci. Les conflits pointent le bout de leur nez, parce qu'ils s'obligent à rester dans cette fréquentation, et pourquoi ? Quel mariage il y a si on se jure fidélité, de rester jusqu'à la mort, dans le meilleur et dans le pire, blablabla... Que l'on ne respecte pas ? C'est, décidément, encore une fois, mentir sur ses désirs et ses sentiments, les expressions, les gestes sont parfois des automatismes dans une "relation". Mentir là-dessus, plutôt que d'en parler ? Par peur qu'ils ne soient pas compris ? Pas étonnant d'aller forniquer à droite ou à gauche si on préfère se taire. Mariage et amour pur à la mords-moi-le-nœud. La naïveté et l'hypocrisie dans toute sa splendeur. Et quel romantisme. Prendre la peine de se poser avec soi-même d'abord, ça évite au maximum les drames conjugaux concernant deux individus qui ne se conjuguent pas.

Il est aisé aussi de divorcer, mais pourquoi rester avec cette personne si rien ne va plus ? Est-ce que la discussion est utile si c'est pour se trouver des excuses ? Se marier comme preuve et attraper la folie pour cet être. Problème, problème. Attendre que quelque chose comme cela arrive et se dire que quelque chose ne va pas certainement, sauf si les deux sont habitués aux coucheries de l'autre. Faire du coït ailleurs parce qu'on se sent à l'aise avec, pour avoir d'autres expériences, sans le consentement mutuel ? Donc puisqu'on est à l'aise avec, on veut avoir d'autres expériences, on se permet de faire cela. Mais dès qu'il y a infidélité envers quelqu'un qui finira par montrer son vrai visage aussi en la / nous quittant de toute façon, on divorce. Parce qu'on a pas envie d'entendre des prétextes foireux des deux côtés, j'imagine.

On prend des médicamants pour "soigner" ce que l'on a entre les jambes sans se soucier de leur plaisir. Parce qu'on en a envie, on pousse la personne à en avoir envie. Aucun échange, aucune écoute de l'autre. Le sexe peut être lié à l'Amour porté bien qu'ils soient marchandisés, achetables, galvaudés, banalisés, à l'heure actuelle. Il n'y a qu'à regarder les sites de rencontres et les sites pornographiques où c'est surjoué, on est objectifié, on rejette une personne car elle ne répond pas à nos désirs, la femme et même l'être vivant n'est là que pour assouvir des pulsions, c'est fait de violences et non de plaisir puisque simulé, où est le côté excitant ? Comment peut-on se dire libre sur ce point quand on s'enferme dans ce rôle, joue avec cette image ? Le coït est un acte primaire, mais quelle belle carapace portent certains... Sachant que cette intimité-là est aussi l'intimité de l'âme, il y a "échange" de vibration énergétique. Attention avec qui l'on copule. La tendresse, la sensualité, l'alchimie entre deux individus ou plus, disparu ? Il n'y a que le vagin, les fesses, les seins, le pénis ? Ah non non, ce n'est pas avoir un rapport, car le sexe lui-même, on le vend -carrément- comme détaché du corps en godemichet. Un rapport, c'est une connexion, le plaisir est partagé et existant, et il existe d'autres membres qui ont besoin d'être caressés.

J'ai de la considération pour un acte qui n'a strictement rien à voir avec tout ce que l'on nous montre à travers les réseaux sociaux et compagnie, qui perverti plus qu'instruit, devenu plus facile d'accès avec Internet. On en est au point où si tu n'as aucune activité sexuelle, on te demande pourquoi, voire on t'y incite, comme si c'était impérieux et on avait la prohibition de choisir avec qui le faire, attendre d'être prêt(e). On fornique comme on enfile des chaussettes. Je préfère le faire avec quelqu'un qui me considère et ne me traite pas comme un trou à sperme. Non, je ne suis pas coincée ni fermée d'esprit pour autant là-dessus. Le seul objectif dans un rapport sexuel c'est de cracher sa substance et au diable les frôlements, les frissons ? C'est animal, certes, mais ce n'est pas un faux-fuyant pour mieux faire passer et justifier toute cette agressivité. Parce que c'est de l'agressivité. Qui apprécie d'être traité ainsi ?

Quelle est l'utilité de dire ces mots-là en agissant ainsi ? Ils ont perdu de leur valeur, et ça ne date pas du vingt-et-unième siècle ! Même si la technologie y est omniprésente.

Ahhh, c'est beau l'Amour... Et simple.


You didn't love her. You just didn't want to be alone. Or maybe, maybe she was just good for your ego. Or maybe she made you feel better about your miserable life, but you didn't love her. Because you don't destroy people you love.
 
 
 


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