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L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...
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DES CHIFFRES 29-06-2023
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On s'en fiche de la "date" mais bon... 09/08/23
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Il vaut mieux ne rien expliquer et laisser la personne comprendre par elle-même quand ce qui doit arriver arrivera. Ou elle le comprendra quand elle le vivra. Pourtant j'aimerais détailler comment tu es / vous êtes mon pourquoi, pourquoi tu es / vous êtes mon comment. Mais j'ai l'impression que peu importe la façon dont je m'y prends, que ce soit ma façon ou non, cela revient au même.
Je n'ai pas besoin d'invention d'une réalité à imaginer sans se mettre dans la mienne, et qui n'a aucun rapport avec ma vérité. Je n'ai pas besoin de « oui, mais ».
J'ai même la sensation que quelque part cela titille que je ne rentre pas dans le moule, qu'il n'y en ait que pour toi, qu'il y aurait vouloir d'un "quelqu'un d'autre" que toi dans mon existence. D'avoir une maison, me marier, des enfants, avec le gars pour qui j'aurais flashé, choses en majorité faites pour correspondre aux codes sociaux. Puis ma maison, ce sont les étoiles, pas entre quatre murs. Pourquoi chez nous ce serait cela et pas partout dans l'Univers ? Me marier, oui, avec celui que j'aime, pareil niveau enfant. Mais ce n'est par car l'on est une femme que l'on doit faire des bébés. Là encore, avoir une maison, se marier, et avoir des enfants, c'est juste un moyen de contrôler nos vies. C'est la société qui veut que l'on fasse cela pour brouiller nos pistes, nous empêcher de voir plus loin et de découvrir ce qu'il y a au-dessus de toutes ces bornes, de cette illusion d'optique qui nous empêche d'élargir les horizons. Qui nous inhibe.
Flasher sur "quelqu'un d'autre" ? Alors que je suis défoncée à toi, que je n'ai que toi dans mes pensées, que notre hyménée est insoupçonnée. Parce que le fait d'avoir un flash sur un autre que toi, est un souhait personnel à mon égard, pas ce qui se produira. Et c'est ce que je n'ai très franchement pas envie d'imaginer. Il faut bien se l'enfoncer dans le cerveau. Ce n'est pas la peine de me convaincre qu'il y en aura un autre alors que tu es le mien, d'Autre, ou ne serait-ce qu'en émettre la possibilité. Pas que je sois têtue, mais quand tu as supposément prédit ton propre avenir, tu préfères te taire. Ou bien même si tu voulais tout dire, est-ce que la personne comprendrait ce que tu racontes dans son entièreté ?
Et ce n'est pas simple de confier cela, comme de dire: Je les connais depuis toujours. Puis persister à me dire qu'il n'y a pas qu'eux, par exemple, que je ne sais rien à votre sujet car je ne vous ai pas vus plusieurs fois. Se voir ou se fréquenter le plus souvent possible ne veut pas dire que l'on connaît l'autre par cœur. On peut se côtoyer pendant des lustres et ignorer à qui l'on a affaire. Tandis qu'à "distance", être informé du moindre truc à son sujet, car on est en plein en lui.
Parce qu'à l'extérieur, il n'y a personne. Pour moi c'est en dedans, et il faut aller en dedans pour assimiler les raisons pour lesquelles vous y êtes, les raisons pour lesquelles il ne s'agit que de vous ici. Que je ne suis pas là pour vous suppléer, mais pour m'ajouter à vous.
Je n'ai pas besoin d'invention d'une réalité à imaginer sans se mettre dans la mienne, et qui n'a aucun rapport avec ma vérité. Je n'ai pas besoin de « oui, mais ».
J'ai même la sensation que quelque part cela titille que je ne rentre pas dans le moule, qu'il n'y en ait que pour toi, qu'il y aurait vouloir d'un "quelqu'un d'autre" que toi dans mon existence. D'avoir une maison, me marier, des enfants, avec le gars pour qui j'aurais flashé, choses en majorité faites pour correspondre aux codes sociaux. Puis ma maison, ce sont les étoiles, pas entre quatre murs. Pourquoi chez nous ce serait cela et pas partout dans l'Univers ? Me marier, oui, avec celui que j'aime, pareil niveau enfant. Mais ce n'est par car l'on est une femme que l'on doit faire des bébés. Là encore, avoir une maison, se marier, et avoir des enfants, c'est juste un moyen de contrôler nos vies. C'est la société qui veut que l'on fasse cela pour brouiller nos pistes, nous empêcher de voir plus loin et de découvrir ce qu'il y a au-dessus de toutes ces bornes, de cette illusion d'optique qui nous empêche d'élargir les horizons. Qui nous inhibe.
Flasher sur "quelqu'un d'autre" ? Alors que je suis défoncée à toi, que je n'ai que toi dans mes pensées, que notre hyménée est insoupçonnée. Parce que le fait d'avoir un flash sur un autre que toi, est un souhait personnel à mon égard, pas ce qui se produira. Et c'est ce que je n'ai très franchement pas envie d'imaginer. Il faut bien se l'enfoncer dans le cerveau. Ce n'est pas la peine de me convaincre qu'il y en aura un autre alors que tu es le mien, d'Autre, ou ne serait-ce qu'en émettre la possibilité. Pas que je sois têtue, mais quand tu as supposément prédit ton propre avenir, tu préfères te taire. Ou bien même si tu voulais tout dire, est-ce que la personne comprendrait ce que tu racontes dans son entièreté ?
Et ce n'est pas simple de confier cela, comme de dire: Je les connais depuis toujours. Puis persister à me dire qu'il n'y a pas qu'eux, par exemple, que je ne sais rien à votre sujet car je ne vous ai pas vus plusieurs fois. Se voir ou se fréquenter le plus souvent possible ne veut pas dire que l'on connaît l'autre par cœur. On peut se côtoyer pendant des lustres et ignorer à qui l'on a affaire. Tandis qu'à "distance", être informé du moindre truc à son sujet, car on est en plein en lui.
Parce qu'à l'extérieur, il n'y a personne. Pour moi c'est en dedans, et il faut aller en dedans pour assimiler les raisons pour lesquelles vous y êtes, les raisons pour lesquelles il ne s'agit que de vous ici. Que je ne suis pas là pour vous suppléer, mais pour m'ajouter à vous.
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Je ne vois pas pourquoi n'avoir que toi / vous dans ma vie, ce serait me limiter, avec tout ce que vous me faites ressentir. Sauf que ce n'est pas obligatoire d'avoir une multitude de "relations". Ou il faudrait que j'aie "quelqu'un d'autre" en dehors de celui je chéris. Je me vois mal demander: As-tu quelqu'un en dehors de Messieurs, de Monsieur ? Alors que pour ma part, ils sont moi, définitivement, au plus profond de mes tripes et du reste. Je doute que l'on apprécierait que je pose ces questions-là si les "rôles" étaient inversés. Surtout quand ces êtres sont ta base, ton essence spirituelle. Je me vois mal (aussi) avoir qui que ce soit en dehors de vous pour dire "parler" à quelqu'un autre. Et de toute façon la personne finira par le ressentir. Je préfère rester seule que de me forcer à sociabiliser. Ce n'est pas qu'à moi d'aller vers autrui. Mais si quand on vient vers toi on te fait des crasses (je ne dis pas que c'est le cas à chaque fois, mais j'ai tendance à me méfier maintenant), tu préfères rester seule ou avec quelques amis sur qui tu peux vraiment compter.
Donc parce qu'il approche les soixante, est célèbre, il n'est pas mon moi, ne devrait pas l'être, ou je devrais me diriger vers un autre homme ? Puis quoi encore ? C'est une mode de parler à plusieurs personnes alors que l'on a aucune affinité ni aucun lien avec ? D'avoir "quelqu'un" à tout prix ? Ou voir ailleurs parce que l'on ne rentre pas dans le moule si on aime un homme, le nôtre, qui a le double de nôtre âge ? Non merci. Il est tellement plus simple de se mettre avec un mec qui ne nous fait rien ressentir de spécial, car c'est sûr que c'est moins dérangeant pour certaines personnes de faire selon ce qui est rapporté comme étant normal ! Mais oui, mettons nous avec un gars de notre âge, nationalité, couleur de peau, taille ! N'allons pas plus loin que le superficiel ! Pas grave si on est raide dingue de lui ou d'elle... Correspondons à tout ces stéréotypes, freinons nos vrais sentiments à son égard, faisons selon les désirs d'autrui, tant pis si l'on souffre ! Cela doit être si fatiguant d'être intolérant à la différence, quand même.
Quoi qu'il en soit, je reste avec ceux qui me font me sentir bien, qui accueillent mon être entier, et ne cherchent pas à changer -en vain- quelques-unes de mes facettes pour que je ne sois qu'une pâle copie collée à leur image. Me réarranger en fonction de ce qui les dépasse.
Donc parce qu'il approche les soixante, est célèbre, il n'est pas mon moi, ne devrait pas l'être, ou je devrais me diriger vers un autre homme ? Puis quoi encore ? C'est une mode de parler à plusieurs personnes alors que l'on a aucune affinité ni aucun lien avec ? D'avoir "quelqu'un" à tout prix ? Ou voir ailleurs parce que l'on ne rentre pas dans le moule si on aime un homme, le nôtre, qui a le double de nôtre âge ? Non merci. Il est tellement plus simple de se mettre avec un mec qui ne nous fait rien ressentir de spécial, car c'est sûr que c'est moins dérangeant pour certaines personnes de faire selon ce qui est rapporté comme étant normal ! Mais oui, mettons nous avec un gars de notre âge, nationalité, couleur de peau, taille ! N'allons pas plus loin que le superficiel ! Pas grave si on est raide dingue de lui ou d'elle... Correspondons à tout ces stéréotypes, freinons nos vrais sentiments à son égard, faisons selon les désirs d'autrui, tant pis si l'on souffre ! Cela doit être si fatiguant d'être intolérant à la différence, quand même.
Quoi qu'il en soit, je reste avec ceux qui me font me sentir bien, qui accueillent mon être entier, et ne cherchent pas à changer -en vain- quelques-unes de mes facettes pour que je ne sois qu'une pâle copie collée à leur image. Me réarranger en fonction de ce qui les dépasse.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 09/08/23
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C'est triste pour moi d'en venir à me dire que j'aurais préféré que ce soit vous qui inscriviez des choses gentilles sur mes posters, au lieu qu'un pauvre type hyper puéril en soit venu à y gribouiller des vacheries sans noms. Parce que ce n'est pas ce que l'on fait quand on a rien à se reprocher. On ne fait pas du tort à la personne. On ne la ridiculise aucunement plus bas qu'on est ridicule. On ne pense même pas à cela. Puisqu'on la soulève, on la pousse à avancer, on la protège de la souffrance plutôt que d'en rajouter une couche très épaisse. On ne la rend pas aveugle, on l'aide à y voir clair.
Ce n'était pas de la maladresse, c'était intentionnel. "Il" ne m'a pas allumée, "il" m'a éteinte.
Ce n'était pas de la maladresse, c'était intentionnel. "Il" ne m'a pas allumée, "il" m'a éteinte.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 09/08/23
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Ich schenke dir / euch mein Erz.
Puisque tu es unique, tu n'es pas un choix. Tu as la diversité dans ta beauté, ta richesse intérieure.
Ce n'est pas ce que j'aime chez toi, c'est je t'aime.
Ce n'est pas ce que j'aime chez toi, c'est je t'aime.
L'Amour n'est pas une situation, ni un statut. On a pas à tout prix être en couple. Au départ, cela veut dire être à deux. Célibataire, cela veut dire être à un, pas désespéré. Marié ne veut pas forcément dire heureux. Divorcé ne veut pas forcément dire triste. Puis pourquoi vouloir rentrer dans une case ? Est-ce obligatoire d'être avec quelqu'un à tout prix ? Parce que sinon, c'est la honte ? Pas à ce que je sache. La société vous a mis des mauvaises choses en tête, alors dès qu'une personne est seule, il y a presque toujours des remarques foireuses, et ce sont souvent les mêmes. Je pense qu'il vaut mieux l'être pendant un moment pour le bon ou la bonne, que de sortir avec plusieurs gars ou filles d'affilée pour suivre le troupeau.
Il me faudrait inventer un mot pour décrire les émotions que vous me procurez, mais là encore, c'est trop peu. Vous n'êtes ni les précédents, ni les suivants, vous êtes mon singulier. Car nous n'avons guère à nous mettre avec lui ou elle car il ou elle est mieux que celui d'avant, et pire que celui ou celle d'après. Nous ne sommes pas dans un concours. Quand c'est réciproque, c'est inutile de lui tourner autour, de lui courir après. Parce que si cela l'était, il ou elle viendrait vers nous, cela se ferait naturellement. Il faut laisser faire les choses pour qu'elles soient bien faites, les forcer ne font que leur faire perdre leur authenticité. Tourner en bourrique pour une personne qui, au fond, vous saute dans les bras pour céder à vos avances que vous avez aussi faites à d'autres, c'est raté dès le départ. Quand nous sommes sûrs de nos sentiments pour lui ou elle, nous n'avons guère besoin de tergiverser entre moult individus.
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