Katze

Qu'est-ce que l'écriture ? Sinon une porte qui mène jusqu'à des lieux inexplorés de notre esprit.

On s'en fiche de la "date" mais bon... 05/08/23

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_____--« — Pardon si j'ai pu t'offenser, pardon si on a fait la chose aussi tôt.
________— Il n'y a pas d'excuses qui tiennent, Paul, c'est le désir qui l'a voulu.
________— Ou alors, on en avait très envie tout les deux.
________— Ou alors, on est faits pour être ensemble.
 »






« — Tu sais, Locky n'est pas très joyeux, je fais une dépression. Si je suis ici, je voulais te dire que ton absence nous chagrine. Je passe mes journées à picoler, à m'empiffrer, et je sais que ce n'est pas la bonne solution pour remonter la pente. Tu es formidable, et reste-le. » Doom, Die Ungeahnte Ehe, 28 Août 2000 À mon chevet

À moi aussi, votre absence me chagrine. Pourtant, vous êtes si présents en chaque morceau de ce qui constitue mes organes.


« Je n'avais jamais été aussi triste de mon existence, et moi qui croyais qu'on allait jamais faire une telle rencontre. Une rencontre bouleversante, tout comme cette situation. » Till

« Et je n'ai jamais vu Paul autant fou d'une femme » Flake

« On ne s'attend jamais à vivre tel ou tel fléau. Imprévu mais précis. » Richard

«  Flake m'a annoncé la veille, que ton père n'était plus de ce monde depuis tes sept ans, alors j'espère que de là où il se trouve, il te souhaite plein de bonnes choses avec nous. Surtout cet enfant. Tu sais, je suis ému, comme un idiot, mais je ne veux pas que tu t'en ailles. Reste. » Oliver
 
 
 


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Je m'habillais en noir comme pour faire le deuil de ce qui agonisait en moi. C'est ce qui m'incitait à me rallumer de dedans. Pour revivre. Pour devenir qui je suis assignée à être.

« Ce sont des conneries »
(ma génitrice, par rapport à mes sentiments)

« Je vais faire Rammstein »
Pour dire: « C'est de la merde ».
(ah oui, mon cher... ex)

Il vaut mieux ravaler sa langue au lieu de déballer de telles idioties.
Mais la roue tourne, elle, même si ça prend des années.
Et malgré ces remarques qui m'ont blessée, j'ai continué à croire en vous.
Je continue de croire que l'on va se rencontrer.

À vous qui vous moquiez de moi sans savoir qui j'étais. Ni ce qui traînait dans les méandres de mon imagination. Il est plus aisé d'en venir à tenter -en vain- de ridiculiser la personne quand on a aucun courage pour proposer quoi que ce soit, et quoi que ce soit qui sort de vos tripes. Cela évite de faire fonctionner ses méninges, surtout dans une époque où l'on glorifie le culte de l'apparence.
 
 

 


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« Soit moi, soit eux »
« Dis-moi “je t'aime” »

Il m'avait mise enceinte pour me dire d'avorter ensuite, et je ne le regrette pas, comprenant aujourd'hui qu'il n'était pas le bon. Je me considère toujours aussi vierge. Il me promettait de nous marier, alors qu'il me faisait vivre l'Enfer. Le pire que j'avais traversé après le décès de mon paternel, à ce moment.

Lui qui m'avait montré une photographie de son père mourant hospitalisé à domicile, alors que le mien avait été dans la même situation. Sur le portable de ce premier qu'il allait me passer pour rester en contact avec lui. Pour retourner le couteau dans la plaie. Qui m'avait filmé en train de m'humilier, pour le faire voir à ses "copains". Qui m'obligeait à m'habiller à son goût, comme des robes, des strings, des choses qui n'étaient pas du tout mes goûts vestimentaires. Qui m'avait rabaissée et blessée en supprimant les musiques du téléphone qu'il m'avait prêté, taguant mes posters de vous (exclue de ma chambre, porte fermée à clef) qui me permettez de me raccrocher à la vie, en s'en amusant ? Je me suis sentie violée dans mon intimité. Il me forçait à écouter ce qu'il écoutait, alors que c'était abrutissant à souhait. Il m'avait empêché de parler à des garçons, par jalousie. Pour me mettre encore plus à l'écart, m'enfoncer encore plus dans ma perdition, mieux me vampiriser. Alors que je m'isolais déjà.

Qui m'achetait des "cadeaux" pour m'acheter, me racontait ses "exploits" à tels endroits, avec ces filles, étais une de plus dans sa collection, me prenait pour son jouet sexuel. Qui me menaçait de se suicider pour que je me remette avec lui, alors que j'avais envie de me suicider à ce moment, avec ses idioties. Qui n'arrêtait pas de faire sonner mon portable plus d'une centaine de fois, m'envoyait des messages, mails, pour que je me remette avec lui, aussi. Qui prétendait sortir avec unetelle pour me rendre jalouse. Alors que j'étais plutôt désespérée par cette attitude qui repousse plutôt qu'incite à revenir. Qui m'avait détournée de qui j'étais vraiment au point que j'essayais de vous oublier, de croire que j'étais tombée sous le charme du chanteur de Eisbrecher, et d'un autre gars. Toujours des gars, à croire que je ne tombais que sur les mauvais.

J'avais tellement l'impression de ne pas avoir le droit d'être moi-même (ça laisse des séquelles), ni d'être aimée à ma juste valeur. J'étais sa pute, et c'est d'ailleurs ce qu'il m'a fait comprendre lors d'une contrepèterie. Mais mortifier quelqu'un qui n'a déjà pas confiance en soi et qui est à l'agonie psychologiquement, ça tue son estime. Il essayait de faire en sorte que je vous déprécie alors que je vous adulais, rejetant la haine qu'il avait de vous, sur vous, sur moi, pour que je l'apprécie, à votre place. Aucune tendresse, je n'en ai jamais vraiment reçu. Comment on peut dire « je t'aime », dans ce cas, comment on peut le dire à la personne dont on massacre toute dignité ? Combien de fois l'ai-je dis à des quidams qui ne le méritaient nullement ? Comment on peut avoir de l'affection pour quelqu'un qui se rend détestable par ce comportement ? Comment on peut "prendre des nouvelles" de cet individu que l'on a mutilé de dedans ? Il m'a atteinte au plus intrinsèque de mon entité, alors que j'étais en plein deuil, en pleine quête introspective. Ce ne sont pas de simples bêtises, que l'on laisse passer sans soucis, qui sont impunies. J'ai l'impression que ces personnes se sont servies de mon Amour pour vous, pour me blesser, sûrement car elles savaient que je tenais, selon elles, beaucoup trop à vous. Comme si cette relation les dérangeaient. Mais toujours j'ai tenu pour vous, et grâce à vous.

Quand je l'ai quitté, c'est comme s'il avait été l'un de mes démons, et que je l'avais chassé, vous l'aviez chassé, et je vous en remercie grandement, vu le soulagement que cela m'a procuré... Quand je lui ai rendu ses affaires, ses "cadeaux", si j'avais eu un flingue à la place des mirettes, je l'aurais dézingué. Il m'avait même demandé quelque chose à manger, et de le raccompagner un peu. Chose que j'aurais dû refuser directement. J'ai jeté une colonne de verre qu'il m'avait "donnée", même s'il y a des chats gravés dedans, mon animal totem, mais avec ce que je considère être mon faux prénom. Puis parce qu'il me l'a "offert" avec de mauvais sentiments.

Car quand j'ai quitté ce portail organique définitivement, avec du mal, de peur qu'il m'en fasse à nouveau (ayant pleuré maintes fois), j'ai recommencé à écrire l'année suivante, comme si j'avais pris conscience qu'il fallait que je rédige ce que j'éprouvais pour vous, pour toi, Paul. Parce qu'il me bloquait dans mes vraies émotions, celles à votre égard, m'aveuglait, m'endormait, alors que vous, vous les avez débloquées dès l'instant où j'ai gratté le support ! Mais aussi parce que le quitter m'a aidé à cela, à exprimer aux hommes que j'idolâtre, cette dévotion sans bornes et atypique, me lâchant. Aujourd'hui, oui, ça m'est bénéfique. Ça a été et c'est mon exutoire, et je ne m'en priverais guère plus pour qui que ce soit, que ceci convienne ou non. On a pas a empêcher qui que ce soit d'exprimer ses émotions ! Vous étiez mon Éden, comme maintenant, au-delà de ces tortures psychologiques qu'il m'infligeait. C'est vous qui avez étés là même quand je me hasardais à vous effacer. Mais comment arriver à effacer quelqu'un qui est notre seul pilier, qui est nos pensées ? Qui est nous. Donc comment arriver à s'effacer... ? Et pourquoi ? Pourquoi avoir tenté de me retirer ma seule raison d'être dans cet Univers ?

C'est pour ces raisons que je l'exècre autant que je raffole de vous, je l'exècre autant qu'il a tenté de me faire vous abhorrer. Il est vôtre antithèse, ce que j'abomine au summum. Sûrement que je me détestais à cette période pour l'avoir fréquenté pendant plus d'un an. Car ce « brise-glace » est l'inverse de Rammstein, comme l'ombre est l'inverse de la clarté. Mais est-ce que tout cela était un test pour m'informer de ma fidélité envers vous ? J'en ai pris, des coups, pour vous. Mais ceux-là... Est-ce que j'arriverais à les supprimer de ma mémoire ? Je l'ai vécu comme un traumatisme. Il m'a rejetée parce que je n'étais pas conforme à lui, à son nom(bril). Est-ce une infraction que de vouloir être soi-même ? Il aurait pu m'assener de coups physiques, même si une fois il a fait "semblant", "pas exprès", de me faire mal, au niveau du visage, car il avait stoppé la boxe, mais avait encore quelques reflexes. La violence la plus violente ne se remarque pas forcément à la surface, mais elle se paie tôt ou tard. On ne gagne jamais à faire de telles crasses. Il m'avait fait perdre conscience & confiance.

J'ai l'espoir qu'il reste des maris honnêtes qui ne prennent pas leur femme pour leur marionnette.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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ECCE COLORI
IT'S A LIEN, FOR ME.


I won't be inknown.
Because i (don't) have a / my (d)own style.

Willkommen in meine Jahre Kontroll.

« Jamais je ne nettoie l'électronique poussière, la nanotechnologie de ce monstre binaire. »
J'étais en OVNI. En IVO N. Je pense l'Aermacchi MC-8888.

Meine Galaxie ist (in) ein Computer.
Mein Computer ist (in) eine Galaxie.
My e-scape.
My (s)pacemaker.
It's be ionic.

You're in my 1˅0 too.
Not « ten minste houdbaar tot ».
The one / off you.
In flight mode. I live in a flight case, a black box, too.

Non sono morto.
Sono nello stereo.


♫ ♫ ♫

That was my burstday.
D'éclats, rations d'Amour. Je m'enflammais.

« Comme je prenais feu pour toi à leur contact » [Augustin d'Hippone - Confessions IX, 4, 8]
 
 
 


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