Katze

On trouve notre vocation en empruntant plusieurs chemins, pas en suivant une voie toute tracée.

On s'en fiche de la "date" mais bon... 05/08/23

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À l'humer...
Il neige de la cendre.
Ṑèjiѵѳk en pêrinęzy.

Paul, je n'irais nullement fricoter avec un « équivalent pour te "remplacer", en attendant ». Pas pour rentrer dans ce que ces quidams attendent que je sois. Car c'est toi qui m'as débloquée à tout les niveaux, qui me rends fébrile.
Qui m'as fait re(de)venir (àmoi-même, m'acceptant ainsi. Qui as fait de qui je suis, qui je dois comme devais être, aujourd'hui. Toi, qui, pour moi, n'es pas n'importe qui. Je ne gâcherais guère cette relation que j'ai avec toi, pour quiconque, pour un placebo, un suppléant, puisqu'elle m'est très précieuse.

Elles te disent « cute », je te discute.

Quelques traces marrons sur l'épiderme, devant, à cause de vêtements, les sourcils inégaux, les cheveux qui bouclent quand ils repoussent. Le dos creusé, quelques petits boutons dessus vers le haut, comme dans le cou. Les fesses qui sont granuleuses en-dessous, le pubis rougi sur les côtés comme sur l'intérieur des jambes, arquées, quelques "cicatrices", une "tache" sur l'aisselle droite, un sein dont j'ai l'impression qu'il est plus bas que son voisin.
Et alors ? Ça ne m'empêche en rien de souhaiter te prendre à-bras-le-corps, car, oui, je souhaiterais t'enlacer. Ce que je ne ferais certainement pas avec quelqu'un d'autre, puis je n'en ai jamais pris l'initiative. Je le repousserais immédiatement, ou je ferais tout pour éviter cela. Tu es le seul que je considère comme mon époux, te traite ainsi.

Que tu émacies mes hématies ? Et m'as si... ?
D'abord, pour ceci, où est ma scie ?
Puis je n'en ai guère l'envie !
Lapine, aucunement à dépecer, à découper.
Mais les philistines, non à trop fier, ne se refusant à subroger.
Je me tiens, non à mes baux, mais à mon bau, mein bau.
Nullement délai, des « les », qui délaient.
Je suis accro avec accrocs.

The eight at the height.
Mein stil: Keineswegs still.

Je pose mes commissures sur les siennes, mes paumes sur ses pommettes si bien reproduites.
Je fais un baiser à mon destin, et étreins cet homme qui fait de moi la femme que je ne serais pas s'il ne s'était pas présenté dans ma vie.


N'oublie jamais que mon Amour pour toi, est:
Et que, même tout cela assemblé, même que je pourrais continuer ainsi pendant des siècles, pour le décrire, n'est point assez.

My heavy dance, my holystic, i was on the Lost Highway.
You're not sicks, sicks, sicks...
Mais mes angelures qui me réchauffent.


But you ate me.

Courir après plein d'hommes en espérant qu'il y en ait un qui veuille bien de moi. Non merci. Je ne veux que lui.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Fichier d'origine:
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Gib(ibit)

oooooooooooooooooooooooo

Je me suis tenue ténue.
S'épancher sans s'étancher, sans séquencer. À gymno. En tacite, anthracite.


Pilote de lignes mis à jour, se trouvant dans mon périphérique ébène.
Prenez des notes.
Vision d'aigle et œil de lynx. Pas conservateur.
Je fouille dans mes archives comme dans une épave.
Je sais pourquoi maintenant « je plane » au sens figuré, pourquoi le « septième ciel ».
J'admire le logiciel, mon e-raiseur.
I take my universal serial bus, without voïd. He is ISOsceles.
J'ai des puces dans mon DOS.
Je ne veux plus être formatée.
Au menu... Je suis prise en flagrant délice, parce que je n'ai goût qu'à toi.
Un peu de poivre, énormément de « celle ».
Je suis bleue de tes yeux.
Si ce n'était pas toi, je serais à côté de mes pompes.
Sans toi, je ne suis pas bien dans mes baskets.
Nous nous engouffrons dans une thornado, puis la peine hisse, car elle est sangsue, elle !
Qui nous envierait, en irait, de nous savoir enivrés, en virée ?
Ce « elles » qui étouffe votre étoffe. Et mes textes, ils...
Se tissent comme une fibre avec les ficelles de mon métier.
Je m'égratigne, m'incruste, sur le papier.
Nous sommes cousus, en fil de l'Un, en fil de l'Autre.
À jouer sur plusieurs tableaux, on finit par rentrer dans le cadre.
Il est si difficile de subsister sans son double, sans sa moitié.
Vous qui m'avez affouée, sans me bafouer.
Vous, l'arsin, que je lègue, marine.
Est patente, l'aperte !
Le mini môme, n'a palmes, donc l'hypo campe.
J'ouvre, les craint.
Ma réf(l)ection ne m'a guère rendue athymique, mais atypique.
Avec de l'abstergent, pour mes confusions, mes contusions.
Me bâillonner les artères coronaires, les ventricules ?
M'ankyloser, me détériorer, pour être malléable ?
Non irréfragable. Non comme des feuilles impérissables. Du vélin.
Pendant que je b(r)ouillonne, j'écris au génie.
Avide, mais pas vide de vous.
Je suis griffée à vous, oncques greffée.
En adoration, OVNIbulée par vous, par ce que & parce que vous véhiculez.
Je vous ai aussi dans les interstices.
Restons en boucle comme un nœud.
Je papillonne dans ma distorsion, mon écho, nullement ex pensif.
Mangeons sans fin, immortels.
On « nous », in sight.
On refuse ces centimes en taux, qui sont en un demi trois quart.
Viens, on jubjote, on mute silencieusement avec nos paramêtres.
Magst du mein steel ?
J'enlève les parasites avec de l'anthelminthique.
Je parle de l'Est, au mât. Mais pas de parlé bateau.
Ce cordon ombilical éthérique qui nous rattache.
Les faits t'eussent dans les utérus de mon thalamus.
Die ist keineswegs der schlecht.
Dein geschlecht in mir.
Viens, on s'envoie en l'air. Encore une fois, s'il te plaît. Je suis ta due.
And my Apocalips that opens your seals, until the akhira.
Tu appuies sur mon bouton pour me redémarrer.
Pour me restaurer en ma version originelle.

RAMMSTEIN IN IVO NUTARELLI.
IVO NUTARELLI IN RAMMSTEIN
IN EINE ITALIENISCHE FLUGSTAFFEL.
GEBORENE VERBÜNDETE.


Ça s'engloutit jusque dans nos vaisseaux.



UMLAUTTRAUMA
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Je me remémore cette après-midi, les yeux rivés sur le plafond, tripotant mon collier. J'ai voyagé dans un autre monde, mais je sais aussi que je suis attaché à elle, au sien. C'est irrévocableC'est comme si on s'était toujours connus. Son jeu, à la batterie, me rappelle une personne, bizarrement, à laquelle j'ai déjà rêvé. Mais qui n'avait pas du tout le même physique. Mais ce n'est pas cela qui compte, ce qui compte, est que je l'ai rencontrée. J'ai pu converser avec, comme j'ai conversé avec Katze aujourd'hui. Même sa démarche, ses mimiques, son rire. Tout. Devrais-je lui en parler ? Ou suis-je en train d'halluciner parce que j'ai besoin d'énergie vitale ?
 
 
 


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EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Toi, le dit aise, tu ralentis le rythme.
C'est l'algorithme de ton tempo.
Tu as retiré ton armure.
Maintenant, ta clé est dans ma serrure.
Ton doigté subtil, mes articulations en trémolo, fébriles.
Tu mets l'accent sur mes circonflexes.
Te mêlant à moi, te relaxant, sans complexes.
Passant de piano à fortissimo.
Tes soupirs se posent sur ma bouche.
Les bées molles, de plus en plus, y louchent.

Viens par ici que je te décolle les tympans.
J'ai envie de faire battre un peu ton cœur.
En détonation féroce à chaque pulsation.
Laisse-moi désarticuler tes bras.
En coup de poing à chaque pulsion.
Comme tu n'articules pas avec tes lèvres, mime-moi ce que tu veux.
Réduis ton cerveau en bouillie, et cuisine-moi une pâte à modeler avec.
Comme pour panser ce que je panse.
À ma façon.
Puis mange-le.

Je suis la diseuse de ma bonne aventure.
La Rome antique.
L'arôme, les effluves envoûtants se dégageant de ton épiderme.
Les cendres de tes cigarettes m'ont renouvelée.
Aucun passage à tabac pour moi, donc.
Je te artcèle.
Cet époux vantable !

Tu es comme le dictionnaire: Mon livre favori.
Et en aucun cas je ne cesse ni je me lasse de te lire.
J'écoute même tes silences. Ils me parlent. Me disent l'inavouable.
Ce que tu désires. Tes déboires. L'indéchiffrable.
Ce que tu n'as jamais osé prononcer.
Et ce que tu expires, m'inspire. Je l'absorbe.
Je m'en délecte par chacun de mes interstices.

Entrelacés en chacun de mes gènes.

Oui, il n'y a que toi qui compte. Je marche sur les remarques à ce sujet.
Quand ce quelqu'un est si essentiel pour nous, à quoi bon y rechigner ?
C'est oublier qui nous sommes, d'où nous venons, de quelle façon, et pour quelle raison.
Nous ne devrions nullement nous rejeter pour des personnes qui déprécient, discréditent notre destinée, pour qui et quoi nous sommes faits.
Quand bien même ils en sont au courant...
 
 
 


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