Kbps.
Top modem, with this firewall.
Laguèrent, pour l'happée.
Précurseurs, fichiers stockés en mon dossier.
Ainsi font le fécond, mais nullement le fait con.
Ces protagonistes, germes de l'incandescence, dépouillés du superflu.
Oncques orphelins de l'irröhèèlyn.
Nous, Râ, chrysopée, puis argument du périhélie.
Je braque des briques dans mon bric-à-brac.
Donc ces brèves me foisonnent, me façonnent, me fascinent.
L'opulence a engendré la hernie disquale.
Mon oxiopie, pour les océriser.
J'en ai offusqués lorsque je les ai obfusqués.
Nous n'obturons guère la piritramide pour traduire l'octateuque.
De l'albuminurique, puis ils-
Ce byture, bug, albiNOS.
Ne guère aller chez la faillation.
À caractère port non graphique.
Ma Chine: Expression cy(ber)n(ét)ique.
En mon rhésus R+, nul anti bionique.
Jamais je ne courbe l'échine, pas comme le trojan, chevaleresque.
Je télécharge mes (s)words.
Que des coups de l'âme...
Qui se saigne, se soigne, sur le support.
Sémitique... Comme par az-zahr.
Comme ces mithrils... Par hasard.
Tes « y risses », les trous noirs dans lesquels je m'éclipse pour scruter ton troublant.
Ceux qui me redonnent espoir quand ma vie n'est plus t(e)intée de blanc.
Les lignes de tes mains, celles sur lesquelles j'assieds mes phrases.
Celles qui s'épousent absolument aux miennes, conjointes.
Notre alliance si étroite, nos liens si étroits, qu'ils se superposent.
Jamais un mariage n'a été d'intérêt.
Connectés comme des neurones quand on a une idée soudaine.
Comme mon timonier dont le tison est branché sur prise, sous daine.
Je m'abrite sous ton charme.
Où je le déguste crû, dépourvu de Q.I !
J'en frappe, là, Charles Eston.
Je l'éclabousse. Splash.
Vous courez en mes tra(n)chées.
Les barbelés serpentant vos poignets.
Vous vous atteignez sans vous atténuer.
Informée de vos tenants & aboutissants.
Obnubilée par ceci, comme par votre métaphysique, vos cicatrices.
Paul, tétragramme, tu as gravé des crans auxquels je me trouve engrenée.
Grâce, et non garce. Für das gelb, kaum das geld.
Vous, vous ne les avez, ni appris, ni voisés.
Grimées d'écran de fumée; das ist für schlimmer.
Qu'avez vous de si spécial qui vous démarque ?
D'enrichissant à leur raconter ?
Atroces, vous les lessivez...
"Tops models", with this fake-up.
Unsere brachiale gewalt sind dieser gimmicks.
Our mobil is not the limbo.
Privés du Pavlovien sinequanone ?
Je n'ai pas le sourire ultrawhite, les dents bien rangées, le "physique impeccable" sans reliefs, détails, ni traces, pas de bourrelets ni de cellulite, droite comme un piquet, rester jeune, fraîche, & séduisante, qu'imposent les magazines, les publicités. Parce que la maigreur n'est qu'un apparat, une futilité, mais n'a aucun lien avec la morphologie de chacun ! Je ne me prends nullement pour une beauté fatale à ce niveau, une mannequin, une femme, parce que j'ai un vagin. Je m'en moque du confort & du luxe, du shopping & de ces conneries de nanas stéréotypées, tant que je peux ÊTRE avec vous, vous aider, vous écouter vous confier à moi bien que l'on ne parle guère la même langue, mais mon oreille vous sera toujours attentive. Je souhaite, te, vous diffuser, ce « Je t'aime » qui palpite, sans "froufrous", chichis, ni paillettes, qui sort du lot, quitte à ce que ce soit le seul, mais le seul qui est digne de vous.
La personne qui ne te laisse guère être toi-même, n'est pas faite pour toi, ne te chérie pas.
EXPRIME-TOI !