Katze

Qu'est-ce que l'écriture ? Sinon une porte qui mène jusqu'à des lieux inexplorés de notre esprit.

On s'en fiche de la "date" mais bon... 03/08/23

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Das Durchstoßene Herz

 


 

Ich schwebe im Aermacchi MB-339
In der modus Selbststeuergerät
Hast du ein fehler gemacht ?
Nein, das ist eine verbesserung

Merkwürdig vogel, nur hier
Was plant er, unter Baumwollen ?
Merkwürdige vogels, nur hier
Untrennbar

Rotes Kreuz, Feuerwehrmänner, Ärzte
Rotes Kreuz, Feuerwehrmänner, Ärzte
Rotes Kreuz, Feuerwehrmänner, Ärzte

Oh, ihr Kopf, wie eine Bombe
Singt durch ihr Minenfeld
Die Tragödie die läuft


28. August 1988
Kinderträume
28. August 1988
In Alpträumen von Erwachsenen gedreht
28. August 1988
Den absengenden Pilz pflücken
28. August 1988
Der Petroleum aufsaugen


Ihr Gedächtnis
In einen Flugschreiber eingeschlossen
Warten nur auf die weiße Taube
Das sich berät, um ihnen zu helfen

Notfall, notfall, notfall
Die Sirenen ertränken sich in der Menge
Die Sirenen ertränken sich in der Menge

Oh, ihr Kopf, wie eine Bombe
Singt durch ihr Minenfeld
Die Tragödie die flieht


28. August 1988
Kinderträume
28. August 1988
In Alpträumen von Erwachsenen gedreht
28. August 1988
Den absengenden Pilz pflücken
28. August 1988
Der Petroleum aufsaugen


Sie sind sich zu stehlen aufzuhören
Der Falke, verkohlt
Hat nicht mehr als sein Gerippe

Hölle, aber
Geteilter Kummer
Stele geätzt auf immer

Oh, ihr Kopf, wie eine Bombe
Singt durch ihr Minenfeld
Die Tragödie


28. August
28. August
1988


Das anödet für die Ewigkeit


Nous nous sommes appelés.
Ce n'était guère téléphoné.
Et si ce « m » doublé n'était guère une erreur commise par inadvertance, mais sa correction ?
Et si ce n'était guère une erreur de pilotage, mais cela, l'acrobatie du 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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__________They fly, fly, fly...
_____________________In the sky.


Il y en a qui sont captivés par ces choses superficielles. Tandis que je suis plutôt captivée par cette catastrophe qui regorge de choses étranges. Je me mets à la place de tout ces gens qui étaient là-bas, guillerets, certains venant sûrement d'assez loin pour cet événement spécial et grandiose, à l'époque. En pleine saison chaude, bonne ambiance, à manger, à boire. C'était sûrement un moyen pour eux "d'oublier" l'Allemagne divisée, se réunir pour un moment, le partager dans la joie...
Puis en quelques secondes, ça a viré en tragédie, en scènes de guerre (alors que le pays l'était, ce qui n'a fait que dramatiser davantage la situation), de paniques, ou à contrario, de paralysie face à ce fléau, à cause d'une manœuvre mal exécutée, selon les médias, qui ne racontent que ce qu'on leur dit de raconter, à la population.

Mais je me demande ce qu'il en serait advenu si cela s'était passé autrement ? Rammstein n'aurait jamais vu le jour...

À qui puis-je confier ces bribes ? Ma génitrice ? Plutôt à vous, concernés. Les victimes de cet événement funeste. Vous avez le droit de comprendre pourquoi c'est arrivé ! C'est bizarre de me dire et de vous dire cela, mais j'ai toujours su que Rammstein était un groupe très particulier. Et pas que pour moi. Ce drame m'intrigue.

J'en fais des insomnies, je ne cesse d'y cogiter, mais qui en est renseigné ? Qui est renseigné que je me suis absorbée là-dedans, sans remords, il y a de cela quelques années ? Quitte à me retrouver le cerveau en compote, me couper un bras, ou repoussée parce que « pas normale » puisque je cherche à m'informer de ce qu'il s'est réellement passé ce jour-là, sans même comprendre pourquoi IL m'affecte autant, ni de quelle façon (je me passe de remarques comme: « Mais tu n'étais pas née ! »). Car des questions sans réponses pendant de longs mois, cela fait mal, très très très mal, cela n'aide aucunement à faire le deuil de qui, puis de quoi que ce soit. Ce ne sont d'ailleurs nullement des dossiers que l'on divulgue "comme ça", et à n'importe qui. Mais je préfère me consacrer à dénouer ceci, que de me réduire à "être" une personne banale, qui n'a strictement rien à apporter au monde, jouer les égoïstes pour rentrer dans le moule de la société. Sans remords.

Ils marchent en l'air...
 
 
 


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Kbps.

Top modem, with this firewall.

Laguèrent, pour l'happée.
Précurseurs, fichiers stockés en mon dossier.
Ainsi font le fécond, mais nullement le fait con.
Ces protagonistes, germes de l'incandescence, dépouillés du superflu.
Oncques orphelins de l'irröhèèlyn.
Nous, Râ, chrysopée, puis argument du périhélie.
Je braque des briques dans mon bric-à-brac.
Donc ces brèves me foisonnent, me façonnent, me fascinent.
L'opulence a engendré la hernie disquale.
Mon oxiopie, pour les océriser.
J'en ai offusqués lorsque je les ai obfusqués.
Nous n'obturons guère la piritramide pour traduire l'octateuque.

De l'albuminurique, puis ils-
Ce byture, bug, albiNOS.
Ne guère aller chez la faillation.
À caractère port non graphique.
Ma Chine: Expression cy(ber)n(ét)ique.
En mon rhésus R+, nul anti bionique.
Jamais je ne courbe l'échine, pas comme le trojan, chevaleresque.
Je télécharge mes (s)words.
Que des coups de l'âme...
Qui se saigne, se soigne, sur le support.
Sémitique... Comme par az-zahr.
Comme ces mithrils... Par hasard.

Tes « y risses », les trous noirs dans lesquels je m'éclipse pour scruter ton troublant.
Ceux qui me redonnent espoir quand ma vie n'est plus t(e)intée de blanc.
Les lignes de tes mains, celles sur lesquelles j'assieds mes phrases.
Celles qui s'épousent absolument aux miennes, conjointes.
Notre alliance si étroite, nos liens si étroits, qu'ils se superposent.
Jamais un mariage n'a été d'intérêt.
Connectés comme des neurones quand on a une idée soudaine.
Comme mon timonier dont le tison est branché sur prise, sous daine.
Je m'abrite sous ton charme.
Où je le déguste crû, dépourvu de Q.I !
J'en frappe, là, Charles Eston.
Je l'éclabousse. Splash.

Vous courez en mes tra(n)chées.
Les barbelés serpentant vos poignets.
Vous vous atteignez sans vous atténuer.
Informée de vos tenants & aboutissants.
Obnubilée par ceci, comme par votre métaphysique, vos cicatrices.
Paul, tétragramme, tu as gravé des crans auxquels je me trouve engrenée.
Grâce, et non garce. Für das gelb, kaum das geld.
Vous, vous ne les avez, ni appris, ni voisés.
Grimées d'écran de fumée; das ist für schlimmer.
Qu'avez vous de si spécial qui vous démarque ?
D'enrichissant à leur raconter ?
Atroces, vous les lessivez...


"Tops models", with this fake-up.

Unsere brachiale gewalt sind dieser gimmicks.
Our mobil is not the limbo.
Privés du Pavlovien sinequanone ?


Je n'ai pas le sourire ultrawhite, les dents bien rangées, le "physique impeccable" sans reliefs, détails, ni traces, pas de bourrelets ni de cellulite, droite comme un piquet, rester jeune, fraîche, & séduisante, qu'imposent les magazines, les publicités. Parce que la maigreur n'est qu'un apparat, une futilité, mais n'a aucun lien avec la morphologie de chacun ! Je ne me prends nullement pour une beauté fatale à ce niveau, une mannequin, une femme, parce que j'ai un vagin. Je m'en moque du confort & du luxe, du shopping & de ces conneries de nanas stéréotypées, tant que je peux ÊTRE avec vous, vous aider, vous écouter vous confier à moi bien que l'on ne parle guère la même langue, mais mon oreille vous sera toujours attentive. Je souhaite, te, vous diffuser, ce « Je t'aime » qui palpite, sans "froufrous", chichis, ni paillettes, qui sort du lot, quitte à ce que ce soit le seul, mais le seul qui est digne de vous.

La personne qui ne te laisse guère être toi-même, n'est pas faite pour toi, ne te chérie pas.
 
 
 


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