Katze
L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...
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PENSÉE
L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...
DES CHIFFRES 29-06-2023
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Vef Blog accueilOn s'en fiche de la "date" mais bon... 29/07/23
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— Je vais vous faire du rai à l'isthme. —
__A u x__m a g e s .__
Pour moi tu n'es pas toue, pas t'houes. Moie, puis noue. À genoux.
J'ai trop de c'Till / steel, non de still, c'est trop subtil, je suis trop agile.
Cette personne qu'est Rammstein, n'a pas atteint un niveau de bât.
C'est celle qu'on scelle sans recel.
Je vous déclame, vous réclame, et non vous rétame.
Je vous flâne, je ne suis pas un âne, de vous je ne suis jamais en panne.
Votre magnificence me rend dingue, me déglingue, avec elle je me fringue.
Je ne suis pas par anneaux, peut-être par agneaux, ou à qu'rhô.
À tout ces stupides, je souhaiterais leur dire que vous n'êtes pas leurs co-pines.
Paul, mes bribes sont tes qu'rites, je ne consomme pas de shit ni de cheat.
Vous êtes l'étain, j'ai du chat grain, déchirez-le avec vos mains.
Je vais hululer mon amour sur tout les toi, ici il ne fait pas l'oie,
encore moins le canard, car je me narre.
Je vous orais, à l'orée, non jetée.
Vous êtes mes qu'alités, je ne vous ai pas qu'loués, ni qu'analysés.
J'enviais Février, et puis aussi l'émoi d'après.
Avec vous, pas de qu'honte rendue, mais suis-je crue ?
Je suppose que ce n'est pas trop « cui-cui », que ça ne fait pas trop de bruit.
J'ai trop de c'Till / steel, non de still, c'est trop subtil, je suis trop agile.
Cette personne qu'est Rammstein, n'a pas atteint un niveau de bât.
C'est celle qu'on scelle sans recel.
Je vous déclame, vous réclame, et non vous rétame.
Je vous flâne, je ne suis pas un âne, de vous je ne suis jamais en panne.
Votre magnificence me rend dingue, me déglingue, avec elle je me fringue.
Je ne suis pas par anneaux, peut-être par agneaux, ou à qu'rhô.
À tout ces stupides, je souhaiterais leur dire que vous n'êtes pas leurs co-pines.
Paul, mes bribes sont tes qu'rites, je ne consomme pas de shit ni de cheat.
Vous êtes l'étain, j'ai du chat grain, déchirez-le avec vos mains.
Je vais hululer mon amour sur tout les toi, ici il ne fait pas l'oie,
encore moins le canard, car je me narre.
Je vous orais, à l'orée, non jetée.
Vous êtes mes qu'alités, je ne vous ai pas qu'loués, ni qu'analysés.
J'enviais Février, et puis aussi l'émoi d'après.
Avec vous, pas de qu'honte rendue, mais suis-je crue ?
Je suppose que ce n'est pas trop « cui-cui », que ça ne fait pas trop de bruit.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 29/07/23
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You are two me.
Oh, miroir, miroir, dis-moi que tu es le plus beau.
Kaum Deut. Aber Deutsch.
Puis là le magne.
Oh, miroir, miroir, dis-moi que tu es le plus beau.
Kaum Deut. Aber Deutsch.
Puis là le magne.
Mal-être.
Ma lettre.
T'erres à terre ? Pas tu ne m'indiffères.
Mais j'te préviens, c'est moi ou hell.
Tu n'es pas aux taupes, et hop.
Tu es mon message, guère mon pas sage.
Tu es, ni rectum, ni verseau.
Avec toi, ce n'est pas un coup d'pot, tu es ma peau.
Avec toi, je n'suis pas sans traits (tes*).
Entre ces derniers j'suis en train de m'exprimer.
Avec toi, c'est un « je » de « dès ».
Ce n'est pas selon les rumeurs et mon humeur.
J'suis vraiment un drôle de K.
J'mets la blague à mon « doit ».
Cosmique est cela.
J'suis ta cohérence / co-errance.
Il y en a qui s'en mêlent, mais nous on s'emmêle.
J'te préviens aussi, ces idiots méritent des claques sur leurs jougs.
Ils n'ont pas à t'commander, ni à vous commander d'la sorte.
Ils s'croient tout permis, c'tte conduite est méprisable.
Pfff... Je suis minet.
Tu n'es pas mon souillé.
Sinon j't'imagine dire « m'a bottée ma beauté ».
Mais moi j'vais t'dire: Vous pensez mes plaies, s'il vous plaît.
Je n'ai pas froid en toi. Ne me demande pas pourquoi.
Tu ne me fais pas qu'raquer ni qu'roquer.
L'esche pour appâter ? Certainement pas pour toi, hé.
Nous n'sommes pas co-mandants, alors on n'fera jamais la paix.
Tu n'me coches pas dans sept cases, tu restes sur d'bonnes bases.
Flâmes brûlantes, pas lentes, sans l'époux dans notre chevelure.
Qu'houle, l'alarme sur ma joue, tu ne pourras pas les teindre.
Tu ne t'es jamais venté, car ça, c'est un manque d'humilité.
Pour certains tu es un vanté, mais tu t'es inventé.
Par contre, tu m'as soufflé des émotions en une marée.
Et ça ne m'a pas fait marrer.
Soit, un jour je monterai sur l'acène. Sans thrène.
Soit, je n'rédige guère des sites à scions.
Je rédige mes sentences de couleur prose.
Vas-y, toi aussi, vas-y, si tu l'oses, virtuose.
Bref, j'ignore si le soir m'atteint.
M'enfin, c'est ainsi que l'écrit vint / vainc.
Ma lettre.
T'erres à terre ? Pas tu ne m'indiffères.
Mais j'te préviens, c'est moi ou hell.
Tu n'es pas aux taupes, et hop.
Tu es mon message, guère mon pas sage.
Tu es, ni rectum, ni verseau.
Avec toi, ce n'est pas un coup d'pot, tu es ma peau.
Avec toi, je n'suis pas sans traits (tes*).
Entre ces derniers j'suis en train de m'exprimer.
Avec toi, c'est un « je » de « dès ».
Ce n'est pas selon les rumeurs et mon humeur.
J'suis vraiment un drôle de K.
J'mets la blague à mon « doit ».
Cosmique est cela.
J'suis ta cohérence / co-errance.
Il y en a qui s'en mêlent, mais nous on s'emmêle.
J'te préviens aussi, ces idiots méritent des claques sur leurs jougs.
Ils n'ont pas à t'commander, ni à vous commander d'la sorte.
Ils s'croient tout permis, c'tte conduite est méprisable.
Pfff... Je suis minet.
Tu n'es pas mon souillé.
Sinon j't'imagine dire « m'a bottée ma beauté ».
Mais moi j'vais t'dire: Vous pensez mes plaies, s'il vous plaît.
Je n'ai pas froid en toi. Ne me demande pas pourquoi.
Tu ne me fais pas qu'raquer ni qu'roquer.
L'esche pour appâter ? Certainement pas pour toi, hé.
Nous n'sommes pas co-mandants, alors on n'fera jamais la paix.
Tu n'me coches pas dans sept cases, tu restes sur d'bonnes bases.
Flâmes brûlantes, pas lentes, sans l'époux dans notre chevelure.
Qu'houle, l'alarme sur ma joue, tu ne pourras pas les teindre.
Tu ne t'es jamais venté, car ça, c'est un manque d'humilité.
Pour certains tu es un vanté, mais tu t'es inventé.
Par contre, tu m'as soufflé des émotions en une marée.
Et ça ne m'a pas fait marrer.
Soit, un jour je monterai sur l'acène. Sans thrène.
Soit, je n'rédige guère des sites à scions.
Je rédige mes sentences de couleur prose.
Vas-y, toi aussi, vas-y, si tu l'oses, virtuose.
Bref, j'ignore si le soir m'atteint.
M'enfin, c'est ainsi que l'écrit vint / vainc.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 29/07/23
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______________________« Oui, j'ai changé, oui, j'ai besoin de vous. Oui. »
___________________________________________________Anna Gavalda.
__________________________________________Je m'orne de morne.
__________________________________________D'amour intégraal.
_______________________________________________________C'est leste et céleste.
__________________________________________Je m'orne de morne.
__________________________________________D'amour intégraal.
_______________________________________________________C'est leste et céleste.
Ahlala, cela me fait bobo au Q.
меня, mindestens.
Je lavais,
et gelé toujours.
et gelé toujours.
M'aide mon remède. Mon Emblème pas en blême. Sans problème.
M'a dit « mention ». Fais un « bon ». J'ai des « dont ».
Pas cancre pour m'écrire.
Nécessaire d'avoir de l'R pour faire des verts.
Quelques termes pour commencer sa thérapie.
Sniffe de ma coque. Jouis ce que tu auditionnas.
Tu n'es pas comptant ? Tu n'es pas annal.
Je suis quelqu'un qui est prêt de vous, je vous donne tout.
Et à ce qu'il paraît, je suis parée, et nous ne sommes pas kit.
M'a dit « mention ». Fais un « bon ». J'ai des « dont ».
Pas cancre pour m'écrire.
Nécessaire d'avoir de l'R pour faire des verts.
Quelques termes pour commencer sa thérapie.
Sniffe de ma coque. Jouis ce que tu auditionnas.
Tu n'es pas comptant ? Tu n'es pas annal.
Je suis quelqu'un qui est prêt de vous, je vous donne tout.
Et à ce qu'il paraît, je suis parée, et nous ne sommes pas kit.
J'eux, mais pas vidéos.
Je ne les coûterais jamais.
Je n'irai aucunement vers les chèques.
Ils ont fait largement plus que ce qu'ils auraient dû faire pour moi.
Mais qui s'en fout d'c'truc de fou ?
Sûrement pas ces trous qui ne leur arrivent aucunement au gnou.
Je ne les coûterais jamais.
Je n'irai aucunement vers les chèques.
Ils ont fait largement plus que ce qu'ils auraient dû faire pour moi.
Mais qui s'en fout d'c'truc de fou ?
Sûrement pas ces trous qui ne leur arrivent aucunement au gnou.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 29/07/23
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Je suis allitérée dans des assonances, mais pas altérée.
Je me sacrifie et me scarifie sans spolier.
Je me sacrifie et me scarifie sans spolier.
Qui s'en branle de ma masturbation littéraire ? Trop vulgaire ?
Quel est donc ce langage prévisible et misérable ? D'où provient-il ?
Est-il limité ou l'imité ? Niais ou nié ?
En tout cas, voici les rections:
Quel est donc ce langage prévisible et misérable ? D'où provient-il ?
Est-il limité ou l'imité ? Niais ou nié ?
En tout cas, voici les rections:
Tu n'as pas été choisi au pif, ni en rien. Pas de spliff, ni de canif. Juste un câlin, pas anodin. Tu n'es pas coercitif, mais affectif. Peut-être un peu coquin, et malin. En moi tu cliffes, en toi je sniffe. Tu n'es pas là pour le butin, je ne suis pas une putain.
Amour sans tarif, sans suif. Renfermé dans les crins, préparant notre destin. Nous sommes émotifs avec un motif. Guère bénins, mais mutins. Il n'y a aucun sédatif qui atténue quelque chose d'aussi expressif. Tu n'es guère larbin, ni larcin. Mais excessif et disruptif.
Tu es du genre la personne que j'attendais inconsciemment. Tu n'es pas du style à sortir des choses cucul la praline, et à deux francs si saouls. Quand tu parles, tu ne fais pas de détours, c'est clair, net, et précis. Pas plus sincère que toi ça existe.
Car ce que j'éprouve, ce n'est pas quelques sentiments à la con, réitérés, des « je t'aime » comme on dirait « bonjour », des mots alignés pour simplement raconter un minimum de banalités. Ils me dissertent, me disent « certes », se concertent, s'alertent, s'allaitent et végètent.
Amour sans tarif, sans suif. Renfermé dans les crins, préparant notre destin. Nous sommes émotifs avec un motif. Guère bénins, mais mutins. Il n'y a aucun sédatif qui atténue quelque chose d'aussi expressif. Tu n'es guère larbin, ni larcin. Mais excessif et disruptif.
Tu es du genre la personne que j'attendais inconsciemment. Tu n'es pas du style à sortir des choses cucul la praline, et à deux francs si saouls. Quand tu parles, tu ne fais pas de détours, c'est clair, net, et précis. Pas plus sincère que toi ça existe.
Car ce que j'éprouve, ce n'est pas quelques sentiments à la con, réitérés, des « je t'aime » comme on dirait « bonjour », des mots alignés pour simplement raconter un minimum de banalités. Ils me dissertent, me disent « certes », se concertent, s'alertent, s'allaitent et végètent.
Du bist kaum meine leere, aber meine lehre.
Ich bin kaum wider, aber wieder.
In meinen Sorgen und meinen Krachen.
Ich bin kaum wider, aber wieder.
In meinen Sorgen und meinen Krachen.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 29/07/23
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Paul Landers Umfasst Mein Eid.
Plutôt le contraire ?
Plutôt le contraire ?
Логические идеи
Quel drôle de Mau.
Oiseux ? S'omet.
D'échéance ? Tom(e)s.
Quel drôle de Mau.
Oiseux ? S'omet.
D'échéance ? Tom(e)s.
Rammstein,
pas des pigeons qui ne comprennent rien. Pas la varice / l'avarice.
Mais le prodige qui me prodigue. L'hémo dans mes cylindres du somatique.
Ne m'laissez pas en plant, z'êtes mon coup de pousse.
Je suis votre, mais il ne manquerait plus que je me vautre.
Et grâce à vous. Et je vous en vaux.
Rammstein,
lancinant dans ma tête. Jamais ça ne s'arrête.
C'est comme un coup de balayette. Sur vous j'en quête.
Vous noyez le poisson, à travers la mousson que nous repoussons à tâtons.
Et puis comme un poète, je gribouille mes bribes sur des ramettes.
Il nous met à table avec de l'érable, impeccable.
Vous, plus que l'aurez du ciel, sans fiel.
Rammstein,
éthylène m'étouffe. Je fais escale à l'esclandre.
Pas elle m'ellipse. M'éclipse dans une élégie.
Elle m'écrit de façon exceptionnelle. Je suis ébahie.
Elle m'écangue. Je vais en son ecclésia.
Elle m'époustoufle, m'éblouit. Éthylène m'embrume.
Rammstein,
le silence s'y lance.
Pas sans conséquences, ni séquences.
Sans incohérences, ni divergences.
Rammstein,
quelle élégance.
Rammstein,
ma révérence.
Rammstein,
je fais la déférence.
pas des pigeons qui ne comprennent rien. Pas la varice / l'avarice.
Mais le prodige qui me prodigue. L'hémo dans mes cylindres du somatique.
Ne m'laissez pas en plant, z'êtes mon coup de pousse.
Je suis votre, mais il ne manquerait plus que je me vautre.
Et grâce à vous. Et je vous en vaux.
Rammstein,
lancinant dans ma tête. Jamais ça ne s'arrête.
C'est comme un coup de balayette. Sur vous j'en quête.
Vous noyez le poisson, à travers la mousson que nous repoussons à tâtons.
Et puis comme un poète, je gribouille mes bribes sur des ramettes.
Il nous met à table avec de l'érable, impeccable.
Vous, plus que l'aurez du ciel, sans fiel.
Rammstein,
éthylène m'étouffe. Je fais escale à l'esclandre.
Pas elle m'ellipse. M'éclipse dans une élégie.
Elle m'écrit de façon exceptionnelle. Je suis ébahie.
Elle m'écangue. Je vais en son ecclésia.
Elle m'époustoufle, m'éblouit. Éthylène m'embrume.
Rammstein,
le silence s'y lance.
Pas sans conséquences, ni séquences.
Sans incohérences, ni divergences.
Rammstein,
quelle élégance.
Rammstein,
ma révérence.
Rammstein,
je fais la déférence.
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