Titre du blog : Katze
Auteur : Gib-mir-deine-hand
Date de création : 29-06-2023
Auteur : Gib-mir-deine-hand
Date de création : 29-06-2023
posté le 29-07-2023 à 20:36:28
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Je suis allitérée dans des assonances, mais pas altérée.
Je me sacrifie et me scarifie sans spolier.
Je me sacrifie et me scarifie sans spolier.
Qui s'en branle de ma masturbation littéraire ? Trop vulgaire ?
Quel est donc ce langage prévisible et misérable ? D'où provient-il ?
Est-il limité ou l'imité ? Niais ou nié ?
En tout cas, voici les rections:
Quel est donc ce langage prévisible et misérable ? D'où provient-il ?
Est-il limité ou l'imité ? Niais ou nié ?
En tout cas, voici les rections:
Tu n'as pas été choisi au pif, ni en rien. Pas de spliff, ni de canif. Juste un câlin, pas anodin. Tu n'es pas coercitif, mais affectif. Peut-être un peu coquin, et malin. En moi tu cliffes, en toi je sniffe. Tu n'es pas là pour le butin, je ne suis pas une putain.
Amour sans tarif, sans suif. Renfermé dans les crins, préparant notre destin. Nous sommes émotifs avec un motif. Guère bénins, mais mutins. Il n'y a aucun sédatif qui atténue quelque chose d'aussi expressif. Tu n'es guère larbin, ni larcin. Mais excessif et disruptif.
Tu es du genre la personne que j'attendais inconsciemment. Tu n'es pas du style à sortir des choses cucul la praline, et à deux francs si saouls. Quand tu parles, tu ne fais pas de détours, c'est clair, net, et précis. Pas plus sincère que toi ça existe.
Car ce que j'éprouve, ce n'est pas quelques sentiments à la con, réitérés, des « je t'aime » comme on dirait « bonjour », des mots alignés pour simplement raconter un minimum de banalités. Ils me dissertent, me disent « certes », se concertent, s'alertent, s'allaitent et végètent.
Amour sans tarif, sans suif. Renfermé dans les crins, préparant notre destin. Nous sommes émotifs avec un motif. Guère bénins, mais mutins. Il n'y a aucun sédatif qui atténue quelque chose d'aussi expressif. Tu n'es guère larbin, ni larcin. Mais excessif et disruptif.
Tu es du genre la personne que j'attendais inconsciemment. Tu n'es pas du style à sortir des choses cucul la praline, et à deux francs si saouls. Quand tu parles, tu ne fais pas de détours, c'est clair, net, et précis. Pas plus sincère que toi ça existe.
Car ce que j'éprouve, ce n'est pas quelques sentiments à la con, réitérés, des « je t'aime » comme on dirait « bonjour », des mots alignés pour simplement raconter un minimum de banalités. Ils me dissertent, me disent « certes », se concertent, s'alertent, s'allaitent et végètent.
Du bist kaum meine leere, aber meine lehre.
Ich bin kaum wider, aber wieder.
In meinen Sorgen und meinen Krachen.
Ich bin kaum wider, aber wieder.
In meinen Sorgen und meinen Krachen.