You are two me.
Oh, miroir, miroir, dis-moi que tu es le plus beau.
Kaum Deut. Aber Deutsch.
Puis là le magne.
Mal-être.
Ma lettre.
T'erres à terre ? Pas tu ne m'indiffères.
Mais j'te préviens, c'est moi ou hell.
Tu n'es pas aux taupes, et hop.
Tu es mon message, guère mon pas sage.
Tu es, ni rectum, ni verseau.
Avec toi, ce n'est pas un coup d'pot, tu es ma peau.
Avec toi, je n'suis pas sans traits (tes*).
Entre ces derniers j'suis en train de m'exprimer.
Avec toi, c'est un « je » de « dès ».
Ce n'est pas selon les rumeurs et mon humeur.
J'suis vraiment un drôle de K.
J'mets la blague à mon « doit ».
Cosmique est cela.
J'suis ta cohérence / co-errance.
Il y en a qui s'en mêlent, mais nous on s'emmêle.
J'te préviens aussi, ces idiots méritent des claques sur leurs jougs.
Ils n'ont pas à t'commander, ni à vous commander d'la sorte.
Ils s'croient tout permis, c'tte conduite est méprisable.
Pfff... Je suis minet.
Tu n'es pas mon souillé.
Sinon j't'imagine dire « m'a bottée ma beauté ».
Mais moi j'vais t'dire: Vous pensez mes plaies, s'il vous plaît.
Je n'ai pas froid en toi. Ne me demande pas pourquoi.
Tu ne me fais pas qu'raquer ni qu'roquer.
L'esche pour appâter ? Certainement pas pour toi, hé.
Nous n'sommes pas co-mandants, alors on n'fera jamais la paix.
Tu n'me coches pas dans sept cases, tu restes sur d'bonnes bases.
Flâmes brûlantes, pas lentes, sans l'époux dans notre chevelure.
Qu'houle, l'alarme sur ma joue, tu ne pourras pas les teindre.
Tu ne t'es jamais venté, car ça, c'est un manque d'humilité.
Pour certains tu es un vanté, mais tu t'es inventé.
Par contre, tu m'as soufflé des émotions en une marée.
Et ça ne m'a pas fait marrer.
Soit, un jour je monterai sur l'acène. Sans thrène.
Soit, je n'rédige guère des sites à scions.
Je rédige mes sentences de couleur prose.
Vas-y, toi aussi, vas-y, si tu l'oses, virtuose.
Bref, j'ignore si le soir m'atteint.
M'enfin, c'est ainsi que l'écrit vint / vainc.