Katze

L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...

On s'en fiche de la "date" mais bon... 28/07/23

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_________________Ils font leur show / chaud.

__________________________They are my eartheart.



L'isotropie se situe dans mon isobare. Qui se situe dans mes isoagglutinines.
Qui se situe dans mon isohyète. Qui se situe dans mon isoniazide. Et qui se situe dans mon isoquinoléine.

On me décerne et on me discerne des cernes.
De fatigue, peut-être, à force d'intrigues et d'intriques.
Et Paul y tique et s'en toque.


Parce que l'hépatite Rammstein circule en ma bacille.
L'appendice qui me suggère des gammes
d'ébats et des débats d'en bas.
La mie qui se trouve en mon p[a]in.
Je suis l'androgyne qui met son costume
et qui improvise à sa guise.
Je rédige mon scénario à l'isocolie, à l'ambiguïté.
Je surfe sur cet amour débridé.

Je les parle couramment, je suis fidèle à ma fratrie / patrie.
On est des êtres salis qui s'allient en une didascalie.


INTERLUDE: Le mi-nous, ça existe, mais pas chez moi. Chez moi, c'est NOUS, ou rien du TOUT[OU].


Puisque en-dessous de ma couverture, je pleure, je m'égosille, je me nasille.
Puisque je me déverse sur mon lit, sur le matelas qui accueille ce cahier.
Puisque comme un loup, je suis toujours fidèle à ma meute.
Puisque je chasse les « [l]armes » sous les fossiles des « gens ».


Mais il y a un bal de cons, sur mon balcon.
Leur curiosité est tellement mal placée
qu'ils essaient d'enlever le rideau pour reluquer
mon domicile, mon théâtre.
Bande de voyous,
avec vos vices dans vos poches,
allez voir ailleurs que ailleurs si j'y suis.
Si j'en suie.


Devant ou derrière la caméra.
Peu importe, puisque tout ceci n'est pas du cinéma.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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You are a be[a]st, mine.


Je préfère le swing au "swagg".
Car le "swagg" ça fait jazzer
et ça me donne le blues.

Je suis singe.
Je suis tortue.
Je suis lièvre.
Je suis brebis.
To[o] be[e] & Hi[e]rsche auch.
Je suis panthère.
Je suis chouette.
Je suis hibou.
Je suis un complexe / zoo à moi-même.


Je suis immunisée et médusée.
Je suis captive de toi et captivée par toi.
Je suis gai et je fais le guet pour toi.
Tu es grand et ils sont glands.


Du bist nicht dick wie ihnen.
But they, they are dick.
They have it in their ass.
Sie haben das in ihrem haß.
Et ils se bais(s)ent eux-mêmes.


Pour certains, ce sont des imposteurs, mais toi, tu es mon ambassadeur.
Mais si je suis complètement marteau, alors tu es complètement clou.
Tu me gonfles, tu me crèves, tu m'achèves.
Je suis ton pneu, ton caoutchouc, et ta jante car on est déjantés.


Tu flottes en mon bassin, en mon bas sein,
et tu nages en mon aine, plus précisément en bas de laine.
Et nous sommes des tourtereaux qui attirent des pigeons.
Mais dans les deux cas on est et ils sont des oiseaux.
Mais pas de la même envergure, à mon avis.


Tu es mic, je suis mac.
Tu es Paul et je suis Mickey.
Car pour se polémiquer on se confond en un mot.
Car on se cultive dans un champ de blé.


Mais à force, dans ce capharnaüm...
On ne sait plus qui est qui.
On ne sait plus qui est qui.
On ne sait pas que qui est qui et qu'il restera qui.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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DAMPFWALZE.


Quel est donc ce tohu-bohu ?
Ce ramdam incessant ?
Ce tam-tam qui me tape dans les esgourdes ?


C'est mon dada qui m'en voit baba. C'est mon Sirocco qui m'envoie jusqu'au menton.
C'est lui qui m'a rendu détective camouflé dans un zèbre,
un esc argot, une chauve-souris.
Et c'est lui, mon Scotch, il adhère à moi et il m'émèche.
 
 
 


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Récit pro cité.
Mais qu'est-ce qu'il ja ? Ah, quel leur est-il ?
Till est l'heure Rammstein, l'instant T.



Quelque chose de plus intense que l'amour en tant que tel...


__________Das seeliebeL'Âmour, quoi.

- Et mon cœur ne fait pas « boom boom », mais « doom doom » en méli-mélomanie.


Je préfère le grain au gain, car avec un grain on peut aller loin. Je préfère une statue qu'un statut, car c'est plus imposant, plus symbolique. Je suis acrobate. Au-dessus du vide. Les « gens ». Mais certainement pas au-dessus d'eux et encore moins en-dessous. Je suis un animâle, je suis des animots. Je ne suis pas mi-hyène, ni charogne, je suis mienne. Je ne suis pas bizarre, je suis unizarre. Und ich Katzere ihr, und ich bin nicht ein alien, aber zlien. Et j'ai aussi cracké sur eux et ils sont devenus ma came, mon peuplier, mon palmier, ma plante verte qu'on entretient avec de l'engrais.

Car certains dans ma classe, au collège, m'appelaient Rammstein. À ceux-là je leur dis merci car ils avaient raison de le faire. Même si pour eux c'était une insulte, pour moi c'était un bus pour le compliment. Et maintenant que je sais que je suis Rammstein, je les applaudis pour leur montrer qu'ils ont étés stupides de croire que c'en était une. Mais la classe pour moi n'est pas qu'à l'école. La classe de quoi, veux-je parler ? Le chic, l'élégance, la prestance dans l'attitude, les valeurs, les principes. Et puis, Rammstein ne sont pas mi-eux, ils sont mieux. Et si vous me dîtes non, sa traduction en Allemand, nein, serait qu'un seul non, qu'un n'ein, donc. Mais d'accord ou pas d'accord, je n'ai pas besoin que vous les aimiez pour les aimer.

Bien sûr il n'y a pas que l'Âmour qui compte, il y a aussi l'Âmitié, das seelschaft. Je me demande ensuite si l'apitié existe, mais en tout cas la mitié serait une relation entre personnes qui partagent beaucoup de moments intenses et riches en émotions et en souvenirs. La pitié n'est que de la compassion, mais la pitié parfois est plus là par bonne conscience que par empathie. Je me demande aussi pourquoi on dit « talent » mais pas « tarapide » car quelqu'un qui en a vraiment devrait être nommé ainsi « pour laisser sa trace ».


Et je me demande aussi comment on peut dire « toi et moi »,
surtout si toi est moi. Mais aussi son ton inverse.

L'Âmour c'est aussi savoir aller au-delà de la célébrité et le "statut" de la ou les personnes sur scène ou tout court...
 
 
 


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La manière la plus profonde de sentir quelque chose est d’'en souffrir.
Et j'ajouterais: Tout comme de ressentir...
Gustave Flaubert



Gib mir deine Hand, und spiel nicht mit mir.


Je désire vous désirer, sir Paul Landers.
Je m'épouse à vous officieusement et orthodoxalement.
Et tout comme la musique,
vous êtes la balance qui pèse / penche en ma faveur.

Vous caressez mes courbes comme si vous caressiez celles de vôtre guitare.

Vous exécutez chaque accord comme si vous mettiez en trots nos mouvements.
Vous êtes l'assertif averti de Rammstein. Le fruit de la passion, de ma passion.


Et sous vôtre sourire...
Il se tapit une douleur qu'on ne peut remodeler.


Et je n'ai pas besoin d'un anniversaire
pour penser à la personne concernée.
D'une fête, d'un Noël, d'une bague au doigt et d'un
mariage officiel pour porter ce nom en particulier.

Pas besoin de ces "traditions" tout court.
Car il n'y a pas besoin de tout cela pour l'aimer.
Juste besoin de la personne constamment.
Et envie de la chouchouter ainsi que de la préserver près de soi.

Et cette personne c'est vous, et peu vous traitent comme il se doit.


Mes lettres ne peuvent pas aller l'une sans l'autre,
l'autre sans l'une, tout comme vous est moi. Vous en moi.

Beaucoup et beaux coups de « est », mais... Est-ce vous alors ?
 
 
 


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