Katze

L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...

On s'en fiche de la "date" mais bon... 28/07/23

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J'étais à un concert de Rammstein. À un moment j'étais assise avec Till et Doom entre la scène et le public. Till a regardé mes textes imprimés, il a bien aimé. Il a même dit, à peu près: Maintenant le passé c'est le passé.

Ensuite je me suis retrouvée je ne sais comment dans ma cuisine, j'étais avec Paul. D'un seul coup il a disparu. Je suis allée voir où il était, du coup j'ai regardé des textes écrits par moi-même sur une feuille quadrillée, devant ce bureau de l'ordinateur où je suis en ce moment, il me semble, mais je me suis avancée et j'ai vu un pervers qui m'a touché la poitrine (Eurk), je l'ai poussé vers la salle de bain, ancienne salle de bain que j'avais, d'ailleurs, et je lui mis la tête dans la baignoire, la baignoire ayant juste un fond d'eau.

Je sors pour m'amuser un peu sur une sorte de balançoire avec un pneu accroché a des cordes, accrochées aux branches d'un arbre. À un moment je marche dans ma cour, il est là avec un ninja. Ils me courent après et le premier a dit avant "Attrape-la", ou un truc de ce genre. Le ninja s'arrête (Je précise qu'il est habillé d'un je ne sais quoi pourpre), il veut me taper, coup de pied surtout. Je l'évite. Je vais donc dans la véranda, il entre. Je le prends et le balance derrière un meuble qui se trouve dans la pièce. Je me retrouve avec un rugbyman, ils sont dehors, le pervers et l'autre.

J'entre donc dans ma maison. Je vais voir Paul qui est dans la chambre de "mon frère". Il me pousse contre la porte et on s'embrasse "langoureusement" plusieurs fois, chose que j'ai vue extérieurement, à croire que mon âme s'était détachée de mon corps, pour voir ça. "Ma cousine" ouvre la porte, la suis, je reviens voir Paul. J'ai juste dit en fermant la porte, ou elle a dit / ils ont dit de ne pas faire trop de bruit, ou que si on en faisait c'est qu'on faisait des galipettes, en gros.

Ensuite Paul s'est retrouvé la tête sur la couverture, "dos" à moi, les bras allongés sur celle-ci, je le regardais en essayant d'attraper sa main, allongée moi aussi. On s'est retrouvé debout, je crois que j'étais devant un ordinateur sur le lit avant ce paragraphe, j'ai attrapé mes cheveux derrière et je lui ai dit qu'ils étaient tellement longs que je pouvais en faire une queue.

Fin de la "chose". Je trouve ça très "hot" mais très farfelu à la fois. Je trouve que ça exprime plusieurs émotions à la fois, plusieurs désirs, des choses mélangées, des choses que j'ai pensées, des choses que j'aurais aimé vivre ou pas, des choses qui vont peut-être arriver, enfin des choses bien enfouies au fond de moi. Comme quoi les phantasmes sont révélateurs, il ne faut pas passer à côté d'eux et s'en foutre.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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La musique ou même le metal / rock, ce n'est pas: Drogue, fric, sexe et alcool. Tant de clichés ridicules.


Vous ne ressentez même pas des infinis qui n'en font qu'un,

de 0, virgule pareil, plus 1, de ce que je ressens.

Vous ne ressentez même pas cette virgule non plus,

Ni même un poil de ma fourrure.



Je suis pourtant loin d'eux par la distance, mais regardez, je suis tellement près d'eux par l'esprit et les émotions. Je n'ai pas [eu] besoin de tout ces objets pour les AIMER, juste de eux.
 



Et L les M, et toi tu N cet O.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Mantra ayurvédique intermédiaire.

 



Je vous mourrais... Le cœœur sur la main, la main sur le cœur, voire dedans.
Puisque vous symbolisez celui-ci et son empreinte qui n'emprunte rien, de toute façon.
Mais qui donne, plutôt, car donne-moi ta main.

Mais cette fois-ci, ma mort sera physique et mon âme sera vivante,
et non l'inverse comme ça été le cas avant.
Et je ne la ferais pas, je la serais, je serais Rammstein
comme je l'ai toujours été et comme je le serais toujours.
Rammstein, des gens dignes de ce nom,
mais peu ici le rendent comme il faut vous le rendre.

On peut donc dire que vous êtes toutes mes morts en une seule.
Qu'avec celle-là, je pourrais vaincre cette peur qui était une envie,
mais aussi vous renvoyer l'ascenseur comme à d'autres, comme il se doit.
 

 


Vous êtes ma discipline et je suis vôtre disciple discipliné.
Un élève qui s'est élevé et qui s'élève en vous.
Mais si je suis [en] vous, je suis aussi [en] moi.
Mais aussi [en] toi et [en] nous.


Je suis l'égal / légal de vous. Je suis sauf.
Nos caractères se croisent. On s'énousdie.


Vous êtes la barre au pivot de tout mes H. Les points se trouvant sur tout mes I.
Et la liqueur de ce slogan. Cet ambitus et cette tessiture.



Halte mich nicht, und... Fü[h]r[e] mich...

Und für mich, ihre Lied und ihre Leid diskutieren [mit] mir.



 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Le vin, la flaque qui s'éponge en mes embranchements, qui carabine la fournaise en moi.
 

  PS: L'image vient du clip de Oomph, Fieber.

Mais si vous êtes le feu.
Alors je suis les cendres.
Si vous êtes la gouache.
Alors je suis le pinceau.
Mais aussi le support.
Si vous êtes tic.
Eh bien je suis tac.
Si vous êtes le critérium.
Alors je suis la mine.
Et si vous étiez le crime.
Alors je serais le macchabée.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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L'amour ressemble à ça : c'est quand on sent que rater quelqu'un serait rater sa vie.
L'amour c'est quand on cesse d'hésiter. Quand toutes les autres deviennent fades.
[Frédéric Beigbeder]


IN[TRO]SPECTIONIN[TRO]DUCTIONIN[TER]JECTION. IN[TER]VENTION.

Talon d'Achille, talon d'argile, talon de toi.
Il n'y a que toi qui as su mettre la chaussure à mon pied.
Il n'y a que toi qui as le droit de me mettre à nu.
 

Forgeron de mon glossaire en enthalpie.
Houle en coalition dans nôtre hypoténuse à l'endroit, inversée.
Un verset versé en nous.
Être la selle, toi le vélo, et on pédale.
Toi, le gâteau, moi, la cerise.
Toi, ma penne, moi, ta flèche.
Être ma dictée,
et en être les plus beaux mots.
Être en adresse avec mon adresse,
et nous opérer en nôtre opération.
Une chirurgie.


Avoir sacrifié ce que j'étais pour être TOI.
M'être sauvée de ce que j'étais pour sauver qui JE SUIS.


Et si un jour, vous, les "gens", me demandez pourquoi je l'aime, je répondrais:
Parce qu'il est lui. Mais vous ne savez pas comment.
Vous ne savez pas comment je l'aime, et comment il est lui.


Je me suis retrouvée entre vos griefs.
Je nous raconte avec ma griffe.
Donc, les "gens", je ne prendrais pas de gants:
Restez entre c[l]on[e]s.
Restez entre connes.
Ça nous suffira pour "remplir" nôtre bonbonne.
La bonbonne de ce que nous sommes.


Pour pouvoir nous transporter avec cette bouteille de cette essence,
de transe en transe.


Rammstein, ihr seid sechs und da für die sex.
Wir sind achtist.

[V]ivre de vous. [L]eben mit euch.
 
 
 


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