Katze

L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...

On s'en fiche de la "date" mais bon... 14/07/23

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Instinctif.
 



Vous êtes des passagers immigrés clandestins. Étrangers, avec une barque, débarquant de nulle part. D'un lieu inconnu, comme vous. Atterrir ici, pour retrouver la rigueur que vous n'avez pas. Être vigoureux, pour nous détruire. Nous, sommes des émigrés possédés, pas matériel. Mis sous la pression d'être à votre place. Parce qu'on dissimule, on cache. Mais un jour nous dirons tout, de tout l'alphabet, au dictionnaire. Entièrement. Là, ce ne sera plus intime.

Vous voulez tout savoir ? Vraiment ?

Je dis ça, parce que:
Ça fait mal de savoir la vérité.
Mais quand on la sait.
Rien ne semble nous échapper.

On y échappera pas.
Mais ce sera vous en premier.
La cause, est votre curiosité.
Nous, grâce à notre bonté.

Nous sommes un étandard. Et des phares.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Quand j'les écoute, c'est un peu comme les clopes, plus j'en consomme, plus j'suis accro...


Des gens me prennent pour un carton, un sucre, ou un ustensile. Je suis découpée, tranchée, traînée, écrasée, cuisinée, et tout ce que vous voulez. Ce n'est pas joyeux je le sais, moi ça m'angoisse, le mal qu'ils me font, cette incompréhension, le fait qu'ils m'enfoncent. Si je n'avais pas tout ces problèmes, je serais heureuse. Je l'ai cette vie, mais on me lance des briques. Parce que je suis le vilain petit canard, l'animal mis à part, la profitée, la manipulée, l'accusée, la faussée. Ça, je n'aime pas du tout, parce que je ne suis pas un monstre. Parce que je n'ai jamais mangé qui que ce soit, c'est plutôt le contraire. Alors pourquoi me fait-on ça ? Par pure jalousie. Ou plus par haine. La haine de quoi ? De ne pas pouvoir me faire comme vous ? C'est ça quand on est rien. En fait je sais pourquoi: Car je les aime, d'un amour titanesque. Le pire, c'est que pour ça je n'ai même pas besoin de l'évaluer, parce que ce que je ressens, c'est géant. Les ? Rammstein, mon équilibre.

Sauf que la comédienne n'a pas besoin qu'on lui lance des tomates, parce qu'elle ne joue pas un rôle, je ne suis pas une cassette qu'on rembobine. Ma vie ce n'est pas un film, même si ça n'en ai pas un, ce n'est pas vous l'acteur, c'est moi. Vous m'embobinez, mais je ne suis pas quelqu'un qu'on enroule pour mieux le fausser. Je ne suis pas un fossé, c'est dans votre crâne qu'il y en a un. Tout ça parce que vous êtes même pas capable de bâtir votre propre palais et d'être quelqu'un d'extraordinaire.

C'est quoi être normal ? Être un mouton et faire comme les autres ? Être hypocrite, ou débile ? Écouter ce qu'écoute le reste ? Penser comme eux ? Prendre des personnes biens pour des déchets ? Ce n'est pas du tout ça, c'est avoir une conscience, c'est être soi-même, c'est être franc, être honnête dans ses mots, et pas juste connecté en wi-fi avec quelqu'un. C'est garantir la sécurité de notre secret, pour préserver ce nous, qu'on a bâti. Nous sommes une ferveur, nous n'avons pas été orientés vers une autre. Pourquoi ? Car la seule qui s'affiche, est celle que nous avons édifiée. Nous sommes dingues et tangibles par l'éloignement, raccordés par l'écart qui nous disperse. Imprégnés.

Tant de questions, tant d'affirmations...

Imaginez un bâton d'encens. Vous imaginez bien ? Parce que c'est moi, parce que vous me regarder me consumer.
 
 
 
 


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La violence n'est pas un argument. C'est un leurre.

Ma seule carence est de ne pas en avoir.

Si je les aime ? Bien sûr que oui. Mais avec les événements, et tout ce qu'on me dit, ou fait, je doute. Je doute encore, parce qu'on essaie toujours de me dissuader d'eux. Ça fera plaisir à certains de me voir dans cet état-là. Mais moi ce qui me plaît, c'est de voir que les gens croient dur comme du mortier, que mes textes sont une blague, et que je sois cintrée jusqu'au bout. Ils se croient bon de désentortiller les fibres qui nous sanglent. Oui, j'ai dis nous. Car nous ne sommes pas des verbes, ou des déterminants qui conjuguent. Nous sommes des ions cloqués, qui se conjuguent majestueusement. Nous sommes les globules de notre propre squelette. Nous ne sommes pas identiques au pareil, et nous ne nous identifions pas non plus. On est distinct, et fusibles massifs.

Quand tu es personne, tu devines. Quand tu es quelqu'un, tu sais.


Till est harmonie.
Richard est sérénité et nature.
Paul est soleil.
Oliver est la vie.
Doom est l'esprit de communauté.
Flake est la guérison et la santé.

Je sais, car je suis. Bien des gens parlent pour dire beaucoup, mais ne savent pas les détails. Beaucoup cachent, mais connaissent trop. C'est être égoïste, et s'en fiche de ce que peut bien chérir la personne à qui tu parles. C'est surtout ne pas savoir aimer, et tolérer l'autre, donc, ne pas se tolérer soi-même. Je dirais que les gens regrettent, que quand ils assument pas et ont honte. Mais d'une autre manière, si il y en a qui ne regrettent pas, c'est qu'ils sont trop occupés par leur insensibilité et leur non-sens.


Être, ou vouloir être le meilleur, ne signifie pas être naturel.

On apprend quand on connaît. On connaît quand on apprend.
On reconnaît que en réapprenant, cet amour devient très large et de plus en plus sans mesure.


“ Un amour éclectique, est un amour qui n'est pas en circuit. ”
- Un amour pioché, est un amour qui retourne à la case départ. Un amour inopiné, est un amour pulpeux. Un amour qui berne, est un amour factice.

Un amour de titane, résistant, léger, mais si vif à la fois.
Inoxydable, et vaste.
 
 
Méthode Rammstein, la façon dont nous sommes.
 
 
 


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La volupté n'est pas une craie qu'on lisse sur un tableau.C'est une coiffure qu'on brosse.

 

 

 

 

 

 


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N'avoir que pour enclume, un mât.

 

 

Un amour œcuménique.
Non mécanique.
Une jonction, une alchimie, et une synthèse forgée.
Rien est mathématique ni scientifique.

Wir sind die Firmament.

Je n'ai pas envie d'battre tout les records.
Je n'ai pas envie d'impressionner, mais d'toucher les personnes avec mes mots et mon amour.
Je n'ai pas envie d'compter sur l'nombre et la somme, mais plutôt sur la valeur et les sentiments qu'j'y met.
Je n'ai pas envie d'faire tapisserie dans la foule, j'ai envie d'êt' celle qu'on voit.
J'veux juste qu'ces gens les aiment pour c'qu'ils sont, et non pas pour l'spectacle qu'ils font.
J'veux juste qu'ces gens leur doivent tout, j'veux pas qu'ces gens profitent d'leur bonté.

Je n'veux pas d'ça moi, j'veux juste qu'vous soyez solidaires et non pas vexants.
Je n'veux pas d'une fable moi, j'veux qu'ce soit pour les champs qui nous attendent et qui s'impatientent.

Alors j'mettrai mon grain de sel, j'mettrai les plaines et les collines, j'mettrai ma fertilité, pour qu'ce soit la plus belle chronologie qui n'a jamais été présente.
Alors j'vous d'mand'rez simplement d'arrêter d'vous plaindre, vous êtes pas pauvres.
Moi j'ne me plains pas, j'dis qui j'aime, honnêt'ment et franch'ment.
Si j'dis que c'est l'plus important, c'pas des maximes, c'pas un rôle ni du théâtre.

Alors, réfléchissez, réagissez, dîtes, mais n'me faîtes pas passer pour quelqu'un de bestial.
J'sais qu'il y a pire, j'sais qu'il y a mieux, j'sais qu'il n'y a pas qu'moi qui ai des soucis, mais moi j'n'exagère pas, je n'suis pas obligée d'les aimer.
Si j'les aime c'est parce que j'pourrai aligner un amas de phrases les unes sur les autres, ce n's'ra jamais la fin, parce que c'est nous qui en déciderons.

Faîtes c'que vous voulez en fait, mais n'copiez pas sur moi, n'soyez pas un scan, soyez originaux.
Et osez être adulte.
 
 


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