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Qu'est-ce que l'écriture ? Sinon une porte qui mène jusqu'à des lieux inexplorés de notre esprit.
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Qu'est-ce que l'écriture ? Sinon une porte qui mène jusqu'à des lieux inexplorés de notre esprit.
DES CHIFFRES 29-06-2023
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Vef Blog accueilOn s'en fiche de la "date" mais bon... 16/07/23
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C É C I T É ?
Je prends du kérosène dans ce liquide, parce que mon amour est comme vous:
Fait de titane, s'aspergeant en vous jusqu'au squelette.
De bornes à ampères, d'embargo à métronome titanesque:
Nous sommes faits d'acier, virginaux, de la même postérité.
Et de vous à moi:
La seule marque qui nous démarque, c'est nôtre disproportion.
Car on rayonne d'uranium...
Fait de titane, s'aspergeant en vous jusqu'au squelette.
De bornes à ampères, d'embargo à métronome titanesque:
Nous sommes faits d'acier, virginaux, de la même postérité.
Et de vous à moi:
La seule marque qui nous démarque, c'est nôtre disproportion.
Car on rayonne d'uranium...
On s'en fiche de la "date" mais bon... 16/07/23
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C'est lui ma nébulosité.
Mon hélianthe.
Ma nova.
Mon firmament.
Mon cataclysme.
Mon hémoglobine.
C'est Paul Landers.
Mon hélianthe.
Ma nova.
Mon firmament.
Mon cataclysme.
Mon hémoglobine.
C'est Paul Landers.
Un globe cylindrique fait de mercure qui torpille dans mon plasma dépravé.
Une piqûre de l'arbalète au piston, exsudative. C'est Rammstein.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 16/07/23
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« Je t'aime comme on ne t'a jamais aimé(e). »
► Cette tranche de Canson restée sur le chevet après m'être ouvert(e) à toi.
► Cette tranche de Canson restée sur le chevet après m'être ouvert(e) à toi.
¶ Nous sommes allongés sur le matelas découvert, la radio allumée, la fenêtre en oscillo-battant, les rideaux pirouettant. Assise sur le bord du lit après m'être relevée, avec du tabac à mes pieds, je me dis que nous avons passé nôtre après-midi à la narguer. Tu me fais basculer en arrière et me retrouve sur ton torse nu, je porte un soutien-gorge. T'embrassant langoureusement, je pose ma tête sur ton thorax, admirant le plafond aussi blafard que nôtre teint. Tu es proche de mon cœur qui s'emballe, une sorte de crise cardiaque, de malaise. Ma poitrine décolle en une secousse, du plomb sort de mon intérieur, une énergie puissante comme Saturne, élastique comme nous deux. Le tien peut être un fusil, bien que l'abîme de nos accoudoirs est criblé de sillages. Sur le sol se trouve quelques tiges si fines, une cuillère avec un briquet, et de la liqueur se répand, qui, quelques heures plus tôt se filtraient dans nos tubes globuleux, laissant la came y couler dedans. Nôtre tégument englué dans une cosse, s'étreignant, on digère cet électuaire, assommant.
Ce repas fût agréable.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 16/07/23
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Ist Pluton.
_____[/v]- Je dors avec une dague.
Nous sommes une ligue plutonique du plutonisme, au plutonium.
On se nourrit de nôtre placenta qui est aussi un bouclier bouclé autour de nôtre réincarnation, une mutation.
“ Je n'ai aucun nombril sur le ventre ”
Ni d'orgueil. De les avoir depuis le début, depuis le milieu, depuis la fin. La fin ? Il n'y en aura pas. Je me regarde dans un psyché dans mon bain, un bain de mousse avec ce sextuor qui m'accompagne depuis une immobilité avec ce qu'ils font et sont, voire plusieurs qui n'en fait qu'une recluse et saugrenue, comme eux, comme moi... Je rince délicatement mes pleurs et mes balafres, pour ne laver que mes rictus et mon nirvana: Rammstein.
“ Je n'avais aucun repli pour m'abriter ”
Je m'entoure d'un peignoir, toujours accompagnée de leurs do ré mi fa sol la si qui cognent sur mes tympans, qui fait vibrer mes membres et mes organes. J'essuie les gouttes qui perlent sur mon front, ça bouillonne en moi alors que pourtant j'ai froid. Si froid... Je prends un rasoir qui est dans le tiroir à côté du lavabo, cela fait la énième fois depuis des mois. Le fer skie sur mon épiderme, pour laisser le rouge faire une saucée sur celui-ci.
Une putain de syncope démentielle...
Fouillant dans la boîte à pharmacie pour prendre des comprimés, et les avaler pour éviter l'angoisse impérissable, un traitement qui n'a jamais fonctionné.
Ce qui fonctionne, c'est la relation limpide et fusionnelle que j'ai avec Rammstein.
“ Même si je dois en mourir, Maman... ”
On s'en fiche de la "date" mais bon... 16/07/23
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Épousons-nous une seconde fois.
______Cocktail molotov adhéré et déchiqueté comme...
___________________Du quartz ébréché.
_____________________-Une bactérie grumelée.
_____________________-__-Une association.
Il y en a qui se persuadent que le gouffre n'est qu'un caprice.
Ou un moule, qu'il n'est que périphérique, et le produit, un sujet, ou un tissu.
Ou un moule, qu'il n'est que périphérique, et le produit, un sujet, ou un tissu.
Que je vais trouver le mec épatant pour la gaieté de mon foyer, que je considère comme des citoyens sans trempe et envergure. Mais ils ne savent pas à combien de degrés je crève pour eux, que je les aime et que ce sera constamment. Mais je préfère me taire et me dire qu'ils me sont réservés, et que je ne les déplore pas. On me dira que ce sont des célébrités parmi d'autres, mais pour moi il y a beau avoir sept merveilles dans le monde, la mienne restera Rammstein.
Tributaires, autonomes, aussi sacrément doués, et avant tout, mes cinq frères, puis mon époux...
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