Katze

L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...

On s'en fiche de la "date" mais bon... 06/07/23

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~ Allez-y, démolissez-moi, et je me lèverai du sol comme un gratte-ciel.
 

 

On m'a sous-estimée, mais ça ne m'a jamais ralentie. 

 

On m'a toujours considérée comme quelqu'un sans abri, qui se plaint tout les jours. Sachez que le seuil du fanatisme je l'ai passé depuis longtemps, et c'est ça qui me rend si vulnérable, 

car vous voulez me les retirer, même malencontreusement. 

Même par accident, même si je sais qu'on nmles enlèverjamais, car c'est difficile. 

Je n'y songe même pas moi-me, alors que certains gens, si. 

Mais regardez, je suis encore deboumalg vos tentatives pour me laisser une marque de vos remarques 

au creux du puits de mes pleurs. J'ai la capacité de mutiler mes idées. 

 

Peu à peu elles terminent en train de se tailler de leur propre gré. Et ellefinissent par saigneà torrent.

 

Et que ces mots soient gravés dans la pierre.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
On s'en fiche de la "date" mais bon... 06/07/23

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~ J'ai l'cœur en vrac, et si je dérape c'est parce que t'es parti aussi vite que t'es arrivé. Et tu t'en es allé avec un bout de moi. Maintenant, tout ce qu'il me reste, c'est juste une photo de toi.
 



__Tu connais les coups de foudre ? [...•••Eh bien moi c'est pire que ça. Tu vois, c'est le genre de truc si fort que personne ne le remarque, ne le sait, ne le croit, et ne le comprend. C'est si fort qu'on pourrait dire que c'est un conte de fées, alors que ce n'est pas le cas. Tu sais, je t'épouserais bien tout les jours pour te prouver que je t'aime jusqu'à l'apogée. Enfin, je sais, ce n'est peut-être pas ça, ni mes vidéos, ni mes textes, ni même mon tatouage qui le prouvent. Mais il y en a pas dix qui feraient ça pour toi, acceptes-le. Et tu te rappelles de cette première phrase, si jolie. De ces mots si bien reproduits. De ces lettres et leur contour au parfum si acide. Souviens-toi en juste. Car si je n'ai plus quoi que ce soit à te dire, ce sera la seule chose que tu pourras retenir:

« J'ai comme été foudroyée par ton regard et ton sourire. Maintenant mon cœœur est enchaîné au tien. Il pourrait flamber. Je ne sentirais rien tellement je t'aime »__

 

J'espère qu'on se croisera au coin d'une ruelle pendant une durée qu'on ne saurait déterminer.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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~ Sur ma route...
 

 

« Sur ma route, j'ai déjà dérapé, mais malgré que tu m'aies retenue, j'aimerais que tu filtres un peu de ton effervescence, 

 pour que tu allumes cette minuscule flammèchqui me maintiendra de nouveau en vie. 

Tu pourras être sûr que je prendrai soin de toi comme une pépite »

 

 

 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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♡ Mon antidote, ma potion, mes doubles ♡

ˆ ˜ ˘ Un collectif ☇Un motif = Le leur ˆ ˜ ˘

« Tu vois ces gens sur cette toile ? Bah c'est un bijou, et c'est Rammstein »

 


 
« Comme une écume qui se fane. Voiflou. Comme une balade nocturne. 

Être voué à l'échec, et se broyer comme un glacier. 

Être torturé, et se laisser aller. 

Quand vos instruments m'étourdissent, quand vos partitions m'abasourdissent. 

Quand chaque vers de vos paroles m'ébahissent, quand vos décibels m'accaparent. 

Ils jaillissent et pétillent tel un améthyste dans mes vaisseaux sanguin jusqu'au bout, 

et il fait jour dans ma mémoire. 

J'avance à la même cadence que votre foulée. Je n'ai pas envie que vous ayez pitié de moi. 

 Je ne vous sors jamais le même refrain, de peur que 

vous assimiliez les mêmes choses, et que à la longue, vous les délaissiez »


_________________________• Je garde de vous ce qu'il y a de meilleur. •




___________________________________« Oh des astronautes ! Je me demande bien qui ça peut être... »


__________• Et ils se disaient quelques fois, que c'était une passade, et que ça ne durerait pas.•

 

Notre danse fut un miracle.
Sensuelle et fervente, en symbiose.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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~ Enfants sages -ou presque-. Structurer une vie -ou presque-. Ou pas, en fait.
 

 
 Des gens pensent que votre passé ne vous rend pas triste. Avec ça, avec tout ce que vous avez vécu, vous avez réussi à nous montrer votre douleur. Nous nous reconnaissons dans vos chansons. Certains seront fans, d'autres un peu plus, d'autres beaucoup, et d'autre à un point d'en souffrir. Moi je fais partie de ceux-là, qui me maintiennent, et me maintiendra en vie jusqu'à temps que vous partez. On partira avec vous, on vous suivra, puisque vous guidez nos pas.

C'est malheureux à dire, mais même si notre vie nous réserve bien des choses par la suite, on ne peut pas s'empêcher de penser: « Ils m'ont aidé(e), ils m'ont peut-être détruit(e), mais ils m'ont sauvé(e), alors je leur doit une bien fière chandelle » C'est pareil pour vous, envers nous, j'imagine. Et c'est pas donné à tout le monde de pouvoir compter sur des personnes comme vous, alors que vous avez mal, même plus que nous encore.

Oui, là c'est la même chose pour nous aussi...

Puis chacun a sa douleur (ou son bien) merde, et si on la supporte que comme ça, en faisant ça, eh bien on a raison tiens. Oui, chacun a sa douleur et chacun l'apprivoise, et ça se dit, à notre façon... Il faudrait être dans un lit d'hôpital, pour que des personnes disent: « Merde, il/elle va mal » Mais il serait trop tard, je crois...

Nos textes et nos gestes sont le reflet de notre bonheur/malheur.
 
 
 


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