On m'a toujours considérée comme quelqu'un sans abri, qui se plaint tout les jours. Sachez que le seuil du fanatisme je l'ai dépassé depuis longtemps, et c'est ça qui me rend si vulnérable,
car vous voulez me les retirer, même malencontreusement.
Même par accident, même si je sais qu'on ne me les enlèvera jamais, car c'est difficile.
Je n'y songe même pas moi-même, alors que certains gens, si.
Mais regardez, je suis encore debout malgré vos tentatives pour me laisser une marque de vos remarques
au creux du puits de mes pleurs. J'ai la capacité de mutiler mes idées.