Katze

On trouve notre vocation en empruntant plusieurs chemins, pas en suivant une voie toute tracée.

On s'en fiche de la "date" mais bon... 03/08/23

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En 8GB.

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Dieses Bhoch Dell !
INRI.
I am st one... ab (L)CD !
Ich esse ein eis in Kerosin, und ich mache die Zehn these.







Fantôme de l'oubli, insipide comme le vent.
Je survole les villes.
Personne ne m'aperçoit, ni ne m'entend.

J'ai poussé quelques cris dissipés dans le ciel.
J'ai même pensé à m'enfuir.
Mais qui verrait que je manque à l'appel ?


[Vegastar - L'ombre de nos vies]


Ce que nous avions ? Nullement des jouets.
Ce que nous étions les uns pour les autres ? Nullement des camarades, mais des frères.
Qui se sont vus partir en quelques secondes lors de la collision.
Qui n'ont jamais oublié ce moment. Marqués. Pas épargnés, c'est certain.
Avec Aljoscha Rompe, certainement pas « une bande de copains ».
Certainement pas à qui on dit bonjour au coin de la rue en repartant chacun de son côté.
- Tu comptes rester combien de temps, à Berlin ?
- Je repars début Septembre.
- Et comment tu vas faire pour ton Paul ?
- Garder contact.
- Si tu l'aimes vraiment, restes. Je te le dis tout de suite, quand tu retourneras chez toi, tu vas te détruire, et tes Rammstein aussi. Vous êtes faits l'un pour l'autre, malgré les filles qui lui tournent autour.
Continues, ne lâche pas cette fusée, ni les astronautes qui s'y tiennent, tu as de l'instinct, et tu es attendrissante, continues ainsi, Madame.

Celui qui vous a enluminés, Gert Hof.
- Et qui se multiplient pour se diviser. Une belle mathématique, en somme.
Cette saloperie de maladie.
C'est la mort qui aurait dû avoir le cancer.
Décédé trois ans moins un jour avant celui de ce chat prénommé Vanille, décédé d'une pneumonie.
Ce père...
Du bist nur nicht mein Vater.
Das, das ist sicher.
Aber auch meine Götter.
Für dich, ich denke wie ein Außerirdischer.

Décédé un an et vingt jour avant le chanteur de Feeling B, d'une tumeur.
Mais pas que chanteur.



Une chose est sûre, je n'oublierai jamais ! [Sébastien Weiss]

Moi aussi, moi aussi...

Pourquoi ce sont toujours les personnes à qui nous tenons le plus, qui s'étouffent en premier ?
Des hommes ?
Qui sont sûrement les seuls à être au courant de nos colères, de nos jubilations. À être notre pilier.
À qui l'on se confie sans faire de détours, qui nous soutiennent.
Quand tu regardes cette photo de lui, d'eux, encore vivant(s)...
Tu te remémores de ces moments passés en sa, en leur présence, pour ne pas perdre les pédales.
Pédales qui t'aident à avancer malgré le chagrin, le deuil.

Ce que je raconte ici ne sont pas des petits problèmes quotidiens que tout le monde peut avoir. Ça n'a jamais été des petits problèmes quotidiens dont je me plaindrais pour me consoler.

Ce sont ces gens qui ont vu, vécu cette catastrophe qui méritent de reposer en paix, de savoir la vérité, ou des pistes, à propos de cet événement, pour enfin poser des mots sur leur affliction, leur amertume, qui est la mienne également. Pour certains, vous ne vous fatiguez guère à faire ces recherches, ces liens. Mais chacun a au moins un rôle. Car vous n'êtes pas ici pour les mêmes raisons que moi.





Wenn gehen dort ist wie dorthin zurückzukehren.
Z U S A M M E N.

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Auswendig.

In this mindfuck, you're my brainbow.
Each of my cells, is my hurt, arrow.
Who makes me sails for navigate on your sorrow.
Now.

Hume l'embrun & son pare-fin horriblement magnifique, comme le nôtre que nous eûmes. Ce sont ses vagues qui s'amoncèlent, sur ma rive. Et combien de fois me suis-je remise dans leur bain, en apnée ? Lui, ma croisière à lui seul, parce qu'il me fait tanguer. Cet héros tique sans travestir mes mœurs. Toi, oui, toi, tu fais valdinguer mes nuits à coups d'insomnies, à coups de sensualités, t'imaginant en train de me masser partout comme moi aussi à ton attention, de reluquer mes fesses ressemblant à ce ω, ce trois couché. Ce trois comme toi. Non drapée, dessous ta couverture, où je ne me chambre, mais où tu me cambres. L'orage grondant au-dessus de nous. Comme un coup de fou(dre), comme Zeus. Pour ma part, le petit faible pour ce grand fort -puis fiable, mais guère friable- que tu es, je l'ai eu depuis des lustres. La Justice te fait balancer pour elle, le glaive brandissant. Mein art der acht zu machen. Je ne fais guère fi de toi, mais phi. J'ai mis le zéro à l'horizontal, puis je l'ai tordu. Ta résolution en moi imprimée. Ça ne serait pas paisible, mais pénible, de te tronquer pour te faire trinquer. Non antis « tes ». Nous sommes des êtres qui se crient, se créent. Précis, mais pas pressés. Je cueille tes grappes que je savoure délicieusement, mon trèfle à quatre feuilles. Enrobé en mon physalis, lubrifié. Bribe léchée. Sécrétion non avenante. Tu me prends le bec, tu t'envoles. Mon ode, mon exode, je cherche ta bouche comme je chercherais de l'O2, à m'abreuver de ton cyanure dont je suis éprise, comme nous deux. On s'amalgame. Englués avec du LaTeX. Transie, mais pas tant pis... Alors, tant mieux. Notre bombe à retardement, comme la zone radioactive de Tchernobyl. Lune de miel sous l'écume, sans avoir besoin de déguiser ni d'aiguiser ta faucille, ou, comme Cérès, de la renverser. Parce que, ayant laissé tomber l'ecdysis, tu plantes ta couleuvre là où mon brin d'herbe est dru, lors de ma rosée. Ambiants, en biais.

C'était toi qui voulais m'emmener quelque part, dehors, entourés de haies, d'arbres, et la pelouse. On se touchait comme jamais qui que ce soit ne s'était touché. Comme si l'autre était devenu la huitième merveille. Je t'indiquais où aller, et nos paroles n'étaient plus que des soupirs d'aise, nos baisers en ventouses. On ondulait, en apesanteur. Imperturbables. Désinhibés. Tu te dirigeais vers mon clitoris pour te désaltérer de ma cyprine, telle une potion magique qui nous rendait encore plus dingues. Tu me la faisais partager. Ta souche cognant contre mon terrier, qui ne demandait qu'à s'y faufiler.

Tu m'allongeais dans le gazon, « je vais te faire et être l'Amour comme jamais », tu entrais, tu sortais, moi palpant tes testicules. Je dégoulinais. On dégoulinait. Chacune de nos pores se réclamaient. Chacune de nos pores en otage par ce contact si fiévreux. On se serait crus dans un désert tant la chaleur était suffocante, mais aussi par les personnes qui étaient absentes. On percevait nos bruits humides, on se frottait comme pas permis, enserrés. Notre sueur était comme une colle extra forte qui nous empêtrait, ton menton proche de mes oreilles, ta bouche qui sortait toutes sortes de tonalités.

« Tu le fais comme un dieu », que je te complimentais.

Tu poussais davantage ton bâton contre ma paroi mouillée. Je gémissais, et même dans l'ombre, je pouvais apercevoir tes joues empourprées, ton front luisant. On se serait crus dans un désert tant la chaleur était omniprésente, ton volcan entrerait en éruption après une pérennité. Puis, en une sérénade, tu m'emmènerais devant ton... Nos « tels ».

Parce que nous allons de nous-mêmes.
 
 
 


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Je m'enchevêtre comme un filigrane, lors de mes réminiscences vespérales. Je fais des diacritiques non apophéniques, mais infrangibles telles un permafrost, édifiantes, avec OSIris, des compilations de tumultes assumées, assurées. Elles rebondissent, jonglent. Plutôt bancales, mais en équilibre, que banales, puis déstabilisées. Avec vous, j'ai trouvé mon milieu, alors que je suis excentrique par mes spécialités. Puis ces effets que vous produisez en moi, sont, certes, déroutants, mais pourtant, ils me désignent le chemin à poursuivre. Vous m'êtes appropriés, intégrés. Seeks in me.

Gangstars, satisfashion.

Je me suis incinérée lors de ma RECre(m)ation, donc enrubannée dans un film de cliquetis, se privant de moult discrépances. Électricité aucunement stati(sti)que, ne contenant nulle amiante. Qu'rhème en abondance. Je contemple maintenant mes haglures. J'ai des alluvions dans mon urubézie. Et tes céruléens, tes quasars, oh, ces « en »... Ne m'aseptisent. Mais me chatoient, me chatouillent les narines. Je te fais une fricassée de fricatives, sans invectives. Toi, le d'araignée, w(e)ave in my tree. Éblouissant comme Hypérion, Éos. Mon egezoa flambe davantage que le noyau du Soleil. 88 888 888 °C. Mon eqceba se plonge, se prolonge en mon ennéade.

Ai-je rencontré Sylvestre ? Felix ?
Je m'appelle Épiphanie.

Unzinn.
 
 
 


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Vous étiez mon tombeau.
Je suis sortie de la caverne.

Il n'y a rien d'autre de plus intime que l'âme, c'est autre chose que de simplement dormir dans le même lit et de se trouver sous le même toit depuis des années (ça, tout le monde peut le faire quand il en a les moyens), ça ne veut pas dire se connaître par cœur. Vous qui n'êtes seulement confrontées qu'à "l'idée" que vous vous êtes faite d'eux, sans vous demander qui ils peuvent bien être concrètement. Les aimer, ce qui m'est impossible de faire autrement qu'en étant moi-même, comme pour qui ils sont au plus profond de leur être.

“La proximité des corps ne fait pas la proximité de deux intimités, deux entités, qui se mélangent constamment au-delà de tout physique.”
 
 
 


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Le bazar m'honnit.


________0000Rester hors d'eux, c'est rester hors d'œuvre.00___-
___________════════════════════════════_○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○
Si je ne parle guère de vous, je me neutralise. Mais si je parle, c'est effectivement de vous, donc je ne me neutralise nullement.

‹‹____Pour créer notre chef-d'œuvre, nous nous devons de travailler sur nous-même, nous parachever, y mettre du notre, puisqu'il part de notre être accompli. Nous ne réussissons aucunement celui-ci s'il n'y a point cette touche qui fait que c'est NOUS, qu'il vient de notre propre chef, non d'une personne quelconque. Il est contre productif que de faire quelque chose qui ne sort pas de nos entrailles, repris maintes fois, ou pour rentrer dans le moule pour ne pas nous fouler la cheville, ni les neurones. Ce sont ses reliefs qui font ressortir chacun des détails de ce premier, qui lui donne cette profondeur rarissime. Pour moi, c'est cela, la beauté, la vraie de vraie, intérieure, la plus pure et absolue qui est.____››
__________________________________________________________▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬
Il n'a aucun rapport avec son succès, mais avec son contenu, avec ce qu'il procure.

_______________________________________________Les (él)aimants s'attirent.
________________________________________________Sans satire, même si tard, guère je me soutire, mais je sature, alors je me suture.
___________________________________________________________________-Ils ne se tarent, ne se turent.
____________________________________________________________________-Si je troque, je me truque.
____________________________________________________________________.Si je triche, je me truche.
_____________________________________________________________________Si j'abrège, je m'abroge.
_________________________________________________________________________-Et (les) mens.


‹‹____Quelqu'un qui te prépare une très grosse gentillesse dans ton dos, minutieusement, de manière recherchée, hyper sincère, hyper touchante, y met toutes ses tripes, expose le moindre morceau de lui, s'offre, se donne à toi entièrement, sans que tu ne t'en doutes et ne saches qu'elle existe, qui partage la même essence, la même flamme que toi, te comprend comme jamais ça n'a été le cas.
Une personne qui ne fait rien -ou presque- pour toi, devant, à part pour t'empêcher d'exprimer ce que veut réellement TON cœur, car elle n'a jamais été confrontée à ta vraie intimité, ne t'aime pas tel que tu es, à ta juste valeur, pas du tout, alors que tu la fréquentes depuis un certain nombre d'années, que tu lui es étranger, qu'elle n'a jamais pris en considération ta richesse du dedans, quand on creuse la surface.
____››
__________________________________________________________▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬
Que faut-il en conclure ? Que faut-il faire, dans cette situation ? Comment réagir ?

════════════════════════════_○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○

____________________________________________________À votre inconvenance.
 
 
 


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