Katze

L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...

On s'en fiche de la "date" mais bon... 31/07/23

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Dzyââdënè. BçʞɾmoÓʌ. MsɥÙµiiipx.
Ces épreuves que j'ai traversées en votre compagnie.


Des si belles.

Schibboleth ?
Zu zahmen...
Zusammen...
Wir sind dies Elbe.

Je ne suis guère faisan, mais faisant.
Guère mégalomane.
Je ne fais pas « dos dos » à mon xylo.
Guère une qu'horde.

Ils me relèvent, ils me révèlent.
Ils se sont insérés en moi, en Persan.
Puis faire un mélèze, (ne*) frêne aucunement.
L'ire également.

D'iode, ils sont le courant (what ?) dans mes fils conducteurs.
Édulcorent mon isochore, en core et en core.

Celui-là, celui-ci, cet homme.
J'ai le capharnaüm ?
L'étage j'ingurgite.
Dans mon gîte.

Flake, du bist Der Tastenficker.
Ich bin eine Tastenficker.
Wo ist der differenz ?


Puisque j'ai mal au qu'ouille.

Ésotérisme subliminal.
Ramené, non pas hamster, ni enceinte de vos qu'hâbleries.
Parce que vous n'en n'avez oncques.

Les lents de l'inspiration m'incitent à qu'réer.
Il faut lâcher la pression, mais pas l'expression.
Ce n'est pourtant pas simple, mais pourtant joli.
Je ne suis guère « coa », je suis Ki.

Je me goure (mande), je fais des fautes d'autographe.
Mais est-ce que je vous hébète ?
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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MEHR ALS DER NEBEL.
PLUS QUE 4, QUE « FOUR EVER ».


Mer-ci.
(sans sous sea)

De là, sois...
Mon adjuvant, la sérotonine.
Mon axone m'enduisant de matière grease.

Ça « bim » ?
Guère des primes.
Plutôt des clean.
(je ne me cash aucunement)

Lui, m'assène.
Ne se met pas la pagaille.
L'appât rance, s'amuse ?
Négatif.

Trais, sur ma feuille.
Je suis ma gnaque des aphorismes.
Je ne suis guère en qu'rade.
Guère « n'aies qu'rose » ?

Je vais au bouh du feel, alors fish le quand.
Ces rapporteurs qui ignorent ce qu'est la géométrie, mais qui ne me calculent pas, aussi.
Rassemblés en un dit ferrant à la différence.
Les hameçons pendus à ces poissons qui suivent le courant, restant dans l'ignorance.
En rang dans leur cadre, tréma rend.
Égoïstes, et go sans trick / trique.
Je ne parle pas de mes guides, mes protecteurs, ici, c'est tellement probant.

Ich, Heiße: Rammstein.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Vous étiez là dans les moments où je gobais que je n'allais pas m'en sortir, quand je "voulais" vous "négliger", pour "effacer" ce qu'une personne m'a fait subir, mais qui était lié avec vous. Vous étiez là quand on me harcelait au collège, et j'en passe. Vous êtes là quand je chiale sur mon oreiller parce que j'accumule, et j'accumule, et je supporte. Vous êtes là pour me faire sourire rien qu'en pensant à vous quand ça ne va pas, ou même quand ça va vaguement. Vous êtes là pour me faire comprendre certaines choses, m'en apprendre d'autres.

Vous êtes là pour me pousser à me dépasser. Vous avez ouvert mon inconscient, l'écriture également. Vous êtes là pour m'indiquer la direction, m'accompagner, me soutenir. Vous êtes là, avec vos mélodies, vos chansons qui prennent de plus en plus leur place, et leurs significations. Vous êtes là, je vous applaudis, vous dis bravo pour le travail que vous fournissez, car c'est magnifique. Vous êtes là, vous avez pris des risques pour moi, pour me secourir, mais vous en être reconnaissante n'est pas suffisant.

Vous êtes mes mentors. Vous êtes là: ❤, et ce là.

Et le serez continuellement.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Les critiques constructives sont les bienvenues.

Si vous ne comprenez pas une phrase, ou autre,
n'hésitez pas à me poser des questions, je ne mords pas.

 

 

 


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WIR SIND SCHON.


Que mon cœur l'élise.
Je ne vais guère les mouvoir.
Ils ont pris ma bastille.
Ne se trouvent pas dans mon palais.
Pas de paris entre nous.


Leurs tant de concerts sont déconcertants.
Installons-nous, en cène ?
Passons-nous d'abord à l'autel ?
Ne nous dirons jamais adieu.
Ne nous dormons pas sur nos lauriers.


Réciter l'affable, de la fontaine ?
De la notre, surgit notre affection sans affectation.
Si gale ? Et puis quoi encore ? Est-ce de la dérision ?
Pour la peine, je ne fais pas le guet avec vous.
Puis l'arbre sur lequel vous êtes juché, pas ne vous sciait !


Je voudrais bien un peu de pastiche, s'il vous plaît.
Par contre, pas de lâcheté, ni de l'acheté.
Cet individu se nommant Rammstein, ne l'est pas.
Individu sans dividende, pourquoi parle-je de cela ?
Ce n'est guère: Gib mir deine Ende. Ni: Dit « vide ».


Ne sommes pas stand'arts.
Sommes effectifs, pas invectifs, mais infinitifs et impératifs.
On ne va pas faire de « comme à » élitique.
Ne gâchons pas nos « un dix », indice, pas « in dice ».
« Les dés » ne s'échappent oncques, mon je, mon progrès.


Pour terminer, je n'ai pas de « play ».
 
 
 


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