Katze

L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...

On s'en fiche de la "date" mais bon... 25/07/23

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Le b.a-ba.
Le graal.
L'hippocampe.
Le hic.
Le tilt.
Le facteur de ma fougue à leur égard.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
On s'en fiche de la "date" mais bon... 25/07/23

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____________Chères ramures de moi-même,

__________Vous êtes l'agencement d'une phrase.

________De ma phrase.

______Vous en êtes le sujet, le verbe, et le complément.


Celle-ci, c'est vous, un essartement. Vous, un héraut, un alter ego.
Vous, quatre plis, six brindilles diaprant de leur propre gré.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
On s'en fiche de la "date" mais bon... 25/07/23

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J e___t ' a l a m b i q u e .

 

 

  
Envide te prendre dans mes bras et dte dire:
Ne t'en fait pas, je sui, ça ira.
Enchêne-moi.
Ça ira bien ou ça ira mieux, tu verras...


On a pas le droide te toucher commça,
pas grossrement,
p
avulgairement,
non, pacomme çasurtout pas Car:


Tas fait dmoi une victime, et je suis ton plus beau crime.
Ejsuis X, tu es Y, on est hootéleutes.
Etme bois puis jt'aboie ma ragecar:
 
 Ich bin ein Hundert auch.
  
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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Hör wie es schrei(b)t.

__________« J'aurais détesté vous détester. Parce que pour moi c'est inconcevable, c'est contre ma nature, contre mes théories, mes pratiques, mes théorèmes... Et contre ce que je suis. »

 

 

 
__________1612112,

Dans cette dimension distordue et en décalage, nous, ces cyborgs, se situons dans un can(y)on, sur un autel.

Une messe, une prière, une nef, qui rime avec toi et moi.

On est comme une esperluette, on est un mot qui se confond en une seule endorphine et un unique canevas.

Qui démontrent nôtre ode / aude, une effigie à l'humeur distinguée.

Du suc lutéal.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
On s'en fiche de la "date" mais bon... 25/07/23

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Le fuel alimente l'ignition. Il en est le substrat.

 

 

   
C'est pour toi / vous que j'ai changé de nom / prénom, et changé tout court.
C'est pour toi / vous que je nous ponctue, nous écrit, que nous sommes ces mots-ci et non ces mots-là, puis que je nous ressens.
Parce qu'il fallait que ces lettres aient cette forme, cette matière, et cet ordre.
C'est pour toi / vous que j'ai ressuscité, en quelques sortes, que je suis redevenue moi-même,
mais avec quelque chose ou plutôt quelqu'un en prime, et que tu connais / vous connaissez très bien.
C'est avec toi / vous que j'ai avancé, évolué, mais aussi ramé dans mon chagrin. Vous êtes des marins éloquents.
C'est avec toi / vous que j'ai cru à ce coup de fatal-foudre.
C'est avec toi / vous que je m'en suis rendue compte quand il le fallait.
C'est avec toi / vous que je me suis élaborée.
C'est avec toi / vous que j'ai une imagination qui grandit pas à pas.
C'est avec toi / vous que ma mécanique s'est mise à fonctionner.
Que tout le rouage s'est mis à flirter avec mes émotions soudainement et automatiquement.
Que j'ai trouvé mon procédé, peu à peu.
Que j'ai enfin su ce que c'était de penser, d'aimer, d'apprendre, de découvrir...
Car qu'est-ce que des sentiments et des ph(r)ases sans toi / vous ? Rien.
C'est un gouffre, une brèche, une insanité.

Je pense que vous êtes arrivés au moment adéquat.

Je pense aussi que vous êtes l'algorithme, le faisceau, l'heptagone, la genèse de mon cœur.
Mon domaine de prédilection, une hypophyse, une seiche andréide qui crache de la protéine ébène.

Pour certains c'est rien, mais pour moi c'est beaucoup.
 
 
 


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