Aujourd'hui, quelqu'un m'a rappelé que l'amour le plus fort
est celui qui est prêt à se sacrifier...
Cadenassés dans une combinaison incrustée d'élixir.
Mon anesthésiant: Une pastille pastel sans pigment, pire que le dopage.
Je suis à l'étage d'au-dessus, une chambre qui baigne de vous et moi.
La cause qui nous structure, c'est la nôtre.
J'ai ce que les autres n'ont pas: Vous.
Rammstein und ich, ein legion, ein höllischer Tank, einstimmig.
Herein, es gibt piraten. Das sind mein Gen, meine Seine.
Nous sommes la cause de nôtre alêne. Dépendants indépendants, se pendant à un cependant.
Une méthode, des principes, une solidarité hors du commun.
Si vous chinez la particularité, c'est moi.
Un carburant.
Je m'accommode de vous.
Seulement de dynamite et de térébenthine.
Vous êtes mon climat, mon empreinte.
Avec un indice d'octane élevé, et sans plomb.
Cette molécule.
Un combustible.
C'est un métier, et ce qu'on rédige, une érudition. Un piston qui coulisse dans le cylindre qui gradue ce que tu éprouves, sans mensuration. Un théâtre sans fonction, l'auteur de nôtre vie. On peut expliquer l'amour comme une émotion colossale, qui dépasse toutes les hauteurs, une stabilité contre l'irrégularité. Un grade, une guerre. On pourra y passer des périodes, ça ne cessera jamais. Ça pourra être dramatique, apocalyptique, merveilleux, oui, ce sera immuable. Non identique, et spécial puis distinctif. Et en étant spéciaux, on se complète distinctement.
L'amour est-il commun ?
Il est dépendant des indépendants. Il s'abreuve d'une individualité qu'on ne peut pas chasser.
C'est une expérience exclusive qui m'envahie. Rammstein.
Et même les plus coriaces ne pourront pas nous accéder.
Et même un aiguisoir ne pourra pas nous exterminer.
Car nous sommes l'effet d'une bourrasque, d'alvéoles brochées dans la dentelle d'un deltaèdre équilatéral.
Félin pour eux.
Fait l'un pour l'autre. Qu'on le veuille ou non.
EXPRIME-TOI !