Till Lindemann, Richard Kruspe, Paul Landers.Oliver Riedel, Christoph « Doom » Schneider, Christian « Flake » Lorenz.Katze Landers.__________✝ Un pacte ✝
- Couver un chérubin dans un giron.
- Je m'en fiche d'être philosophe, littéraire, ou écrivaine. Je mets les accents sur cet amour, qu'ils soient aigus ou graves. Et des apostrophes tout autour d'eux comme si on déposait quelque chose de soyeux, de fin, et d'imperméable.
- Les laisser t'envahir, estamper tes ennuis, et truander ton tourment.
- Je chuchote à mon sépia ce qui sèche à mon écriture.
- On ne réfléchit pas quand on pense.
- Je m'en moque de ce que peuvent bien dire des personnes, je me moque de leurs critiques car des fois c'est comique et tellement pas intelligent... Car ils n'assimilent et n'admettent rien ! Ils préfèrent gober ce que leurs disent les autres au lieu de nous ouïr. Les autres ? Les imbéciles, tout simplement.
- Il y en a qui ne cherchent même pas le sens de leurs chansons, et celui d'un texte... Ils devraient, car ça cache beaucoup plus de choses que nous-même le savons.
- Comme je disais avant, au début: Ce sont mes hommes, n'y touchez pas...
Ce sont vraiment des hommes, et j'ai vraiment pas envie qu'on y touche, car ils ne méritent vraiment pas qu'on écorche leur nom, et qu'on les rende malheureux, car des gens n'arrivent pas à leurs chevilles, et veulent tout détruire...
- [...] Voltiger autour du son qu'ils émanent [...]
Son aria me fait vriller, il touche à un tendeur, son médiator, un diapason de soubresauts, et continue avec moi, en ralentissant, pour que je vois comment il s'y prend. Suivre n'est pas très compliqué, mais ça rentrera dans ma cervelle un jour. Je suis ses mouvements âcrement, un à un, les décode, les déchiffre, comme si on tentait de comprendre un texte dans toute sa profondeur. Nous nous enfermons dans un univers là où les étoiles nous côtoient. Là où les anges dans le ciel nous font un cygne dans un lac. De la pureté s'en va de nos anatomies. Des utopies que nos viscères, nos organes, éjectent, et façonnent un cercle d'ataraxie qui se broie en nous encore et encore, et encore, qui implose en nous, et qui ne demande qu'à être éjecté lui aussi. Le lyrisme prend place en nous, et nous chantons. Nous faisons valser nos voix, comme si, les paroles, étaient déjà en nous, et aucun besoin d'avoir une fiche pour les savoir. On chante à s'en péter les cordes vocales, puis la dernière consonne de la dernière partie de notre être, s'en va. Et le triolet de nos lippes se confond.
EXPRIME-TOI !