Katze

Qu'est-ce que l'écriture ? Sinon une porte qui mène jusqu'à des lieux inexplorés de notre esprit.

On s'en fiche de la "date" mais bon... 08/07/23

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  On ne peut pas en vouloir à quelqu'un qui ressent
_____quelque chose d'aussi fort.
 


________J'ai répondu à leur appel.
________Auquel ils ne raccrocheront jamais
.



J'avoue que de vous dire que je vous aime serait plus court, mais simple. Tellement simple à mon goût. Ce serait efficace, mais non, ce ne sont pas juste trois mots qui vont laisser indifférent.

Écorchée vive, car on fait semblant de me croire. Parce que j'voulais faire d'ma passion la plus belle de vos histoires. Écorchée, quand j'ai gobé tout vos mensonges. Alors comme ça j'ai changé, non je suis toujours aussi sombre. Écorchée vive, dans ce grand théâtre en feu. J'affronte les flammes en jouant ma scène du mieux qu'je peux. Écorchée vive, quand les crétins se croient des rois. Quand les adultes ne savent rien faire à part nous montrer du doigt. Écorchée, j'ai plus d'espoir j'ai fais naufrage. Et puis pourquoi les insultes me touchent plus que les hommages ?


Extrait de: Diam's - Écorchée vive.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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______Sur mes commissures, a fleuri une goutte de toi.___

 

 

______Pendant combien de jours me suis-je nourrie de ta voix ?


______Sais-tu que si je me lève le matin c'est juste pour toi ?

______Pendant combien de jours j'ai bu tes paroles ?

______Sais-tu que si je reste devant mon écran c'est juste pour te voir ?

______Pendant combien d'heures je t'ai écouté ?

______Sais-tu que si le soir je ne dors pas c'est juste parce que tu me manques ?

______Pendant combien d'heures je t'ai entendu ?

______Sais-tu que je t'aime vachement ?

______Pendant combien de temps te le dirais-je encore ?

______Sais-tu que tu es parfait jusqu'au bout des ongles ?

______Est-ce suffisant mes dires pour toi ou pas ? Ou alors de trop ?

______Sais-tu que si tu pars je serais complètement détruite ?

______Ou alors je ne sais pas, il te faut quoi d'autre comme preuves ?

______Sais-tu que s'éviter est mauvais ?

______Des chansons ? Des cris ?
______Que je décroche un peu de toi bien que ce soit impossible ?

______Sais-tu que je brûle dedans ?

______Non, pas ça, surtout pas ça, ça fait bien trop de mal.

______________________Tu le sais tout ça ?

______________________Mal à n'en plus m'en remettre.

 

C'est à gorge déployée que je te clame mon amour brûlant.
 
 
 


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______Vous êtes l'étoile la plus brillante de toutes.___





_____________Combien de flammes avez-vous pleurées ?__






______Je suis la clé, vous, la serrure. Ainsi, quand ma noirceur revient, j'ouvre pour entrer en vous, et j'aperçois votre éclat. Je suis le bateau, vous, les marins, je navigue sur une mer de vos visages. Je marche sur le vent de vos rimes. Je marche dans les boulevards et les sentiers les plus escarpés. Et c'est là que j'ai perdu la boussole. Je vais marcher dans les rues où autrefois j'ai posé maintes fois mes pieds sur ce goudron, pour la retrouver. Mais elle doit être ensevelie quelque part par-ici.







___•___Je veux être cette fille qui sort du lot, et non pas une fille qui ressemble aux autres. Qui ne font que suivre une mode, parce que c'est chic, ou fashion, ou je ne sais trop quoi d'autre. Moi je n'écris pas pour me donner un style ou pour faire comme certains, ou vouloir me la péter. J'écris pour montrer ce que j'ai comme sentiments en moi, et je n'écris pas juste comme ça, pour faire plaisir ou autre, mais parce que ça vient tout seul, et parce que j'en ai besoin.___

 
 


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______Vous êtes notre aurore.___

-Combien de reflets de vos figures,
vous nous avez laissés, sur nos murs ?

 

______Nous sommes enfermés dans votre monde.
N
ous sommes englobés par vos discours. Nous sommes implantés dans vos racines. Sans vous, nous ne sommes pas nous. Sans vous, nous ne sommes rien. Sans vous, nous ne serons plus là. Avec vous, nous sommes nous. Avec vous, nous sommes tout. Avec vous, nous sommes encore là. Vous êtes notre périple, notre abri, notre toxine, notre juste milieu, notre endroit, et tout ce qu'on peut qualifier de splendide. Nous façonnerons les chansons qui cavalent dans nos mémoires, et nous les chuchoterons à vos oreilles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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___Texte pour vous__









______- ___Vingt et un juin deux mille six, six heure et demi.__



On ne se connaissait pas encore. Comme d'habitude je me réveille, me lève, va dans la cuisine prendre mon petit déjeuner tout en essayant de ne pas mettre de miettes par terre, avec ma mine endormie, je vais avoir tellement de chance qu'il va y en avoir sur le carrelage et je vais marcher dedans. Ayant fini, presque trente minutes plus tard, je range ce que j'ai déballé, nettoie un peu jusqu'à ce que ça brille, et vais me doucher. Je prépare de quoi me vêtir, puis des serviettes et un gant. Je me déshabille lentement, puis entre dans la cabine rectangulaire verticale, laissant couler l'eau pour qu'elle devienne chaude. Je la laisse réchauffer mon corps pendant cinq bonnes minutes, ferme le robinet, et prend le gel douche, que j'étale sur le gant, et me lave soigneusement. Je me rince délicatement, et mouille mes cheveux. Je mets du shampooing au creux de ma main, et me les lave, je répète ce geste encore une fois, me les rince, les sèche vaguement, m'essuie, et sors. Je m'habille de mes sous-vêtements, puis de mon maillot et mon jean noir. J'enfile ma veste malgré le bon temps dehors, passe aux toilettes, et passe me désinfecter les mains avec le savon de la salle de bain et de les rincer, puis m'en aller, il est sept heure trente. Je prends mon sac d'école, mon mp3 avec mes écouteurs, et écoute cette musique encore inconnue pour mes oreilles. Moi qui n'aimais pas le metal, je commençais à m'y faire, et je dois dire que ça me plaisait. Le titre de la chanson, je commençais à le savoir aussi. Pendant la route je l'écoutais en boucle, avant d'arriver devant la grille j'éteins mon lecteur et range mes écouteurs avec, dans mon cartable. J'étais toute seule, mise de côté, pas vraiment d'amis car ma mère m'interdisait de leur parler car soi-disant on faisait trop de conneries ensemble, je me tapais donc l'incruste avec des gens de ma classe que je connaissais à peine. La sonnerie retentit cinq minutes plus tard, allons nous ranger dans la case des salles, qui sont peintes dans la cour, attendant que notre professeur vienne nous chercher. Nous entrons dans la salle. Je subis x critiques, pour changer, je les compte par centaines, et ça m'agace. Pendant toute la matinée c'est comme ça, pendant la pause de dix heure, je suis une solitaire, avec des jugements à subir, comme si ça pouvait changer. Maudit collège, pensais-je. Je repars donc vers ce fichu bahut, et entre à nouveau. Les cours se déroulent normalement, enfin, pour les autres, moi je dois me concentrer pour ne pas m'énerver sur un qui s'amuse à jouer avec mes nerfs, justement. Enfin, cours d'Allemand, on nous annonce que notre professeure est absente, et qu'elle est remplacée. Nous sortons notre livre, notre TD, et notre cahier, mais à ce niveau de l'année scolaire, on ne fait plus tellement grand chose, alors il nous présente deux groupes de musique: Tokio Hotel, et Rammstein. Je lève mes yeux vers l'image « Das ist ein Gruppe von Metall » plus absorbé par votre regard braqué sur moi, que par autre chose, il fait circuler l'image, je ris sur vous, la première fois que je ris de bonheur, dire que intel et grand, l'autre petit ce qui fait une énorme différence de taille, je me souviens, j'ai failli piquer la feuille tellement vous m'éblouissiez. Ce grand c'était Oliver, et le petit, Paul. En rentrant je n'ai pas hésité à regarder votre biographie, et là, qu'est-ce que je vois ? Du Hast, la chanson que j'écoutais en boucle. Au départ je ne regardais que votre look, votre beauté, mais peu à peu je me suis tournée vers vos chansons. J'ai fini par toutes les entendre, et ces mélodies me sont restées en mémoire. Lire tout de vous, vous connaître, ce désir de vous voir augmente de plus en plus chaque jour. Oui, ça fait cinq ans passés que ça augmente, et je dois dire que ça me fait mal, et je désespère lentement.

En fait, je crois que j'ai bien fait en apprenant l'Allemand, je ne me doutais de rien, forcément, mais quand cela vous tombe dessus, vous vous redécouvrez, vous vous enfermez dans ce monde, dans le vôtre, pour ne plus se retourner et avancer dans votre chemin et suivre vos traces. Ouais, on est bien quand on est sur votre route et qu'on marche sur vos pas.

- Il n'y a que quatre lettres à mettre sur mes textes: Vous !

Je voudrais que mes textes vous touchent, vous crient des « Je t'aime ! », des « J'ai besoin de vous, à l'aide ! » Des tas de choses qui pourront vous faire dire: Comment fait-elle pour sortir tout ça ? Moi je me le demande parfois, je me mets à la place de quelqu'un d'inconnu, et ça m'impressionne. Ce qui est sûr, c'est que je souffre beaucoup, que je suis heureuse malgré tout, tout ça grâce à vous. Oui, une douleur que chacun supporte différemment, un bonheur que chacun dit à sa façon. Encore merci pour tout ce que vous nous donnez, je vous le rends !

Je me suis forgé une carapace, celle que personne ne pourra traverser et ne pourra casser.
Je cherche votre âme gravée dans mon cœur. Quand mon paysage se fane, je blottis mon regard dans vos yeux.

 

 

 

 


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