Oncques un pro visé.
Je suis accordée à vous, mes adjectifs. Je rédige des Mô, j'ai des ID / id est. Je ne vous donne pas de la tension, sinon cela nous disloquerait. Le contraire nous rassérène, nous ragaillardit. Plutôt que d'implorer pour que la détente vienne, et d'appuyer sur la gâchette si elle n'arrive guère, nous rentrons en nous-mêmes pour nous en sortir, emmaillotés, mélangés. Ne calligraphions guère des « pas rôles ». La fragrance sur l'abscisse de notre verglas n'est guère empli de mi-rage. Ne logeons pas dans une « tente ».
Pas prise dans la senne, j'ai eu besoin de me plonger en vous, vous êtes ma bouteille d'oxygène. Nous sommes des leucocytes indissociables. Métempsycose depuis un moment. Sans lé, sans l'esse. Dans notre êta, pas besoin de philtre. Ne fautons pas ici, et des photons, là. On fait l'apanage, et on est pas des cliques, mais vous êtes mon déclic. Heat vous êtes, et hits vous faites. On a oncques la nécessité d'être dans la foule pour être full. Vous n'êtes pas à l'essai ni à laisser, pour moi.
Des rats t'eurent, Paul ? Non. Parce qu'ils ne ressentent pas le « car » de mon amour pour toi, pour vous. Sommes-nous des « elf », un « (z)wolf » ? Certainement. Tu es le mien, non le « mi-un ». Puis: Ich « Weiß », aber kaum « Warze ». Et pratiquons un (s)alto avant, qui est superformant.