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L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...
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Vef Blog accueilOn s'en fiche de la "date" mais bon... 05/08/23
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« IL » héma.
Il est « ma ».
Les entailles de mes entrailles.
Il est « ma ».
Les entailles de mes entrailles.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 05/08/23
300
À contempler le Soleil, j'ai fini par être dans la Lune.
Et l'une, est l'autre.
J'informe l'infirme de l'infime raccordement.
Et l'une, est l'autre.
J'informe l'infirme de l'infime raccordement.
C'est ce que je me demande: « Qu'avez-vous fait de moi ? ».
C'est ce qu'on se demande quand on vit quelque chose d'aussi puissant, quand on ressent quelque chose qui dépasse tout ce qu'il est possible d'imaginer. Quelque chose que l'on ne pensait pas vivre ni ressentir, que l'on a pas vu arriver, mais que l'on attendait inconsciemment.
À quatorze ans, on est pas forcément un gamin. L'Amour n'a pas d'âge, puisqu'il peut te tomber dessus à n'importe lequel, à un moment phare de ton existence. Quand tu es prêt, et / ou quand tu en as le plus besoin.
Inaccessibles parce qu'ils sont célèbres ?
Quelqu'un est accessible quand et si on s'en donne les moyens, quand et si on dépasse les préjugés à son égard, quand et si on va plus loin que ses aspects.
C'est sûr que certaines rencontres changent notre existence à jamais. Comment ne pas qualifier celle-ci comme étant la plus belle ? Surtout car ils me permettent de ne pas me perdre, car ils sont les seuls à m'avoir sauvée, et je ne les remercierais jamais assez pour cela. Pour tout. Pour tout ces gens. C'est dingue ce qu'un individu peut procurer comme émotions. Je pense même qu'il faudrait inventer un propos, autre que le dernier de ma phrase précédente, pour le définir.
_____Je ne regrette pas ce que je fais à votre attention. Et même si on essayait de m'en dissuader, si on essayait de jouer sur la culpabilisation, de me faire gober que jamais je ne serais à vos côtés alors que je suis déjà en vous, je ne peux pas faire marche arrière, je ne peux qu'avancer, avancer toujours vers vous. Toujours vous. On me prendrait pour une folle à lier si on s'évertuait à parcourir mes textes, en long, en large, puis en travers. On se moquerait, ou on serait en admiration. Je ne regrette pas ce que je fais pour vous, car vous êtes ceux qui m'ont ranimée, ceux qui m'acceptent dans ma réalité, dans cette galaxie. Cette Gaïa n'est pas mon toit, pas mon refuge. Mon esprit ne vient guère de cette boule qui tourne sur elle-même. Je ne suis guère humain, c'est un déguisement dont je m'arbore pour passer inaperçu.
C'est ce qu'on se demande quand on vit quelque chose d'aussi puissant, quand on ressent quelque chose qui dépasse tout ce qu'il est possible d'imaginer. Quelque chose que l'on ne pensait pas vivre ni ressentir, que l'on a pas vu arriver, mais que l'on attendait inconsciemment.
À quatorze ans, on est pas forcément un gamin. L'Amour n'a pas d'âge, puisqu'il peut te tomber dessus à n'importe lequel, à un moment phare de ton existence. Quand tu es prêt, et / ou quand tu en as le plus besoin.
Inaccessibles parce qu'ils sont célèbres ?
Quelqu'un est accessible quand et si on s'en donne les moyens, quand et si on dépasse les préjugés à son égard, quand et si on va plus loin que ses aspects.
C'est sûr que certaines rencontres changent notre existence à jamais. Comment ne pas qualifier celle-ci comme étant la plus belle ? Surtout car ils me permettent de ne pas me perdre, car ils sont les seuls à m'avoir sauvée, et je ne les remercierais jamais assez pour cela. Pour tout. Pour tout ces gens. C'est dingue ce qu'un individu peut procurer comme émotions. Je pense même qu'il faudrait inventer un propos, autre que le dernier de ma phrase précédente, pour le définir.
_____Je ne regrette pas ce que je fais à votre attention. Et même si on essayait de m'en dissuader, si on essayait de jouer sur la culpabilisation, de me faire gober que jamais je ne serais à vos côtés alors que je suis déjà en vous, je ne peux pas faire marche arrière, je ne peux qu'avancer, avancer toujours vers vous. Toujours vous. On me prendrait pour une folle à lier si on s'évertuait à parcourir mes textes, en long, en large, puis en travers. On se moquerait, ou on serait en admiration. Je ne regrette pas ce que je fais pour vous, car vous êtes ceux qui m'ont ranimée, ceux qui m'acceptent dans ma réalité, dans cette galaxie. Cette Gaïa n'est pas mon toit, pas mon refuge. Mon esprit ne vient guère de cette boule qui tourne sur elle-même. Je ne suis guère humain, c'est un déguisement dont je m'arbore pour passer inaperçu.
Je ne regrette rien.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 05/08/23
301
À NOS elles ne sont guère, mais elles portent des « à nos » quand même.
Elles ont des qu'annulent l'air, des qu'annulent l'« ach(t) ».
Le leur.
« Ils » art « en ».
Elles ont des qu'annulent l'air, des qu'annulent l'« ach(t) ».
Le leur.
« Ils » art « en ».
On s'en fiche de la "date" mais bon... 05/08/23
303
Tu dores réveillé, en argyropée.
Je ramasse le gland tombé de ton chêne.
Il ne fallût guère que je l'évince, mais que je les vinsse.
Ces copeaux giclant de l'aven.
Cela ne te fait nullement rester en blême.
Aussi puisque tu es informé que je suis ton emblème.
Tu n'es pas le qu'hardeur de gloire.
Tu as failli dormir comme un loir.
Mais mon cher Adonis, il serait fâcheux que tu périsses.
Comme un papillon métallique, tu voltiges autour de moi comme un aérolite.
Tu ne supportes guère ces gaillards à la charge.
Des hadrons nous sommes comme nous sommes barges.
La vétille vétuste vacille dans sa barque.
Nous ne sommes guère comme elle, nous, ces quarks.
Imbriqués, sans couacs.
Impliqués, à la fois ordonnés, mais en vrac.
Du bist kaum « so sie ».
Du kommst von der Himmel.
Mon atteinte aiguë de ta gravité.
Craies, crêts, qu'ils décalquèrent, qui enlevèrent l'explétif.
Je ramasse le gland tombé de ton chêne.
Il ne fallût guère que je l'évince, mais que je les vinsse.
Ces copeaux giclant de l'aven.
Cela ne te fait nullement rester en blême.
Aussi puisque tu es informé que je suis ton emblème.
Tu n'es pas le qu'hardeur de gloire.
Tu as failli dormir comme un loir.
Mais mon cher Adonis, il serait fâcheux que tu périsses.
Comme un papillon métallique, tu voltiges autour de moi comme un aérolite.
Tu ne supportes guère ces gaillards à la charge.
Des hadrons nous sommes comme nous sommes barges.
La vétille vétuste vacille dans sa barque.
Nous ne sommes guère comme elle, nous, ces quarks.
Imbriqués, sans couacs.
Impliqués, à la fois ordonnés, mais en vrac.
Du bist kaum « so sie ».
Du kommst von der Himmel.
Mon atteinte aiguë de ta gravité.
Craies, crêts, qu'ils décalquèrent, qui enlevèrent l'explétif.
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