Katze

L'ART, C'EST CRÉER À PARTIR DE RIEN...

On s'en fiche de la "date" mais bon... 18/07/23

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Insalubre. Pacotille. Terne.

Voilà comment je définirais les émotions de certains. À quoi cela sert-il de se souhaiter arriver au niveau de quelqu'un ? Pour se donner une bonne image en passant pour quelqu'un qu'ils ne seront jamais et qu'ils n'auront jamais. Ils paraissent, mais le paraître ce n'est qu'une façade, un moyen lâche de se cacher car ils ont honte, car ils ne sont pas courageux. Aucun caractère.

Parce qu'ils se fuient et se piègent.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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J e__s u i s__f e m m e__d e__l u i .

I l__e s t__m o n__J u p i t e r__e t__l e__S a g i t t a i r e__d e__s a__V i e r g e ,__m o i .


Tu même...

D'un ton indigo.

D'une addiction anormale.

Gutturale. En rigueur.

Tu dense...

Dans une zone en matière.

En pleine (r)évolution.

Ne cessant de lutter.
 
 
 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
On s'en fiche de la "date" mais bon... 18/07/23

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 Je suis réservée.

L'astéroïde n°110393.
Découvert et re observé.

Entré dans le ricochet d'une kamikaze qui ne cesse de forger son désintéressement avec eux, pour ne pas en sortir. Car chacun de ses pouls est une octave qui demeure dans sa demeure, dans sa rétine.
Car bond par bond, saut par saut, pas par pas, lentement mais assurément en train de germer dans son plasma. Là où on trouve un réceptacle, il y a son exuviation. Ils sont son algèbre intégral, son écho, son reflet. Son cyanure, son miracle, son accident.

Dominos. Dominés. Dominants. En cet adjuvant, ce pylône. Cet alpha et cet oméga.

Qui est une gustative au cactus citronné, mais cardinale, voilà comment je la définirais: Piquante, saine, et exaltante à la fois. Une recette épaisse, dense, stable, enjôleuse, décalée, synchronisée, garnie et réfléchie. En somme il y a les bons ingrédients et nous en sommes les seuls chefs, car telle est notre guerre. Une odyssée exotique. Une incarnation impeccable.

Indéniable.


Perpétuellement, je les v(o)is dans un Éden idem,
d'un spécimen extra sidéral, supra cinabre, méga sélénite.
Une attention pudique. Une intention lucide. Un regain en uppercut.
Une amarante en lithium. Un secteur en vecteur. Du gypse inextinguible.

Ils (s)ont ma / mon (c)ouverture.
Ma plénitude gracieuse.
Mon quotient d'eccéité décuplé.
Ma connivence incorruptible.

Ils (s)ont mon emblème, mon talisman, mon totem.
Aussi mon Bückstabü, mes ohms, mon fief.



 


EXPRIME-TOI !

 
 
 
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(Re)tiens-moi, secou(r)e-moi.

✖ ✖ ✖

Mes balafres, mon écu. Ma syllabe sibylline. Ma base, défricheuse.
Mon prototype, nous. Ma sidérite indélébile. Abracadabrantesquement logique, mnésique.


« Sous une banquise jaillit parfois une cataracte cuisante.
Un lépidoptère en pyrite. Une prodigieuse espèce.
Mon Apollon. Mon auréole en algorithme. Mon ode en strates. »


Nôtre apophtegme, nôtre adjectif,
une promesse sans érosions, autodidacte.
Ma majuscule à la chamade, une complexité aphorique.


✖ ✖ ✖

Il / elle est le somnifère qui me réveille. Ma ferveur, ma faveur, mon honneur !
Je suis épris(e) et surpris(e) de lui / d'elle.
Nous sommes deux amoureux transis, mais flamboyant et impromptu l'un pour l'autre.


- Weil sie is(s)t mein Her(t)z, und er is(s)t mein Land(ers).

Décidément, ensemble nous rassemble et nous ressemble comme il le faut et comme il se doit.
Puisqu'on se scande d'une magnitude croustillante avec du brio.
De périls, et de béryl.
 
 
 


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- Ça me rappelle que toules chemins mènent à nous, il est donc inconcevable qu'on s'évite. Car quoi qu'on fasse, quoi qu'on dise, tout nogestes et toutes nos paroles finissent par nous réunir en un point intense, ample, et écarté de la population. Ailleurs. Et que rien ni personne arrivera à nous arrêter, nous égaler et/ou nous doubler dans tout les sens du terme.


Je ne rampe plus, je marche pognes enchevêtrées, avec vous. La cadence est remarquable, les enjambées, prodigieuses. Vous êtes toutes les facettes de ma personnalité, vous êtes mon égérie, l'hymne de mon abyme. Car mon rire et mes clignements vibrent dans tout le vacarme que vous auditionnez, dans vos prunelles, parce que je vogue dans vôtre détroit, pertinemment.
 
Comme des aimants, on se draine.
 
 

 


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