Katze
Qu'est-ce que l'écriture ? Sinon une porte qui mène jusqu'à des lieux inexplorés de notre esprit.
MON SURNOM
Katze
ENVOYER UN MAIL Gib-mir-deine-hand
PENSÉE
Qu'est-ce que l'écriture ? Sinon une porte qui mène jusqu'à des lieux inexplorés de notre esprit.
DES CHIFFRES 29-06-2023
Flux RSSVefblog.net
Vef Blog accueilOn s'en fiche de la "date" mais bon... 03/07/23
54
~ Se livrer, et assumer.
« S'individualiser. Déjà fait. »
L'idolâtrie a un nom.
Mon peuple aussi, et vous connaissez la réponse.
Mon peuple aussi, et vous connaissez la réponse.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 03/07/23
55
~ Êtes-vous, ou suis-je la coupable ? -Pardon si je vous accuse-
___Je suis le navire, vous êtes les capitaines.__
« J'ai croisé quelques virages, quelques ravins, puis je vous ai rencontrés.
Quoi que je fasse, quoi que je dise, quoi que j'écrive, quoi que je rêve, quoi que j'écoute, je pense à vous, et vous êtes dans chaque pore de ma peau.
Et le jour où il faudra s'inquiéter, c'est quand je ne parlerai plus de toi, de vous, et de tout ce qui compose votre groupe. Avec certains c'est toujours le même refrain, mais avec vous, non. Votre musique est un bouquet de pâleurs, qui me fait rougir. Vous êtes éclatants comme du saphir, de l'émeraude, du rubis, de l'ambre. Mais même ça, et même la clarté ne luit pas aussi fièrement que vous »
Je suis condamnée dans votre incandescence.
« J'irai effacer tout tes souvenirs, sauf ceux qui me concernent.
J'irai installer ton âme dans un coquillage, pour m'y plonger.
J'irai graver ton nom sur un rocher, et escalader les montagnes, pour aller le récupérer.
J'irai esquisser ton portrait sur un tableau, pour le contempler.
J'irai maquiller les entailles trop perçantes.
J'irai parfumer celles qu'on ne voit pas, et qu'elles se révèlent devant toi.
Je suis sur un nuage gris, qui m'engloutira le jour où tu ne seras plus là »
J'irai graver ton nom sur un rocher, et escalader les montagnes, pour aller le récupérer.
J'irai esquisser ton portrait sur un tableau, pour le contempler.
J'irai maquiller les entailles trop perçantes.
J'irai parfumer celles qu'on ne voit pas, et qu'elles se révèlent devant toi.
Je suis sur un nuage gris, qui m'engloutira le jour où tu ne seras plus là »
« Mon cœur n'est pas un pantin, mais pourtant beaucoup osent l'écailler »
Je t'aime tellement profusément que tu ne pourrais pas esquiver cet amour.
On s'en fiche de la "date" mais bon... 03/07/23
56
~ Pourquoi faudrait-il se répéter ?
« Vous voir partir, comme une déchirure qui m'assomme. Comme un zéphyr qui m'arrache. Comme des légendes. Comme mes légendes, qui se sont dissimulées dans chaque fraction de mon être. Pourquoi faut-il toujours puiser au fond de soi, pour aller chercher les ressources qu'on aura épuisées une fois utilisées à bon escient. Je me demande à quoi ça sert, de ne jamais se laisser abattre par tout ce qui nous nuit, ceux qui nous entourent. Surtout quand on a enduré toutes ces choses, quand on a atteint le dernier niveau, le summum de ce qu'on peut garder en nous. Tôt ou tard, quand ça nous envahit, ça finit par déborder. Et ce n'est pas que joli, même si dans une part, nous sommes enchantés par ce crépuscule »
On s'en fiche de la "date" mais bon... 05/07/23
57
~ Renaître, et se retrouver.
« Savoir manier les mots, et en faire une hymne. S'enrôler d'un dessein qui nous ronge en osmose. Entre un signal strident et des ecchymoses en fusion. Tu es ma sphère céleste. Tel un écho, une représentation de mes fantasmes. Lâcher cette prise, c'est lâcher ce qui nous rattache à la vie »
Alors ne me lâche pas, s'il te plaît...
On s'en fiche de la "date" mais bon... 05/07/23
58
~ Abandonner.
« J'irai griffonner ces quelques phrases qui se sont échouées.
C'est dingue de voir combien une seule personne peut contenir de sentiments »
Déchéance ou possession ?
« Abandonner en plein trajet. S'asseoir sur le bord d'une chaussée. S'allonger dans l'herbe. Réfléchir pendant des heures et des heures. Se lever, et vaincre les embûches. Est-ce que tu viendras me donner ce dernier souffle ? Je viendrai le serrer et le chérir, je te le promets »
« Mais c'est là qu'elle arrive. Traîtresse magistrale. Comme une créature de film, divine. Comme une poupée de cire qu'on démantibule. Elle ne marche pas, elle flotte. Elle mord tes lèvres et ton cou, alors tu tombes à genoux. Sous ses cils, tu t'inclines, tu culmines, et se cachent une écharde romanesque. Faut pas que tu t'attendes à décrocher la lune. Ce qu'il te laisse tu finiras sûrement par l'accepter même en faisant semblant »
Rappel article
EXPRIME-TOI !