VEF Blog

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Détenir beaucoup d'idées à votre propos. Vous porter de l'affection, c'est vous réinventer de manière à vous inspirer. Monotone de s'accrocher que par un seul côté. Tout est-il calculé ? Prenons une voie déférente.

Diese gewagt...

Wenn man weiß dass du gejagt wirst

Das gefällt mir nicht

Man kämpft mit gewalt

Wir haben den Fuß in die Schale gelegt

Es nimmt mehr Gestalt an

Weit gefehlt

Das hat "mir" genagt

Bis zu dem Punkt an dem die Erde gebebt

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Acceptez-vous comme vous êtes. En même temps ou alors:

Soyez vous-même, et la meilleure version.

Mais ce que l'on nomme identité ne s'avère peut-être pas aussi fixe, immuable, complète.

Et il n'y a pas de version plus authentique, valable, parfaitement parfaite qu'une autre.

Comment se différencier quand nous sommes étranger à notre personne si soi il existe dans tout ce fratras ?

Eh bien MOI JE trouve ça absurde d'enlever les masques qu'on porterait au quotidien, les couches de notre conscience pour accéder à un supposé soi originel, cela ne devrait pas inciter à employer une attitude autant planifiée. Il faudrait aller au-delà des apparences, donc apprendre à connaître, comprendre avant de juger puisque juger c'est forcément "mal", partant du principe qu'on a une essence propre très propre évidemment. Ces tendances, ces odes à l'authenticité, légèrement illogique de prôner ceci quand on voit souvent le monde qu'à travers elles. On cherche à contrôler quelque chose qui nous échappe.

Esquiver le tunnel.

Car beaucoup d'rimes ne font guère trop rêver, à dire si mille airs y comptent...

On a beau mettre en formes, en couleurs, en textures ce que l'on ressent, ça reste insipide, en même temps peu. Mais la qu'entité ne fait point toujours la qu'alitée, alors on essaie d'autres substances, entre guillemets. On essaie sous d'autres angles, degrés, entre guillemets. On tente, en vain, de dépasser les limites du possible en terme d'imagination. Parfois les mots ne suffisent plus...