Ǝuʌⱻɹs ᴅᴜ ᴅᴇ́ᴄᴏʀ
En fer dû des corps
À quel point
À en oublier la ponctuation
On change de trombine, d'avis en fonction des humeurs, des circonstances et des quidams que l'on croise. Et ne sommes pas toujours fidèles à nos principes car parfois on passe au-dessus pour avancer, et ne faisons pas toujours ce qu'on dit car les envies, les aléas changent. Les défauts ont aussi leurs qualités et inversement, le bien et le mal s'avèrent (im)propre à chacun, mais nous sommes davantage. Si vous ne voyez les choses que de votre point de vue, vous allez vite vous vexer et prendre votre voisin pour un cinglé. Chez certains les fées vont automatiquement se révéler gentilles et pètent des paillettes, coller l'étiquette star sur une personne qui a les pieds sur Terre en majorité, planer à 15000 mais avoir le vertige. Ou encore faire psychologue ne signifie pas être exempt de soucis du même acabit. Un uniforme ne définit pas un quidam ni ne le rend exemplaire, sauf les gens qui cherchent à adopter les attitudes requises par tel rôle. Je trouve ça intéressant de voir que l'humain est complexe, paradoxal... Ce n'est pas l'un a raison donc l'autre a tort, sinon on se prendrait vite pour acquis.
Me parler de l'instant présent et du lâcher-prise revient à brasser de l'air. Pas grand-monde ne vit au jour le jour et fait preuve de détachement, à moins d'être un moine zen, mais foutaise. Les clichés ambulants c'est l'hôpital qui se fout de la charité, et les machins cucul non merci. Un quidam comme A ne croit pas forcément à toutes les théories comme A. J'arrange les mots comme ça m'arrange, idem pour les descriptions, etc. Un puzzle est plus intéressant qu'un bloc.
Les pensées qu'on attribue à autrui sont les notre
Il n'y a pas de sous-entendu ou presque, c'est ce qu'on entend dans les dires
On ne se répète pas, on retouche ce qui a déjà été prononcé
Les choses n'existent pas en soi, c'est nous qui leur donnons une nature