Das Modell.
Mein 112.
Meine Flammen versechsfacht.
Kommen vom Hervorragendenacht.
Immanent imminent...
Auf der Fe(l)der, durch die (D)eiche.
He's... Lheft. Auch die Arme, in denen ich mich flüchte. Meine vorige Waffe (r)echt(s).
Il fait fi d'elle.
Soyez soyeux.
Si nus, eux. Si nonymes.
Loveanders.
Mesh & moi de joint.
Mes engrenages, mes spirales infernales.
Ma recette dont j'en fais un plat.
De l'éréthisme, tu me provoques de l'érotisme, dans mes foggaras, puis mes gours.
Tu t'es faufilé dans chacun de mes recoins.
Tu m'as trempé dans du métal, mais ne m'as jamais rincé.
Comme une rivière, tu m'as fait sortir de mon lit.
Le chancelier tient le chandelier, la menorah, pour notre romance.
Contingents Contigus, en mon continuum.
Not my « choose ».
Je marche sur vos pas.
La tectonique de vos plaques déclenche ce déferlement extatique incommensurable,
m'entraînant dans des crevasses que j'ignorais jusqu'alors.
Au-delà du parêtre:
Insolite soliste, insolent, isolant.
Le cristal, guère de l'ordure, parce que je ne reçois de décharge, pour y déposer mes déchets, des « chez », spécialement. Guère sommaire, mon abdomaine, incontinent, guère provincialement. Mon fétichisme, splanchnique, martialement. Latéralement, littéralement, à cet art, patriarcalement, matriarcalement: Ses parents, jamais ne le séparant filialement. Ah, c'est tôt ? Ah, s'étonne ! Car diagonalement, orthogonalement, ce croisement, triangulairement: Carrément mené rondement, puis non (b)analement. Ici, nulle conjoncture, que du conjecturalement, dictatorialement. Électoralement, ce brimbalement, m'a convaincu triomphalement, guère trivialement, pénalement, vénalement, mais jovialement, magistralement. Oncques frugalement, je dévore ces vaisseaux contenant du napalm, en trimbalement. Je me les feutre brutalement. L'aiguille de ces individus me les pique, comme un empalement. J'interroge: Médicalement, qui sont mes dits qu'Allemands ?
Qui suis-je pour qui ?
Se complaît... Aurais-je l'alexie ?
Si je reste à l'agonie...
Si j'y reste, je m'affadie.
De tes rayons, tu m'irradies.
Je te serais banni...
Je te le serais, si tu ne m'avais guère rebâti.
Qui suis-je pour qui ?
J'aurais pu être aboli.
Mais je me trouve ahuri.
Ahuri par ce qui aurait pu me causer une anémie.
Comme m'aurait affaibli une anorexie.
Ou une sorte de dégénérescence: La dystrophie.
Parce que jamais je serais pour la simonie, l'apostasie.
Qui suis-je pour qui ?
Transformé en charpie.
Non pour soigner une embolie.
Non pour ceci, mais plutôt une estropie.
Moi, atteins de cholémie ?
Cela aurait engendré des chicaneries.
Quelle personne a quelque chose à perdre avec ces âneries ?
Qui suis-je pour qui ?
Ébaubi...
L'ébaubi n'ébaudit...
Par des mitigées mièvreries.
Par des litiges, des piètreries.
Plutôt par des envahis, dans ses viscères, engloutis.
Nullement échappé de son « exfolie ».
Qui suis-je pour qui ?
Je pratique la chiromancie.
Je pratique ceci, guère des charlataneries.
Vous & mes synapses, cette synergie.
Je la bouge avec ma télékinésie.
Je parle aussi avec la dactylologie.
Que vous n'émiez, que je n'émie.
Qui suis-je pour qui ?
La cadmie...
Qu'admis qu'elle a été écroui.
Jamais n'a adoré les chamailleries.
Jamais ne dépérit.
Comme cette phanie...
Tu sais, que tu dis « nastie » !
Qui suis-je pour qui ?
Ce complet... Aurais-je l'Alexis ?
Si je reste dans ton anomalie...
C'est parce qu'elle m'a anobli.
Comme en ta prophétie.
Je ne te serais béni...
Je ne te le serais, sans ta dynastie.
Mais qui suis-je pour qui ?
Bleu de lui, avec des verts de jalousie qui rient jaune, autant que rouges de colère. Je reluis.
Bienvenue en l'hénologie !
Je les aime également en -alement.