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En réalité, je me suis préparé à votre rencontre en commençant à apprendre l'Allemand en CM2.
À votre avis, mon faïencé, pourquoi je vous considère comme cela ?
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_______Mon ange, j'ai pris l'exquise plume de vos ailes pour vous calligraphier mon exquis vocabulaire. J'y ai transpiré mes précieuses larmes, qui ne m'ont oncques séché, dans ce domaine. Ne pleurez pas, je vous en supplie. Vous êtes splendide. Splendide, car votre parfum m'enivre autant que me délivre. Je vous respire, tel cet oxygène revivifiant. Je vous tiens en haleine, vous coupe le souffle. Je range mon habit sale dans vôtre art moire. Je promets que vôtre lumière ne me fait guère de l'ombre, que mes nuits blanches ne sont aucunement synonymes de jours noirs, puisque vous brillez du feu de Dieu. Puisque ceci, j'ai mordu la poussière pour mieux renaître de mes cendres. Parce que, oui, vous m'avez suscité, comme ressuscité. Vous m'avez embras(s)é à vôtre contact, car vous êtes ma mer / mon âme. J'ai soif d'Amour, alors vous me mettez l'eau à la bouche. Ainsi, je bois vos paroles. Faire du à froid réchauffé, à vôtre égard ? Je m'esclaffe abondamment. Vous, la crème de la crème, à mes prunelles, ma pommade psychique. Nôtre relation n'a de contre addiction, comme ce médicament avec ces causes à effets secondaires, positifs. Elle m'a tellement assagi, affolé. Vous n'êtes nullement celui que je mésestime comme moins que rien, mais celui que j'idolâtre plus que tout. Je n'ai guère de crayon, entre mes doigts, mais une baguette magique. Je vous ensorcèle. Faire 360° n'est nullement suffisant pour faire le tour de moi-même. Je vous encercle. Mon ange, puisque mes constantes envolées sont lyriques, ma plume ne bat jamais de l'aile.