___Tu as une allure léthargique, des commissures délicates, des bourgeons en glycine.
En toi, un iceberg torride à l'arôme d'hydrure de méthyle, me monte dans les narines.
Ma bouche scellée à la tienne qui me gèle, ma pogne calfeutrée sur ton rein. Ta paume sur ma jugulaire qui me dévore tout comme toi. Tu me mords, je te lacère de mes ongles manucurés, les tiens dégrafent ce qui blinde ma morphologie. Puis d'une manière infernale, tu perfores ma spirale étant plus à la crête ce que les autres sont au pic, plus à l'apophyse ce que les autres sont au maximum.
Pourtant la libido a pris le dessus, ou vice-versa.