« Je préfère être détestée pour ce que je suis,
plutôt que d'être aimée pour ce que je ne suis pas. »
À tout ceux qui me disent que je rapporte tout à moi, que je joue un rôle de deux personnes, que je fais semblant, que c'est une illusion, que tout ça est dans ma tête, que je ne suis pas mûre, que j'ai tort même si je suis innocente, qu'ils sont célèbres et imperméables. Tout ceux qui pensent que ce n'est qu'une bribe, que ce n'est qu'un caprice, une dérision. À en entendre, je serai feignante, bête, cupide, méprisable, dégoûtante, bénigne, et que je n'ai aucune compassion.
C'est une blague ? Oui.
Mais s'ils savaient que je suis téméraire, que je ne suis plus une gamine irresponsable, que je ne suis plus la "chérie" de mes exs ou les "je t'adore" des perfides, que je ne suis pas le genre de racaille ou narcissique qui se la pète, du genre médiocre et bagarreuse. Je suis moi-même, et je ne suis pas le genre de fille qui dit je t'aime comme on dirait salut. Je suis attentionnée, tendre, balayée, lâche ceux qui ne sont pas sains, et on ose me calomnier. Mais ce qui est sûr, c'est que je suis inaccoutumée et appréciée malgré ça. Mais ce qui est sûr c'est qu'ils sont ma Bastille et mon Opium.
C'est une blague ? Non.
« Crois ce que tu veux sur moi, et entends ce qu'on pense de moi.
Mais ça ne te rendra pas plus instruit à me polluer »