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Je suis en pénurie de toi quand je ne sens plus mes boyaux se triturer. Et ce n'est pas anodin, mais un bal intergalactique. C'est plus que des sentiments, plus qu'un ressenti, plus que de l'Amour, c'est sans conditions, et c'est Toi. Ce n'est pas une question de pratique, c'est que je ne réponds plus de moi car tu me gouvernes totalement. Tu es mon indice d'octane et de kérosène, mon colossal, mon oncotique.

Je patine sous tes soupirs.

Nous sommes locomotive, caféine, et métabolisme. Impénétrables, insoumis, ni une « exagération » ou simulacre. Nous sommes verticalement opposés, je suis méthodiquement diamétral avec toi, nutriments, fascinants.

Ta séduction du dedans est d'un palpitant, tu me fais frémir, enveloppée d'un bouclier. Ma clôture, ta hanche qui me caresse, ton cran auquel je ne peux résister. Jovials, mais astronomiquement nous nous chaussons au gabarit de la capacité à ne façonner que ce seul et même proton.

_________________________- Und ausnahmsweise...