« Parfois décrocher est bien plus douloureux que d'y être autant attaché qu'en ce moment.
Moi qui suis de nature fragile et sensible, ce serait fatal, et je louperais plus d'un battement.
Et personne ne pourra réparer cette erreur, à part toi qui saura raviver cette flamme flambant au rythme de ta guitare.
De votre musique...
Ou comme mettre un fichier informatique dans la corbeille, et on en parle plus.
Ce que j'ai ressenti quand j'ai tenté de le faire, j'ai failli m'écrouler, et après cette mauvaise période ils m'ont reconquise.
Après, peut-être qu'il y en a qui ne les aiment pas à la folie, mais quand on aime, avant tout, on ne compte pas,
et ce petit truc, au fond, nous retient, nous rattrape, et nous secoure quand ça va, ou quand tu déprimes.
Je peux comprendre que des personnes peuvent les retirer de leur tête sans que ça leur fasse un choc, un bleu au cœur.
Mais pour moi, c'est inconcevable. Si je pouvais leur apprendre ce que c'est que d'avoir de la peine quand je les vois virtuellement, non pas en chair et en os, et que je désire les encourager jusqu'au bout, je le ferai. Et même si ils ne sont pas ici, je sais que ça leur laissera des dommages autant que moi, de tout stopper du jour au lendemain. Ce que je souhaite c'est que leur mélodie continue à inonder mes veines et à me planter des flèches, comme Cupidon... »
Ne me réveillez pas, ne me séparez pas de mon repère...